CHAPITRE 1
Le bateau venait d’arriver et les voyageurs commençaient à arriver dans le petit hall du port. Comme il s’agissait d’un cargo, le flot de passagers était peu important et Paulo n’eut aucun mal à retrouver Victoire et Andréa qui désormais se faisaient appeler Ana-Lucia et …
Les deux jeunes canadiennes avaient un air affreux qui trahissait leur désespoir de revenir vers celui qui leur avait déjà imposé tant d’humiliations.
L’ancien ingénieur s’approcha d’elle, un faux sourire amical sur le visage et les gratifia d’une accolade qu’elles ne purent repousser.
Alors qu’ils se dirigeaient vers la sortie, il se tourna vers elles.
- Alors mes petites chattes, on n’est pas contentes ? Pourquoi ne montreriez-vous pas à tous à quel point vous vous aimez ? »
Les deux jeunes femmes comprirent le message et, contre leur volonté, firent ce que leur tourmenteur attendait d’elles. Elles s’enlacèrent tendrement sous le regard un peu interloqué de certains passants puis s’embrassèrent goulument pendant que leurs mains commençaient à caresser le corps de l’autre.
Aux anges, Paulo prit plusieurs photos de cette scène puis leur indiqua de repartir. Tout cela n’était qu’un petit préliminaire.
Les choses sérieuses commencèrent dans la voiture. L’ancien ingénieur leur ordonna de monter à l’arrière pendant qu’il prenait la place du conducteur.
- J’ai adoré vos petits films, ricana-t-il. Tellement adoré que je veux un spectacle live maintenant. A vos chattes ! Partez ! »
Victoire fut la première à réagir et s’empara du bas du tee-shirt d’Andréa pour le faire passer par-dessus ses épaules. Elle baissa les balconnets du soutien-gorge de son ami et commença à lui lécher la poitrine. Les tétons de la jeune blonde réagirent et commencèrent à pointer fièrement et Victoire fut effrayée autant par le talent qu’elle avait développé dans l’art lesbien en si peu de temps que par la réactivité nouvelle du corps d’Andréa qui apparaissait comme un écho du sien.
Andréa, la fi basculer en arrière et releva sa jupe et baissa sa culotte pour commencer à la masturber autant avec les mains qu’avec la langue.
Paulo fit démarrer la voiture alors que les deux jeunes femmes s’emboitaient dans un 69 qu’elles maîtrisaient désormais à la perfection.
Tout en conduisant, l’ancien ingénieur profitait du spectacle en regardant au travers du rétroviseur. Il pouvait ainsi parfaitement juger du pouvoir exercé par le beettle sur ces deux jeunes femmes qu’il avait transformées en lesbiennes accomplies en moins de deux semaines.
Les deux canadiennes passèrent donc tout le trajet en jeux saphiques qui portèrent leurs fruits puisque l’une comme l’autre jouit à cette occasion. Paulo appréciait ce fait, elles étaient vraiment parfaites pour ce qu’il voulait faire d’elles : magnifiques, d’un type ethnique rare dans ces régions et avec des capacités sexuelles dont personne ne connaissait encore les limites.
Paulo gara la voiture dans son parking et tous trois prirent l’ascenseur. Elles avaient le teint rougi de leurs ébats et les vêtements étaient mal ajustés d’autant plus que l’ancien ingénieur ne se faisait pas prier pour commencer à les peloter. Elles savaient qu’il comptait rapidement passer à des actes plus concrets. Ce ne serait malheureusement pas la première fois qu’il les violeraient.
Quand ils sortirent de l’ascenseur, Victoire remarqua qu’il se dirigea vers la porte d’un autre appartement que le sien.
- J’ai déménagé expliqua-t-il. Celui-là est plus en rapport avec mon standing. Je possède toujours l’autre et il va servir puisque désormais ce sera là que vous vivrez… et que vous travaillerez. »
De nouveau, il parlait de les faire travailler mais aucune des deux ne comprenait ce qu’il attendait réellement d’elles.
- Ne vous offusquez pas de la petite « ornementation » de l’entrée, sourit-il. Elle n’est là que pour quelques jours encore. »
Effectivement quand il ouvrit la porte d’entrée, ce qu’elles virent dans le petit hall d’entrée leur glaça les sangs.
CHAPITRE 2
Le chauffeur gara la limousine sur le parking de la petite résidence et Rhonda Gomes en descendit. Elle donna consigne de l’attendre et se dirigea vers l’entrée de l’immeuble.
Pendant trois jours, Pamela était restée silencieuse devant ses appels et messages répétés laissant planer le risque quasi-certains de poursuites pour harcèlement et voilà que maintenant elle l’invitait à venir la voir chez elle.
Rhonda avait hésité à venir craignant un nouveau piège de ce serpent au corps de déesse mais elle devait tenter de calmer la tempête qui s’annonçait. Un procès marquerait la fin de sa carrière même si elle le gagnait. Nombre des dirigeants de son entreprise bondiraient sur l’occasion pour la destituer et pour se débarrasser d’une femme qui ne cessait d’aller contre les conventions dans ce monde de requins machistes.
Elle ne craignait pas pour ses finances, elle avait une fortune personnelle non négligeable, mais pour son avenir professionnel qui était essentiel. Elle avait passé sa vie à chercher à détruire son image de pute lesbienne qui devait son aisance de la mort bienvenue de son mari fortuné et sans enfant.
Que Pamela tente de la manipuler encore, cette fois, elle était prête.
A sa grande surprise ce ne fut pas Pamela qui lui ouvrit la porte mais un homme dont le visage lui évoqua un souvenir vague.
- Madame Gomes, fit l’homme, heureux de vous revoir. Je ne sais pas si vous vous souvenez de moi. »
Elle fit un geste indécis de la tête et il comprit son trouble.
- J’ai naguère eu quelques relations professionnelles avec votre défunt époux. Un homme bien qui n’avait pour seul défaut de mal assumer son homosexualité contrairement à vous.
- Paulo Esteves, fit-elle alors que les souvenirs remontaient. »
Elle se rappelait maintenant de cet ingénieur des laboratoires Chavez dont elle possédait quelques actions. Son mari l’avait présenté comme un authentique génie qui avait obtenu sa place à la force du jarret après avoir grandi dans une famille des plus modestes. Elle n’avait jamais vraiment compris s’il était juste un ami ou l’une de ses relations sexuelles, Ricardo les multipliait sans jamais s’attacher de peur d’afficher ses réels penchants au nez de sa famille si conservatrice.
- Que faîtes-vous là ? Où est Pamela ?
- Mais ici. Entrez donc. »
Rhonda fit un pas dans l’entrée et fut pétrifiée par la scène qu’elle découvrit.
Pamela était agenouillée à un mètre d’elle, mains posées sur les cuisses et regard fixé sur le sol. Elle portait une tenue indécente composée de sous-vêtement sombre mais quasi-transparents et de porte-jarretelles du même ton.
- Mais que signifie tout cela, gronda la directrice. Torres ! Si c’est encore un de tes pièges scabreux.
- Non, non, calma Paulo en retenant Rhonda qui faisait mine de faire demi-tour. Ce n’est pas un piège. »
Rhonda se fixa et le dévisagea. L’impression qu’elle avait eu lors de leur seul rencontre remonta alors. Il affichait l’apparence d’une homme honnête et modeste mais sous ce crépi, elle avait su décerner un esprit retors et rongé de frustration. Les ingrédients parfaits pour donner naissance aux pires des psychopathes.
Etrangement, il sembla lire dans ses pensées et dévoila un sourire carnassier nullement rassurant. Il la lâcha alors et s’accroupit au niveau de Pamela pour lui caresser l’épaule. La jeune femme ne montra aucune réaction.
- J’ai fait l’éducation de cette salope arrogante, affirma-t-il. Elle en avait besoin et notamment d’apprendre à respecter les personnes meilleures qu’elles.
A cette occasion, cette petite pintade m’a révélé comment elle avait manigancé pour vous conduire au bord du précipice. Après réflexion, je me suis dit que je pouvais vous aider à vous sortir de ce mauvais pas.
- C’est du chantage ?
- Non, une négociation financière. Comprenez bien, je ne suis aucunement à l’origine des basses œuvres de cette grognasses que je ne contrôle que depuis quelques jours. Par ailleurs, je vous respecte. Vous n’êtes pas une victime et vous avez toujours su vous relever des croche pattes que des cancrelats dans son genre vous faisaient. Cependant, j’ai pris possession de cette petite marchandise et elle a une vraie valeur et je veux la monnayer au mieux.
- La monnayer ? Je ne comprends pas ?
- Je pense que vous comprenez très bien au contraire mais que vous pensez la chose impossible. »
Il se tut le temps de glisser sa main droite sous les balconnets de son soutien-gorge et libéra son sein gauche.
- Je vous propose tout simplement d’acquérir cette belle pouliche. Je ne doute pas une seconde que son petit cul bien rond a dû vous exciter plus d’une fois. »
Rhonda se figea de nouveau. Tout cela était incroyablement étrange et elle ne pouvait pas croire que c’était vrai. Paulo comprit cela et en profita pour continuer son explication.
- Je vous l’ai dit. Je l’ai éduquée et elle est désormais parfaitement dressée comme vous pouvez le voir. La Pamela que vous connaissez resterait-elle ainsi sagement soumise ? »
Rhonda Gomes secoua légèrement la tête. Il venait de marquer un point et Paulo décida de forcer son avantage.
- 1,5 Millions, lança-t-il. Voici son prix.
- 1,5 Millions de pesetas ?
- Non de dollars. »
Rhonda Gomes eut un hoquet de surprise.
- C’est une somme énorme, reconnut-il, mais ça les vaut. Je vous offre non seulement cette petite salope au corps si sensuel mais aussi la fin de cette sordide affaire de harcèlement et cela avant même qu’elle n’ait commencée préservant ainsi votre réputation. Enfin, elle vous apportera aussi des preuves de ses malversations mais aussi des moyens de pression contre certains de ses amants occasionnels également membres du comité directeur de votre entreprise. Un excellent moyen d’obtenir enfin ce siège de dirigeant que vous attendez vainement depuis des années.
- Comment croire toutes ces fadaises ?
- Vous avez reçu ces documents dans votre boîte mail. Ce ne sont que des copies sans valeur juridiques mais ils vous prouveront que je ne mens pas. L’avantage d’une vipère, c’est qu’elle garde toujours du venin en réserve. »
Paulo continuait à jouer avec le sein de Pamela qui ne réagissait pas alors qu’elle se faisait traiter de tous les noms. La jeune commerciale était passée dans le lit de trois des décideurs de l’entreprise et avait eu la fabuleuse idée de fouiller dans leurs affaires pour trouver de quoi en envoyer deux en prison pour fraude fiscale. Elle espérait s’en servir dans ses grands projets d’ascension sociale, elles allaient devenir l’arme de Rhonda.
- C’est une somme énorme, affirma Rhonda, reconnaissant ainsi qu’elle envisageait désormais de payer.
- Je comprends. Je vais vous donner tout le temps que vous voulez. Je garde la marchandise le temps de régler les détails. »
Il se releva et jeta un regard vers la commerciale soumise.
- Et si je vous proposais un petit échantillon gratuit ? J’ai une chambre d’amie. Voudriez-vous en profiter avec notre « amie » afin de tester si elle est aussi sage qu’elle le paraît ?
- La tester ?
- Oui, pour tout ce que vous voudrez lui faire. »
Les yeux de Rhonda se mirent à briller devant cette proposition. Tout semblait devenir concret et elle fixa la porte de la chambre alors que Paulo se baissa vers Pamela.
- Tu vas montrer le chemin à la dame. Tu vas être une gentille fille et faire tout ce qu’elle te demande de faire et la laisser te faire tout ce qu’elle veut. Ce sera un bon entraînement pour toi puisque bientôt tu vas devenir sa petite chienne bien obéissante. »
Pamela hocha tristement la tête en se mordant la lèvre jusqu’au sang. Il lui restait donc encore quelques onces dérisoires de volonté. Cependant, elle se leva et se dirigea vers la chambre.
Rhonda jeta un regard gourmand sur les fesses de la jeune femme dévoilées par son string noir et oublia toute sa méfiance pour lui emboiter le pas. Les festivités allaient commencer.
Rhonda Gomes arriva au niveau de Pamela alors qu’elle posait les pieds dans la chambre. La directrice la fit se retourner et baissa brutalement son soutien-gorge dévoilant sa belle poitrine. La jeune femme se laissa faire alors que sa supérieure la conduisait vers le lit tout en malaxant ses seins avec gourmandises.
La directrice commençait à croire les affirmations de Paulo et cela la ravissait totalement.
Elle s’assit sur le bord du lit tout en écartant les jambes. Elle incita Pamela à s’agenouiller entre ses cuisses. Elle portait une robe qui lui descendait jusqu’aux genoux assez ample qui s’écarta naturellement dans le mouvement, faisant apparaitre le gris de son string. Lesbienne et femme d’affaire voulant être prise au sérieux, Rhonda n’en restait pas moins une femme.
- Enlève ma culotte, commanda-t-elle car elle avait compris que Pamela exécuterait tous ses ordres mais ne prendrait aucune initiative. »
La jeune commerciale obéit et tira sur la petite culotte pour révéler l’entrejambe bien épilée de sa directrice. Cette dernière s’allongea sur le dos en écartant encore plus les jambes.
- Au travail, décréta-t-elle. Sors ta langue et fais-moi jouir. »
Pamela qui n’avait aucune expérience des jeux lesbiens ni même jamais imaginé devoir un jour se livrer à de tels jeux humiliants, sortit la langue et commença à la faire se balader au niveau de l’intimité de sa directrice. Les caresses étaient maladroites et un peu lentes.
Rhonda souffla ostensiblement et se redressa.
- Mais quelle gourde ! Tonna-t-elle. J’aurai une fourmi dans la culotte que ça me ferait plus d’effet. Tu n’as jamais léché une chatte, hein ? Non, toi tu es une bouffeuse de bite. On va changer ça. »
Rhonda se releva et attrapa Pamela par les épaules pour la faire pivoter et basculer sur le lit. Les positions furent inversées. Elle retira le string noir de sa subalterne et plongea sa tête entre les cuisses offertes. Sa langue, agile et expérimentée, commença alors son jeu de caresses qui eut un effet bien plus grand.
Pamela se laissait faire comme une poupée, bouillant intérieurement de devoir se laisser ainsi dominée et utilisée comme un simple objet sexuel. Pourtant, elle sentait aussi une chaleur évocatrice. La langue entraînée de Rhonda Gomes réussissait à faire réagir son corps en dépit de tout le dégoût qu’elle ressentait.
Cette tempête de sensations lui faisait presque perdre la tête après avoir perdu son corps.
Rhonda Gomes se fichait bien des états d’âme de sa subalterne. Elle ne voulait qu’une chose faire succomber cette petite vipère si excitante et elle savait qu’elle allait y arriver.
En plus de jouer avec sa vulve et son clitoris, elle tendit les bras pour s’emparer de ses seins. Ces nouvelles caresses produisirent de nouvelles sensations dans le haut du corps de la jeune femme qui, contre sa propre volonté, émettait des petits cris de plaisirs. Elle finit par craquer littéralement.
Pamela se contracta et poussa un premier cri trahissant son plaisir. Elle était terrassée par un orgasme comme elle n’en avait jamais connu.
Rhonda cessa alors toute action et releva le visage. Sa bouche brillait de la cyprine de sa jeune compagne et cela la ravissait.
- Tu vois comment on fait pour faire jouir une femme, expliqua-t-elle. La prochaine fois, ce sera ton tour et tu devras être plus habile. Mais avec une bonne professeure, tu le deviendras. »
En entendant ces mots, Paulo sut qu’ils allaient faire affaire.
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CHAPITRE 3
Rhonda Gomes partit donc et, à la vue de son air, Paulo savait qu’elle ferait le virement dans la journée.
Ses affaires prenaient donc une excellente tournure, meilleure que ce qu’il avait planifié à l’origine.
Il jeta un regard vers la chambre d’amie où Pamela reprenait son souffle difficilement.
- Allez ma connasse, lança-t-il. Ramène ton petit cul, ici. »
La commerciale se redressa comme un robot et se dirigea vers le salon où Paulo travaillait devant son ordinateur. Connaissant ce qu’on attendait d’elle, elle s’agenouilla, passa sous la table avant de se glisser entre les jambes de l’ancien ingénieur et de te tirer sur sa braguette.
Alors qu’il sentait la bouche de la jeune femme avaler son pénis, Paulo retourna vers le résumé de ses plans.
La soumission de Pamela avait pour principal objectif d’obtenir à moindre frais son appartement et de la dépouiller. La jeune femme avait accumulé une belle somme d’argent grâce à ses petites magouilles que Paulo avait mises à jour en piratant son ordinateur. Cette somme était vitale pour lui.
Les beettles coûtaient des fortunes à produire, presque 300 000 dollars chacun, et il avait dû s’endetter pour fabriquer les 4 qu’il possédait. Il se retrouvait donc aux abois financièrement et n’avait plus de machines à implanter et tant de besoin puisqu’il ne lui restait plus de beettle.
Les manigances de Pamela lui avaient finalement offert une fantastique opportunité. Avec cette fortune, il allait pouvoir lancer la suite de ses plans. Toutes les planètes s’alignaient donc.
Il était en train d’organiser la suite. Son appartement était désormais occupé par Victoire et Andréa qui attendaient sagement la suite des opérations qui dépendaient maintenant des dernières décisions gouvernementales.
Une nouvelle loi venait d’être votée et bientôt appliquée. Cette loi allait tout simplement totalement légaliser la prostitution au grand dam des mafias locales qui avaient construit une économie parallèle florissante en s’appuyant sur tous ces étrangers vivant à Portelo ou venant simplement en vacances.
La petite nuit de Kate dans le train et la somme considérable qu’elle avait rapportée montrait à quel point cette activité était rentable.
Désormais n’importe qui pouvait s’installer et proposer les services de jeunes femmes sans limitation. La concurrence s’annonçait rude et Paulo comptait bien s’y mêler et les filles qu’il allait proposer étaient un avantage considérable.
Les prostituées locales étaient essentiellement des sud-américaines exploitées par les proxénètes, souvent droguées et flétries avant l’heure. Paulo allait proposer des jeunes femmes de type européen, visiblement éduquées et au physique irréprochable. Avec les beettles qui les contrôlaient, pas besoin de les droguer et il pouvait aussi leur imposer les régimes les plus adaptés afin de prolonger leur beauté en dépit de la vie à laquelle il les destinait.
Il lui restait encore quelques semaines pour peaufiner tout cela et surtout trouver de nouvelles « employées » mais il était optimiste, les couchsurfeuses ne cessaient de lui envoyer des demandes pour venir vivre le même « paradis » que celui décrit par ses précédentes visiteuses.
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