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Portelo, épisode 8

CHAPITRE 1


La soirée était agréable et Carl Guarindo buvait sa bière doucement. Il avait fini sa journée et profitait de quelques moments de calme avec ses collègues avant de rentrer chez lui.

Tout en discutant, il jetait de temps en temps dans la salle avec désinvolture… jusqu’à ce qu’il la vit.


Elle était installée seule à une table dans une zone un peu écartée mais bien en lumière ce qui faisait qu’on ne pouvait la rater. Et le spectacle en valait le coup d’œil.

Brune aux yeux foncés, elle semblait jeune et originaire de l’ile avec son teint légèrement hâlé. Elle était surtout fabuleusement belle et au physique irréprochable bien discernable avec son tailleur noir à la fois sage et taillé pour dessiner ses formes généreuses.

Une telle créature de rêve ne passait pas inaperçue et, en l’espace d’une heure, elle dut éconduire pas moins de 3 prétendants.

Fasciné, Carl ne pouvait détacher son regard de cette magnifique jeune femme et en oubliait jusqu’à la présence de ses collègues.


Puis à un moment, elle tourna son attention vers lui et, incroyable, le gratifia d’un sourire évocateur qui le fit réagir comme il ne l’avait plus fait depuis des années.

Il commanda un verre et l’adressa à cette belle inconnue en espérant qu’elle l’acceptât. Elle le fit dans un sourire qui acheva de lui faire perdre conscience des réalités.


Il quitta sa table et ses collègues pour la rejoindre. Elle l’autorisa à s’assoir avec elle et ils commencèrent à parler.


Elle s’appelait Stella et avait 25 ans soit plus de 20 ans de moins que Carl, à la fin de la quarantaine. Elle venait de terminer ses études et travaillait désormais comme assistante dans un bureau d’avocat.

Carl buvait ses paroles tout en admirant sa beauté juvénile qui le ramenait 20 ans en arrière quand il était un jeune étudiant plein d’avenir.


La discussion continua et le fascina tellement qu’il en oublia l’heure et sa famille qui l’attendait. Les heures passèrent comme des minutes et, à coup de frôlements impromptus et de sourires radieux, Carl se mit à imaginer qu’elle pusse se terminer autrement que par un simple adieu.


L’heure du départ sonna quand même et ils sortirent du bar alors que la nuit était déjà avancée et comme, heureux hasard, elle habitait non loin de chez lui, ils purent faire chemin commun.


Le chemin avançant un silence s’installa entre eux, témoin de la tension ressentie par les deux à l’idée de bientôt se séparer.

Puis le moment fut venu, elle lui sourit en le saluant et il fut pris par un désespoir incroyable. Elle allait disparaître de sa vie aussi simplement qu’elle y était entrée et il ne la reverrait plus.

Il eut alors un geste dont il se serait cru incapable, il l’embrassa. Pas un baiser langoureux ou profond, juste un petit baiser léger qui effleura à peine ses lèvres et la laissa un peu surprise.

Carl recula, un peu contrit de son geste et commença à bredouiller des excuses puis ce fut elle qui le prit par surprise.

Elle bondit littéralement sur lui et colla sa bouche sur la sienne. Ce baiser là était bien plus passionné et il perdit définitivement le sens des réalités.

Le jeune fou qu’il pensait mort et enterré depuis bien longtemps se réveilla et il l’enlaça tendrement en lui rendant ce baiser. Son jeune corps sculptural s’imbriqua avec le sien et il sentit le contact tendre et chaud de ses seins sur son ventre.


Il l’entraîna dans une petite ruelle, loin des lumières tout en tentant de défaire les boutons de son tailleur pour avoir accès à cette poitrine si tentante. Il y réussit avec du mal, son 90E apparut fièrement, piégé dans un soutien-gorge blanc qui la retenait avec peine.


De son côté, elle glissa sa main sous la ceinture de son pantalon et commença à lui caresser le pénis avec énergie.

Carl se sentait comme au paradis. Il fit glisser les balconnets de son soutien-gorge et commença à lui pétrir les seins avec son énergie d’adolescent.

Elle se baissa alors tout en faisant glisser son pantalon et prit son sexe en bouche. Il était d’une génération où les femmes ne goûtaient guère à ces jeux de bouche et il ressentit des sensations qu’il ne connaissait pas. La bouche et la langue de cette jeune femme allaient et venaient sur son sexe et lui apportait une chaleur presque oubliée et toujours regrettée.

Ne voulant cependant pas venir trop vite, il l’écarta au bout de quelques minutes et la colla contre un mur en lui relevant la jambe.

Elle ne portait pas de culotte, dernière invitation à la consommation d’un désir qui le consumait totalement.

Il la prit d’un coup sec, ainsi debout contre le mur et commença à besogner tout en l’embrassant fiévreusement. De son côté, elle lui rendait ses baisers et multipliait les caresses sur tout son corps au travers des tissus de ses vêtements.

Il poussait des cris rauques au fur et à mesure de ses coups de boutoir alors qu’elle gardait un silence à peine interrompu par quelques halètements quand il donnait un coup de rein plus puissant.

A un moment donné, il se crispa, sur le point de jouir. Elle le sentit et l’écarta d’elle avant de s’agenouiller pour reprendre son sexe en bouche. Le sperme gicla alors dans sa bouche et elle l’avala goulument, ne laissant couler aucune goutte qui aurait pu salir son tailleur.


Carl était aux anges, il faillit tomber sur les fesses sous l’effet de l’extase qu’il venait de ressentir. Il vivait le plus beau jour de sa vie.

S’il avait vu l’homme, caché dans un recoin encore plus sombre, qui était en train de filmer leurs ébats, il aurait lourdement reconsidéré ses sentiments.




CHAPITRE 2

Assis dans son fauteuil, Paulo suivait les informations avec une certaine délectation. Toutes les chaînes de télé faisaient leur une sur la guerre des gangs qui ensanglantait les quartiers populaires de Portelo.

Les experts s’enchaînaient pour expliquer les causes profondes de ce massacre qui durait depuis plusieurs jours et la mort dans un attentat de toutes les autorités de la famille Calvez, la plus puissante de la ville, mais aussi d’une bonne partie des capi des autres familles.

« Doucement ma chienne ! Intima-t-il à l’intention d’Avrora qui était actuellement entre ses cuisses, son sexe en bouche. »


Car aucun de ces « experts » n’avait conscience qu’il était le cerveau qui avait orchestré tous ces événements et que sa cheville ouvrière avait été la pute russe qui était en train de lui sucer la queue.


S’il était une chose dont Paulo avait toujours été fier c’était son intelligence et sa capacité à anticiper les problèmes. Il avait toujours su qu’il serait amené à se heurter aux Calvez à un moment donné et avait voulu les prendre de vitesse.

Payer des privés pour qu’ils enquêtassent sur cette puissante famille de proxénètes ne fut pas chose simple, les plus audacieux n’osèrent même pas s’approcher à moins de 100 mètres de leurs demeures mais ils lui avaient fourni une information capitale, le nom de la nouvelle favorite de Jordi Calvez, une dénommée Avrora Shapolova, authentique bombe sexuelle russe et prostituée de son état. Elle fut son cheval de Troie dans la famille Calvez.


La faire venir à lui était facile. Un appel suivi du paiement en direct d’une belle somme et voilà cette magnifique femme aux longs cheveux châtains et aux mensurations dignes de la plus gironde des poupées Barbies en visite chez lui pour une nuit entière de tortures et d’implantation.


Etrangement, cette fille avait démontré une volonté bien supérieure à celle de ses précédentes victimes et il avait dû payer un lourd supplément pour la garder chez lui pendant une journée entière afin que les tentacules du beettle pussent accentuer son influence sur cette femme à la résistance éprouvée par des années sous le joug de différents macs.


La somme payée avait été énorme mais l’investissement valait le coup. Les Calvez étaient de vrais machos qui ne considéraient pas les femmes comme un danger potentiel et Jordi menait souvent ses affaires tout en besognant ses favorites du moment comme s’il voulait ainsi prouver sa virilité.

Ainsi, Avrora avait pu le prévenir à l’avance des manigances du parrain. Il avait été averti du projet d’agression de Jana et l’avait laissé faire car il savait que le but n’était pas de blesser la jeune femme mais de faire peur. C’était un avertissement.


Avrora avait aussi remarqué le petit jeu de Pablo et ses disparitions impromptues sans aucune escorte. Paulo avait ensuite dénoué les fils de ce mystère assez rapidement. Pablo était un homme intelligent et efficace mais qui avait le malheur d’avoir des penchants plus que scabreux et surtout très mal vu dans le monde des mafieux. Pour les assouvir, il se mettait en danger, pensant sans doute que personne n’oserait s’en prendre au consiliere d’une famille aussi puissante que la sienne. Il se trompait.

Quelques dollars et un billet d’avion pour un pays plus accueillant avaient suffi pour convaincre la pute qui lui bourrait le cul deux fois par semaine de verser de la drogue dans son verre et Paulo avait pu faire sa petite opération rituelle et soumis cet homme influent.

La suite avait été aussi simple que morbide. Pablo était devenu une bombe humaine que personne du service de sécurité des Calvez n’avait envisagé de fouiller.


Pour compléter le tableau, la belle russe avait annulé les invitations envoyées aux Galindez, grands ennemis des Calvez, et l’absence de ces derniers en avait fait les principaux suspects de l’attentat.

Les seconds couteaux Calvez n’attendirent pas les résultats d’une enquête de toute manière bâclée par une police corrompue ou peu concernée par le sort de mafieux pour régler leurs comptes.

Avec l’entrée en jeu d’autres familles qui choisirent un camp ou l’autre, la guerre était lancée. Le temps qu’elle se terminât, Paulo avait le temps de monter tranquillement sa petite affaire jusqu’à devenir intouchable.

Avec les clients réputés (avocats, juges ou politiques influents) qui faisaient déjà la queue pour profiter des services de ses petites chéries, ce temps allait rapidement venir.

Le problème Calvez était réglé, restait l’autre.




CHAPITRE 3


Dès qu’il entra dans son salon, Carl sentit que les choses allaient mal se passer. Yvonna, sa femme, l’attendait assise devant la table du salon.

Après 20 ans de mariage, il avait appris à anticiper ses pires humeurs et les disputes qui allaient avec. Mais cette fois-ci, il lui voyait une expression qu’il ne connaissait pas mais qui l’inquiéta au plus haut point.

« Comment as-tu osé ? Gronda-t-elle en lui jetant un regard noir.

- Pardon ? S’étonna-t-il. »


En guise de réponse, elle balança sur la table, une grande enveloppe. Les photos qu’elle contenait se répandirent alors sous ses yeux et son cœur s’arrêta net.


Il se vit alors en pleine action avec la jeune et belle Stella. Les photos étaient d’une telle qualité en dépit de l’atmosphère nocturne qu’elles ne pouvaient avoir été prises que par un spécialiste. Il comprit alors qu’il avait été piégé. Mais le temps n’était pas à ce genre de réflexion, il fallait gérer la tempête qui arrivait.

« Chérie, je…

- Tais-toi, ordure. 20 ans de mariage ! 20 ans à supporter des humeurs et son sale caractère ! 20 ans à élever tes enfants et à attendre que tu rentres de tes soirées entre potes l’haleine puant l’alcool. Et pourquoi ? POUR CA !!!! »


Carl recula d’un pas mais ne trouva pas d’arguments. Il avait cédé à ces penchants qui le hantaient depuis tellement d’années et devait en payer les conséquences.

« Mais il y a pire, encore, reprit Yvonna. Sais-tu l’âge de cette petite salope ? Elle a 17 ans ! 1 an seulement de plus que ta fille. »


Ce fut un coup de poignard supplémentaire. Stella était mineure et à Santa Chiara, on ne rigolait pas avec ça. Il risquait la prison.

« Non, put-il articuler, sous le coup de l’émotion. C’est impossible.

- Oh si, c’est possible ! »

Elle lui tendit un papier qui n’était autre que la photocopie d’un passeport. La photo était bien celle de Stella et la date de naissance indiquée ne laissait aucunement la place au doute.

« Si jamais cela se sait, continua-t-elle. Si jamais la justice s’en mêle, nous allons tout perdre.

- Je… C’est ce connard d’Esteves.

- Bien sûr que c’est lui. Qui crois-tu qui m’a donné tous ces documents ? Il est venu en personne. Il a pu profiter de mon humiliation en direct. Tu ne m’auras rien épargné.

- Je vais lui faire payer.

- TAIS-TOI !!! Il faut éviter le pire. Eviter la police et que ta fille te voie entre deux policiers pour avoir baisé une pute à peine plus vieille qu’elle. Esteves a renouvelé son offre d’achat de notre appartement. Tu vas l’accepter tout de suite. Nous allons partir loin d’ici et de ce monstre pervers. Ensuite, nous verrons si nous avons encore un avenir. »


Les phrases étaient dures presque coupantes. Carl avait envie de rétorquer qu’il refusait de donner la victoire à cette pourriture d’Esteves mais il savait qu’elle avait raison. Il avait trop à perdre dans un bras de fer. Il était piégé comme un rat en cage. Esteves avait gagné.


CHAPITRE 4


Carl tapa lourdement à la porte de l’appartement de Paulo et eut la surprise de voir Stella lui ouvrir.


Son cœur se serra en voyant celle qui avait détruit sa vie. Elle était bien différente de leur première rencontre.

Son tailleur noir si stricte qui lui donnait un air si mature avait été remplacé par un bustier noir serré qui rendait son décolleté totalement obscène. Elle portait une petite jupe rouge très courte qui dévoilait toutes ses jambes. Une tenue digne de la pute qu’elle était.

Sans son maquillage habile, son jeune âge apparaissait évident et cela détruisit ses derniers espoirs. Personne ne croirait qu’il ait pu se laisser abuser sur l’âge de ce visage poupin de jeune fille tout juste sortie de l’enfance.

Il serra les dents de rage et entra alors qu’elle lui laissait le passage, un sourire narquois au coin des lèvres.


Esteves se trouvait installé dans son salon et une autre jeune femme se trouvait agenouillée entre ses cuisses à lui prodiguer une fellation. Il se redressa un peu et le considéra d’un air ironique.

« Mon cher Carl, fit-il. Quel plaisir de vous voir. J’ai pensé que Vous seriez heureux de revoir Stella. A ce que je sais, elle vous a fait tourner les sangs la dernière fois. Il faut dire qu’elle est incroyablement douée en dépit de son âge. Certaines ont ça dans le sang. »


Il éclata de rire alors que Carl serrait les poings. Dans son dos, Stella restait impassible au discours outrageant qu’il tenait à son encontre.

« Assez de simagrées, fit Carl qui n’en pouvait plus. Tenez ! »


Il jeta l’enveloppe sur le sol à moins d’un mètre du proxénète qui ne réagit pas.

Stella le fit pour lui et s’accroupit pour ramasser les documents. Sa jupe se souleva, dévoilant ses fesses rondes bien démarquées par le fil de son string.

Le cœur de Carl s’emballa devant cette vision et il sentit monter en lui ce désir malsain qui l’avait conduit aux portes de l’enfer.


Esteves éclata de rire en comprenant ce qui arrivait à son futur ex-voisin et ce dernier perdit toute contenance. Il tourna les talons et quitta cet appartement comme s’il avait le diable à ses trousses.



CHAPITRE 5


Guarindo était parti comme le vent et Stella lui apporta les documents qu’il avait jeté sur le sol.

Tout était signé. L’appartement de ses voisins était désormais à lui. Il l’avait payé au prix fort mais ce n’était pas grave, ça les valait largement. Il possédait désormais tous les appartements de son étage.


En effet, le propriétaire du dernier T3 avait accepté son offre la semaine précédente autant pour échapper au ballet incessant des clients et aux cris d’extase qui ne manquaient pas d’envahir son appartement que par appât du gain.

Il allait donc pouvoir privatiser son étage et créer cet établissement qu’il voulait tant. Les aménagements nécessaires étaient conséquents mais le résultat serait fabuleux et la rentabilité de son activité allait en être décuplée.

Avec les deux T3 et le T4 des Guarindo, cela faisait 7 chambres. 7 chambres pour 7 filles.

Avec les 4 déjà présentes et les deux qui attendaient en Europe qu’il les sifflât, il ne restait donc qu’une place pour une petite chienne et il savait déjà l’identité de la malheureuse élue. Une élue qui en plus ferait avancer un autre de ses projets qui lui tenait tout autant à cœur.


Mais le temps n’était pas encore à toutes ces considérations, il devait juste profiter pleinement de cette victoire qui maintenait son plan sur les bons rails.

Il écarta Avrora qui n’avait pas cessé sa fellation. La prostituée russe se posa sur le sol mais ne constituait pas un centre d’intérêt pour l’instant. Il fit se relever Stella pour la considérer.


Elle n’était pas mineure contrairement ce qu’il avait fait croire aux Guarindo mais très jeune, à peine plus de 18 ans. Mais bon dieu qu’est-ce qu’elle était sexy. Avec ce corps si bien formé et ce visage presque enfantin, elle présentait un cocktail détonnant qui n’allait pas manquer d’attirer foule de clients. Mais c’était pour l’avenir, pour l’instant, il était le seul à profiter des charmes de cette petite salope.


Il commença à la peloter au travers de son bustier si ajusté.

« Alors ma chérie, ricana-t-il. Tu n’es pas triste de voir ton amoureux partir ? Le père Carlito était un bon baiseur, non ? Je t’autorise à parler librement. »


Elle perdit alors cette expression cynique qu’il lui avait imposée pour une mine défaite, des larmes aux bord des yeux.

« Non, pleura-t-elle. Il sentait l’alcool et la transpiration. Il m’a laissé des traces de partout et m’a fait horriblement mal. Je vous en prie, arrêtez de me faire ça.

- Oh, non, ma chérie. Tu es bien trop bandante et je dois bien me rembourser.

- Rembourser ?

- Tu demanderas à ton père. Mais silence maintenant ! Il est temps de faire ce que pourquoi tu es née : écarter les cuisses et accepter toutes les bites qu’on te présentera ! »


Toujours en larmes, elle commença à se déshabiller pendant que Paulo prenait son sexe en main et le tendait dans sa direction.


Soumise et anéantie, elle s’agenouilla pour prendre ce pénis en bouche. Elle qui était encore récemment totalement inconsciente de ces choses devenait de plus en plus experte dans toutes les pratiques les plus scabreuses.


Il fallait dire que depuis qu’elle avait rejoint le cheptel de Paulo, elle subissait une formation accélérée entre séances de lesbianisme avec les autres filles de la maison et rapports sexuels intenses avec Paulo et quelques clients privilégiés qui avaient payé une fortune pour profiter d’une jeune femme dont la perte de la virginité datait de moins d’un mois. Avec ses atours aussi engageants, elle avait attiré bien des convoitises et conduit à des surenchères impressionnantes. Cela ne présageait rien de bon pour son avenir quand elle deviendrait une résidente officielle de cette maison de perdition.


Paulo ne s’attarda pas à ces jeux de bouche. Le travail d’Avrora avait été suffisant pour le stimuler comme il fallait et il entraîna la jeune femme sur la terrasse. Dans ce panorama grandiose entre la ville et le golfe del Leone, il comptait bien s’amuser au maximum.


Singeant Guarindo, il plaqua la jeune fille contre un mur et lui souleva la jambe pour la prendre d’un coup sec qui la souleva quasiment du sol.

Il commença à la besogner avec toute l’énergie dont il se sentait capable comme s’il voulait compétitionner son désormais ancien voisin.

Stella se laissait faire mais pleurait et le suppliait d’arrêter ce qui accentuait son plaisir et son ardeur.

Il donna encore quelques coups de reins violents qui la faisaient s’envoler chaque fois puis décida de pimenter l’histoire.

Il la tourna légèrement et l’obligea à enrouler ses bras et ses jambes autour de lui de telle façon qu’il la portait en même temps qu’il la violait.

Il se dirigea alors vers le bord de la terrasse et posa les fesses de sa partenaire sur le garde-corps de telle façon qu’une partie de son corps se trouvait dans le vide. Les mains de Stella se crispèrent autour du cou de son violeur.

« Ah ma salope ! Ria-t-il. Tu es à moi ! Tu as conscience que si je te l’ordonne, tu lâcheras prise et basculeras dans le vide ? »


Le visage de la jeune fille se décomposa encore plus et elle serra encore son étreinte autour de son cou, témoignant de la terreur qu’elle ressentait.

Paulo goûtait tout de cette situation. Bien entendu, il ne comptait pas sacrifier ainsi une aussi belle pouliche qui promettait de lui rapporter une vraie fortune et pour laquelle il avait d’autres projets destinés à lui faire retrouver les biens dont on l’avait spolié.

Il accéléra le rythme de ses coups de reins qui répondaient aux pleurnicheries de sa victime. Dans cette position, le dos et les fesses de la jeune fille étaient parfaitement visibles depuis le bas de la résidence et certains passants, s’ils avaient été un peu attentifs auraient pu profiter de ce spectacle improbable.


Mais Stella n’avait pas conscience de s’exposer ainsi ou alors oubliait complètement ce fait pour se concentrer uniquement sur sa seule survie. Elle se serra encore un peu plus à lui amenant le sexe qui la violait à s’enfoncer encore plus en elle et ce faisant, comblait encore plus celui qui l’avait transformée en esclave.





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