CHAPITRE 1
Terrorisée, Stella serrait ses mains encore plus fort derrière le cou de Paulo qui continuait à la besogner à grands coup de reins.
La jeune femme avait toujours les fesses à moitié dans le vide avec le risque d’une chute mortelle depuis le 4e étage.
Paulo la maintint dans cette position durant encore plusieurs minutes, profitant autant de sa terreur que du simple plaisir de l’acte sexuel. Puis il décida de passer à un plat plus croustillant.
Il fit basculer la jeune fille sur le sol de la terrasse. Elle tomba sur les fesses, le souffle court et les yeux pleins de larmes.
- Passons aux choses sérieuses, ma mignonne, souffla-t-il. Tu sais ce que tu dois faire !
- Pitié ! Non ! Pas encore ! »
Mais en même temps qu’elle suppliait, elle se redressait puis se tournait pour se pencher en avant en prenant appui sur la table de la terrasse. Comme les autres victimes du Beettle, son esprit ne contrôlait plus son corps qui obéissait sans hésiter.
Paulo, un sourire sadique au coin des lèvres, s’approcha alors de cette croupe offerte et, sans préparation, la sodomisa brutalement.
La jeune femme poussa un cri alors que le membre de chair transperçait son œillet anal et envahissait ses entrailles. Ce n’était pas sa première sodomie, loin de là. Il était incroyable de penser que la même jeune fille était encore totalement vierge moins de 3 mois auparavant.
Car Stella Ramirez n’était pas une couchsurfeuse mais bien une jeune femme locale et pas n’importe qui. Elle était la fille de Sandro Ramirez, rien de moins que celui qui avait spolié Paulo de ses droits.
Sandro Ramirez était le supérieur hiérarchique de Paulo, un homme bien moins intelligent que lui mais influent et possédant déjà une petite fortune ; un manipulateur né aussi.
Paulo avait commis l’erreur de faire confiance à cet homme au parcours proche du sien, parti d’une classe sociale peu favorisée pour atteindre un poste de responsable dans le plus grand laboratoire du pays. Il lui avait laissé l’accès à tous ses dossiers et ainsi n’avait pas vu venir l’arnaque.
Ramirez avait rapidement compris que Paulo pouvait être un danger pour sa position. En pur politique, il avait alors manigancé avec un homme bien moins brillant et aux ambitions limités, Jorge Ramos, l’assistant de Paulo. Ce complot avait anéanti l’ingénieur qui s’était fait licencié en tentant de faire valoir ses droits et d’une certaine façon, envoyé Stella en enfer.
CHAPITRE 2
Ramirez était intouchable personnellement car devenu trop puissant. Mais il avait un vrai talon d’Achille, sa fille.
Veuf depuis des années, il ne vivait vraiment que pour son pouvoir et pour Stella. Une jeune fille en fleur bien gironde mais non atteignable tant qu’elle restait sous la protection de son cher papa.
Heureusement, le bon Ramirez avait de grandes ambitions pour sa fille et cela passait par de hautes études et aucune école de Santa Chiara ne pouvait combler ses ambitions.
Ramirez avait payé une fortune pour lui obtenir une place dans l’école de Polytechnique de Rio. Ecole prestigieuse mais aussi très éloignée de Portelo et de la protection de papa. Surtout que cette école n’était rien de moins que l’ancienne école de Paulo lui-même qui avait fini major de sa promotion et qu’elle n’avait pas cessé de lui proposer un poste d’enseignant.
Paulo avait refusé pendant des années mais la possibilité de côtoyer d’aussi prés une de ses proies les plus importantes avait changé la donne.
Paulo avait donc commencé le semestre et découvert les qualités de cette jeune pleine d’avenir. Et le bilan ne fut pas glorieux.
Elle n’était pas idiote mais n’avait clairement pas le niveau pour une telle école d’excellence. Sans l’argent de son père, elle n’y aurait jamais été admise.
Cette découverte avait accentué la rage de l’ancien ingénieur. Lui qui s’était extrait d’une famille très pauvre, avait perdu deux années dans des écoles secondaires avant que ses notes exceptionnelles ne lui ouvrissent enfin les portes de Polytechnique. Il avait dû suer sang et eaux pour obtenir sa place, lui.
Immanquablement, il ne fallu pas plus de deux semaines pour que Stella perdit pied. Tout l’argent du monde ne pouvait remplacer des connaissances partiellement acquises.
Le meilleur fut que Paulo n’eut même pas besoin de se manifester, ce fut elle qui vint se jeter dans la gueule du loup.
Elle avait déjà bénéficié de cours particuliers durant l’essentiel de sa scolarité et était naturellement venue lui demander s’il pouvait l’aider cette année. Elle utilisa même l’argument terrible de sa relation avec son père pour tenter de le convaincre.
Faussement indécis, Paulo finit par négocier un prix intéressant pour deux séances de cours par semaine. Il fallait qu’elle payât afin de ne pas éveiller certaines curiosités mal placées.
Les cours commencèrent dès la semaine suivante, deux séances de deux heures, les mardi et jeudi.
Au début, Paulo ne fit rien de particuliers. Il fallait ne pas éveiller sa méfiance, créer une relation presque de complicité afin qu’elle ne se posât jamais de questions. Pas même sur cette étrange table installée dans le bureau, le soir fatidique où sa vie bascula dans l’enfer.
Elle ne remarqua pas non plus le goût un peu différent dans le thé que Paulo lui offrait à chaque séance.
Le sédatif agit rapidement et il dut la rattraper pour ne pas qu’elle s’effondrât sur le sol.
Dans ce mouvement, ses mains se baladèrent sur ce corps si jeune et si voluptueux mais il retint ses pulsions. Il avait tant à faire et si peu de temps.
Il ne pouvait se permettre de passer trop de temps sur l’opération car Stella devait revenir à elle rapidement.
Contrairement aux autres victimes qu’il avait tenues endormies pendant plus de 12h pour laisser le temps au développement du Beettle, il ne pouvait garder la jeune fille inconsciente plus de 15 minutes et c’était juste le temps nécessaire pour l’implantation.
Il la posa donc sur la table qu’il avait cachée sous un drap sombre et l’attacha au cas où elle se réveillerait trop tôt.
Il craignait cette éventualité car elle pouvait crier et avertir les quelques professeurs encore présents sur place. Être accusé d’agression dans un pays étranger causerait sa perte.
Il chassa cette idée et réalisa l’opération. Il incisa l’arrière du coup de la jeune fille, découvrit ses cervicales et posa le Beettle qui étendit immédiatement ses griffes. Quelques secondes après, Stella fut la proie de spasmes aussi violents qu’éphémères.
Paulo sourit, cette réaction témoignait que le Beettle avait bien infiltré ses tentacules dans le système nerveux de sa cible. Il s’appliqua à cautériser la plaie avec son LASER et à ne laisser qu’une minuscule cicatrice à peine décelable à l’œil nu.
Satisfait de son travail, il reposa la jeune fille sur son fauteuil et reprit sa place.
« Eh bien, jeune fille, gronda-t-il aussi fort qu’il le put. On s’endort ! STELLA !!! »
La jeune fille finit par sursauter et se réveilla.
« Que…, balbutia-t-elle. Que se passe-t-il ?
- Il se passe que vous vous endormez en plein cours. Ce n’est pas sérieux. Vous dormez assez ?
- Je… Oui.
- On ne dirait pas. J’espère que vous êtes toute à vos études et que vous ne profitez trop des plaisirs de Rio.
- Non, monsieur, je vous jure.
- En tout cas, vous n’êtes pas en mesure de suivre ce soir. Je vous conseille de rentrer tout de suite chez vous et de vous reposer. Si vous êtes déjà épuisée si tôt dans le semestre, je ne donne pas cher de votre avenir ici. »
Elle prit la dernière remarque comme une claque mais se leva et partit immédiatement.
« Bonne petite fille, pensa-t-il alors que la porte se refermait derrière elle. Déjà bien obéissante et ce n’est qu’un début. »
CHAPITRE 3
Le lendemain, Stella se fit porter pâle et Paulo accueillit cette nouvelle comme une victoire. Il avait personnellement programmé le Beettle dans ce but.
Grâce à l’argent de la vente de Pamela Torres, il avait non seulement pu acheter les pièces pour construire de nouveaux Beettle mais terminer les dernières améliorations qu’il avait imaginé avant son licenciement.
Cette nouvelle version pouvait suivre quelques programmes préétablis ce qui faisait qu’il n’avait pas eu besoin de donner des ordres pour que Stella se sentît mal et restât couchée tout le mercredi.
Si elle était venue alors que le Beettle était encore en train de croître en elle, certaines réactions auraient pu éveiller les soupçons chez un personnel enseignant réputé pour sa perspicacité.
Ce jour d’absence donnait le temps à la machine pour prendre insidieusement le contrôle de cet esprit si jeune surtout qu’il avait toute la « nourriture » qu’il lui fallait.
Dès le début des cours particuliers, Paulo avait conseillé à Stella une alimentation basée sur certaines herbes qu’il lui avait fourni qui étaient censées stimuler son cerveau.
Il s’agissait en fait de tisanes très riches en fer et son corps devait en être saturé au point de contrarier sa santé sur le moyen terme. Mais le Beettle allait puiser dans ces réserves, accélérant sa croissance.
Le jeudi, la jeune fille était bien de retour en cours, motivée comme jamais et Paulo brûlait d’impatience de vérifier si l’opération avait vraiment fonctionné.
Le soir vint et Stella ne manqua le rendez-vous devenu rituel. Elle semblait pâle et fatiguée et Paulo se dit que le Beettle avait dû puiser dans ses réserves de fer, provoquant un petit début d’anémie.
Il allait devoir augmenter les doses de fer de son alimentation pendant plusieurs jours pour éviter qu’elle ne tombât malade. Enfin à condition que le Beettle la contrôlât bien.
Elle s’assit à sa place habituelle et sortit ses affaires. Paulo hésita une seconde mais saisit sa chance.
« Ce soir, nous allons parler de choses sérieuses. »
Elle le fixa alors sans comprendre ce qu’il voulait dire.
« Silence et écoute ce que j’ai à te dire ! Tu n’as pas le talent nécessaire pour réussir dans cette école. Ce n’est pas en tortillant le cul devant ton petit papa comme tu l’as toujours fait que tu vas changer ce fait. »
Choquée par la brutalité de ces paroles, elle ouvrit la bouche pour parler mais rien ne sortit. Elle obéissait à l’ordre qu’on lui avait donné de garder le silence. Le sourire de Paulo devint alors carnassier.
« De toute façon, ton avenir n’est pas ici. Pas dans ces métiers que tu ne mérites pas. Ton destin est de devenir ma chose. »
Son expression devint presque grotesque mais elle était toujours incapable de parler. Paulo porta le coup de grâce.
« Tu es déjà ma chose. Ma chienne bien obéissante et tu vas me le prouver en me montrant tes seins, tout de suite ! »
Son visage se décomposa alors que ses mains se portaient sur les boutons de son chemisier. Elle se mit à pleurnicher alors qu’elle écartait les pans du vêtement pour exposer son soutien-gorge blanc.
Elle resta quelques secondes, le chemisier totalement ouvert et sa poitrine juste protégée par ce dernier bout de tissu.
« Je veux les voir ! Enlève-moi ça ! »
De nouveau et en dépit de ses pleurs toujours plus insistants, elle s’exécuta et dégrafa le soutien-gorge qui glissa doucement le long de son ventre. Son 85E insolent apparut alors. Ses mamelons guère habitués à se retrouver ainsi exposés, se dressèrent sous l’effet de la fraîcheur du soir.
Le sang de Paulo bouillit dans ses veines, il voulait jouer avec cette poitrine si généreuse. Il avait déjà soumis Avrora mais ne pouvait pas encore profiter pleinement de son corps si sensuel car il devait encore abattre Jordi Calvez.
« On ne bouge pas ! Ordonna-t-il en comblant l’écart que le séparait d’elle. »
Il prit cette poitrine si généreuse en main et commença à la triturer. Fabuleusement naturelle, elle était très douce et souple. Son imagination se perdait en fantasmes tous plus incroyables les uns que les autres et il pensait aussi à la somme d’argent que ce visage d’ange couplé à ce corps de diablesse allait lui rapporter une fois ajoutée à son cheptel de gagneuses à Portelo.
En attendant, elle continuait à pleurnicher tout en le laissant profiter de son corps. Une érection le tenait, tellement forte qu’elle lui faisait mail. Malheureusement pour lui, il ne pouvait pas profiter totalement de la situation.
Ils se trouvaient au cœur même de l’école et quelqu’un aurait pu venir, les trouvant dans une situation compromettante. Il allait devoir encore faire preuve de patience.
Cependant, il ne pouvait pas non plus, rester dans cette situation.
« Tu vas me tailler une cravate de notaire ! Décida-t-il. »
Elle afficha une mine surprise et il comprit qu’elle ne savait pas de quoi il parlait. Une évidence s’imposa à lui.
« Dis-moi ma petite chèvre, serais-tu encore pucelle ? »
Elle hocha simplement la tête et il se mit à rire. Une vierge, voilà une information guère surprenante en réalité.
Ce cher papa Sandro avait tellement protégé sa petite chérie qu’il avait dû faire fuir tout homme qui avait voulu s’approcher un peu trop près de ses atours pourtant si attirants. Ce faisant il venait de faire un cadeau fantastique à son pire ennemi.
« C’est simple, reprit-il. Tu va me branler avec tes gros nibards ! Ils sont tellement volumineux que ca va être un authentique plaisir ! »
De nouveau, elle se montra hésitante, ignorante de la chose.
« Très bien, souffla-t-il faussement lassé. Tu vas prendre tes gros lolos en main et les enrouler autour de ma bite. Ensuite, tu va bien les serrer et monter et descendre de plus en plus vite. »
Elle s’exécuta immédiatement, le beettle avait pris le contrôle de son corps et elle lui appartenait totalement.
Il sentit le contact chaud de sa poitrine sur son pénis et le mouvement d’aller-retour fit monter son plaisir, doucement.
Il décida de prendre l’initiative et commença à bouger entre ces mamelles si chaleureuses. Il pistonna quelques minutes cette poitrine généreuse puis soudain sentit monter dans son entrejambe la chaleur indicatrice d’une éjaculation.
Il se fixa une seconde et gicla directement sur le visage de la jeune fille. Prise au dépourvu, cette dernière fut maculée de sperme, étant même aveuglée par plusieurs gouttes. Elle s’effondra en pleurs en tentant de se nettoyer les yeux.
Paulo réajusta son pantalon et rejoignit son bureau. Prenant une petite boîte de papier, il la projeta en direction de sa jeune victime.
« Nettoie-moi tout ça ! Fit-il. Tu es plus sale que la dernière des putes de trottoir. »
Elle prit la boite et commença à s’essuyer le visage, tentant d’effacer les traces de l’acte odieux qu’elle venait de commettre contre sa propre volonté.
Paulo la laissa faire en silence puis reprit la parole.
« Repose-toi bien ma belle car la suite va être sportive. Je connais ton adresse et je viendrai t’y rejoindre dès vendredi soir. Attends-moi dans ta tenue la plus sexy. Fais-toi belle pour cette occasion car ce sera un jour unique dans ta vie. Demain soir, je vais prendre ta fleur ! »
La jeune femme écarquilla encore les yeux de surprise. Elle semblait convaincue d’avoir affaire à un fou. En dépit de ce qu’il venait de lui imposer sans faire preuve de la moindre violence, elle n’imaginait pas une seconde se plier ainsi à ses désirs. Elle se trompait bien évidemment.
CHAPITRE 4
Stella sortit dévastée du bureau du professeur Esteves. Cet homme qu’elle respectait et qu’elle pensait être un homme droit venait tout simplement d’abuser d’elle.
Elle ne comprenait pas comment cela avait été possible, comment elle avait pu se plier ainsi à sa volonté mais elle savait qu’elle allait lui faire payer.
Appeler la police ? Non, elle ne connaissait personne et parlait à peine le portugais.
Prévenir les responsables de l’école ? Non, le professeur Esteves était reconnu et elle savait qu’ils lui avaient vainement proposé pendant des années de travailler avec eux. Ils pourraient aussi vouloir préserver leur réputation en dissimulant cette sombre affaire.
Il ne lui restait donc plus qu’une solution. Elle prit son téléphone et appela son père.
« Allô, chérie, fit la voix enjouée de Sandro Ramirez. Ca va ?
- Euh, papa, hésita-t-elle.
- Il y a un problème ? S’inquiéta alors son père qui la connaissait tellement bien.
- Non, répondit-elle alors avec horreur. Non tout va bien, la ville est superbe et les cours vont de mieux en mieux. Le professeur Esteves est une excellente aide.
- Tant mieux. Tu sais que je n’ai pas eu que des bonnes relations avec lui mais je suis heureux qu’il soit passé à autre chose. C’est très bien. Tu as besoin que je t’envoie un peu d’argent ?
- Non, ça va. Je voulais juste te parler un peu. Tu sais, Portelo me manque un peu. »
Leur conversation continua alors sur le même ton anodin. Stella avait le cœur battant et transpirait abondamment mais à aucun moment sa voix ne trahit la tension qu’elle subissait.
De nouveau, elle se pliait aux ordres du professeur et cachait, même à son père, les atrocités qu’il lui avait fait vivre et surtout celles qu’il lui avait promises pour le lendemain.
La journée de vendredi se passa comme dans un cauchemar, surtout parce qu’elle fut tout à fait normale.
Elle se leva le matin, prit sa douche et se rendit à l’école. Les cours se déroulèrent normalement dont un avec le professeur Esteves.
Stella avait le cœur battant de rage en le voyant se pavaner sur le podium devant tous ces jeunes gens en admiration. Elle se demanda alors si elle avait été sa seule victime ou si d’autres subissaient le même sort. Elle n’avait bien entendu pas la réponse. Si elle était négative, pourquoi avait-il jeté son dévolu sur elle ? Pourquoi devait-elle subir cela ?
Puis elle se rappela des mots du professeur la veille. Il avait visiblement une rancœur vis-à-vis de son père. Elle vivait cela parce qu’elle était la fille de Sandro Ramirez.
En tout cas, Esteves ne montra aucun comportement particulier à son encontre, rien qui pusse trahir ses déviances.
Le pire, c’est qu’elle-même ne manifesta rien de la tempête qui régnait dans son for intérieur. Elle prit tous les cours sans trembler, comme une bonne élève.
La soirée arriva donc et elle rentra chez elle pour se préparer. Car de nouveau, elle obéit aux consignes qu’il lui avait donné et elle chercha la tenue la plus sexy qu’elle possédait.
Il s’agissait d’un tailleur noir proche de celui qu’elle porterait quelques semaines plus tard quand elle racolerait Carl Guarindo dans ce bar sordide. Il était cependant plus échancré, dévoilant beaucoup plus son décolleté si avantageux.
Paulo arriva en début de soirée, affichant cette expression si malsaine qu’elle ne lui connaissait pas jusque-là.
Il sonna à l’interphone et elle lui ouvrit immédiatement puis l’attendit dans l’embrasure de la porte comme le ferait une amoureuse. Il sembla apprécier son comportement ; sa tenue beaucoup moins.
« C’est ce que tu appelles sexy ? Ironisa-t-il. Tu n’as pas mieux. »
Elle secoua lentement la tête et il soupira.
« C’est pas grave. Nous allons changer cela. Vu ton avenir, tu devras être bien plus affriolante. »
Elle ne comprit pas ce qu’il voulait dire mais les perspectives n’étaient pas bonnes. Qu’est-ce que cet esprit malade pouvait bien avoir imaginé ?
Il fit un rapide tour du propriétaire. Son appartement était vaste, bien loin des petits studios étudiants habituels.
Elle avait un grand salon de presque 20 m² donnant sur une cuisine ouverte et une chambre attenante de plus de 13 m². Elle ne connaissait pas le montant du loyer, son père payant tout directement mais elle se doutait qu’il devait être élevé pour le pays.
« Une petite dinde dans un joli petit nid, ricana-t-il. Tu n’as jamais eu à souffrir pour avoir ce que tu voulais. Ca va changer, ça aussi. La douleur va devenir ton quotidien, ton talent unique. »
Il était toujours aussi abscond et elle comprit qu’en réalité, il ne s’adressait pas à elle. Il réfléchissait à haute voix comme si elle ne comptait pas telle un objet.
« Bon, passons aux choses sérieuses. Tu as beaucoup à apprendre. Voyons comment tu te sers de ta bouche. A genoux et taille moi une pipe ! »
En dépit de tous ses efforts pour résister, ses genoux se plièrent jusqu’à toucher le sol et elle s’approcha de son entrejambe pour dégrafer son pantalon.
Elle resta quelques secondes à fixer ce membre de chair à moitié tendu qui pendait devant son nez.
« Et bien ? S’étonna-t-il. Qu’est-ce que tu as ? Ne me dis pas que c’est la première fois que tu vois une bite. »
Elle baissa les yeux, honteuse. Il éclata de rire.
« Mais tu es vraiment une oie blanche dans toute sa splendeur. C’est encore mieux que ce que je pensais. Nous allons bien nous amuser ! »
Il la força à avaler son sexe puis donna des ordres très précis. Elle se plia à chacun sans hésiter.
Elle fit aller et venir sa bouche, utilisa sa langue pour lui titiller le gland et même ses dents pour doucement l’exciter. Elle ne connaissait rien de ces pratiques mais son corps était tellement soumis à cet homme qu’il fonctionnait comme sur pilote automatique.
Un liquide au goût amer envahi sa bouche. Elle apprendra par la suite qu’il s’agissait de quelques gouttes de sperme qui pouvaient gicler lors de l’acte avant l’éjaculation proprement dite.
Pour l’instant, c’était juste une substance infame qu’elle dut avaler et qui lui donna la nausée.
Finalement, il la libéra et elle poussa une grande expiration en tentant de recracher les gouttes de sperme qu’elle avait déjà avalé mais qui lui laissaient un goût horrible dans la bouche.
Il brandit alors son sexe tendu devant son visage.
« Tu as fait du très bon travail, estima-t-il. Tu es clairement douée pour ça. Une bonne petite salope cachée derrière les apparences d’une fille sage. Passons à plus sérieux. »
Il s’assit sur le lit alors qu’elle restait immobile à genoux au milieu de la pièce.
« Debout ! Relève ta jupe ! »
Elle s’exécuta et exhiba ainsi son entrejambe juste caché par un string en satin noir.
« Ah, tu as quand même quelque chose d’un peu affriolant, ricana-t-il. C’est pas mal tout ça mais tu vas m’en montrer plus ! Non, tu vas tout me montrer en fait ! Je veux un bon petit strip-tease et mets-y de l’envie et de l’ardeur ! Danse pour moi, ma petite caille ! »
De nouveau, elle se soumit et commença à se déshabiller tout en se dandinant de manière éhontée. Paulo ne cessait de lui donner des consignes afin de rendre son show involontaire le plus chaud possible.
Comme une marionnette, elle suivit chacun de ces ordres, s’humiliant toujours plus devant ce pervers. Elle ne comprenait toujours pas comment elle pouvait se plier ainsi mais rien ne semblant entraver le contrôle qu’il avait sur elle.
Elle finit donc totalement nue à tourner sur elle-même en bougeant du bassin. Sa poitrine imposante se balançait de manière obscène au rythme de ses mouvements de danse. A bout de souffle, elle se demandait combien de temps il allait la laisser ainsi s’épuiser pour son seul plaisir mais elle savait aussi que la fin de ce spectacle ne serait que le prélude de souillures encore pires.
Paulo finit donc par se lasser de ce petit jeu et lui permit enfin d’arrêter de gesticuler.
« Maintenant, tu vas devenir une femme. Cambre-toi sur le lit et écarte les cuisses ! »
Alors qu’elle s’exécutait, il se leva pour se placer dans son dos. Il resta une seconde à admirer cette magnifique croupe si prometteuse puis s’insinua entre ses cuisses pour la pénétrer d’un coup sec.
La jeune fille hurla alors qu’elle perdait sa virginité. La douleur qu’elle ressentait alors qu’il transperçait son hymen était terrible mais le désespoir de devenir l’objet sexuel de ce salaud était la vraie raison de ses cris.
Depuis des années, elle avait souvent fantasmé sa première fois et jamais elle n’avait imaginé qu’elle fût aussi cauchemardesque, lors d’un viol par un homme à l’âge d’être son père. Et elle n’y pouvait rien, il la possédait de toutes les façons possibles.
Paulo, de son côté, goûtait chaque seconde de cet acte si jouissif. Il donnait de grand coup de reins qui la faisait avancer de plusieurs centimètres. De temps en temps, il se penchait en avant pour jouer avec sa poitrine si généreuse qui allait et venait au rythme de la saillie.
Stella avait l’impression que ce viol infame durait des heures et elle devait subir tout cela stoïquement sans aucun moyen de fuite ou de lutte.
Paulo ralentit alors et se pencha pour murmurer à son oreille.
« Je présume que le petit ange ne prend pas la pilule. »
Elle se contenta de hocher la tête pour confirmer ce fait. Il ne pouvait prendre le risque de la mettre enceinte, pour des dizaines de raisons différentes.
Il se retira donc et elle s’effondra sur le lit, en larmes. Mais il n’en avait pas encore fini avec elle.
« Redresse-toi ! Tends bien la croupe et écarte les fesses ! Il me reste une dernière virginité à te prendre. »
Elle se crispa en comprenant ce qu’il voulait faire mais, encore, elle se plia et reprit sa position cambrée avant d’écarter ses globes fessiers pour découvrir son petit anus si serré.
Elle pleurait et suppliait alors qu’elle sentait son gland presser sur son œillet anal. Elle dut accepter cette sodomie alors qu’elle n’avait même imaginé subir un jour cet acte contre nature.
Paulo était aux anges et il s’enfonça doucement dans ces entrailles inviolées. Elle était fabuleusement serrée lui donnant des sensations sans commune mesure.
Lentement mais sûrement, il enfonça son sexe jusqu’à la posséder totalement et que ses couilles cognent contre les fesses de sa victime.
Il commença alors à donner des coups de boutoir et Stella se mit à hurler à pleins poumons. Cette fois ce ne fut que l’expression de sa douleur. Ses entrailles n’étaient plus qu’un magma de douleur alors qu’elle sentait ce membre de chair qui la détruisait de l’intérieur.
Heureusement pour elle, il était tellement excité par tout ce spectacle qu’il jouit en quelques minutes. Le sperme s’écoula dans les intestins de la jeune fille qui n’en pouvait plus de crier et de pleurer.
Il s’écroula sur son dos et elle ne put supporter son poids. Ils s’écroulèrent tous les deux sur le lit, en nage.
« C’est parfait, déclara-t-il en lui tapant bruyamment sur les fesses. Tu as un grand avenir dans ma petite entreprise. »
CHAPITRE 5
Ainsi il avait circonvenu cette petite chérie. Il l’avait laissée encore quelques temps à Rio, histoire de ne pas faire coïncider leurs deux départs.
De toute manière, elle était totalement en son pouvoir et n’attendait que son ordre pour revenir à plat ventre.
Le retour d’ailleurs fut brutal. Accueillie avec scepticisme par son père qui ne comprenait pas pourquoi elle abandonnait ainsi ses études, elle se comporta de manière abjecte et provoqua une dispute comme ils n’en avaient jamais connu.
Les mots dépassèrent les pensées, surtout chez son père qui l’invita à partir si elle refusait de retrouver un peu de bon sens et fut terrassé quand elle le fit.
Paulo qui avait orchestré tout cela, l’accueillit chez lui les bras ouverts.
Commença alors sa « formation » car elle comprit enfin qu’il la destinait à devenir prostituée dans un établissement qu’il venait de créer.
Ainsi, il la baisa à de multiples reprises puis lui fit découvrir l’horreur des relations lesbiennes. Sa rencontre avec Avrora accéléra encore la chute.
La jeune russe récupéra le titre d’enseignante. Avec sa déjà longue expérience, elle devait éduquer toutes ces jeunes femmes à l’expérience plus que limitée à l’art de faire jouir des hommes qui les dégoûtaient et elle savait bien des choses.
Les pratiques sexuelles, toutes plus dégradantes, s’enchaînaient dans un rythme de folie.
Puis il y eut les premières passes avec des clients riches et répugnants et cette maudite soirée avec Guarindo. La déchéance de la jeune fille semblait ne pas avoir de limites.
Paulo n’avait cure de ses noires pensées. Il se contentait de la sodomiser encore une fois. Son anus s’était, avec le temps, adapté à la pratique mais la honte qu’elle ressentait demeurait la même et il le savait.
Il la pistonna ainsi pendant de longues minutes jusqu’à éjaculer en elle, une nouvelle fois. Puis il la laissa s’écrouler sur le béton de la terrasse, au bord de la catalepsie.
« Tout ça est très bien ! Déclara-t-il. Et maintenant, tu vas appeler ton amie d’enfance, Emilia Ramos ! Je dois lui parler de son père. »
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