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agentchelateur2021

Portelo, épisode 3

Dernière mise à jour : 5 sept. 2021

CHAPITRE 1


A quatre pattes sur son lit, Kate serrait les dents alors qu’un homme dont elle ne se rappelait même plus le nom était en train de la sodomiser sans vergogne en conclusion d’une nouvelle passe dans cette nuit qui lui semblait interminable.

Il s’agissait déjà de son 5e client alors qu’il n’était encore que 4h du matin et que le soleil ne devrait pointer ses rayons que vers 8h.


Après le commercial américain, sa « chasse » aux clients s’était avérée bien trop fructueuse et les exigences scabreuses s’étaient multipliées.

La sodomie qu’elle subissait en ce moment était déjà la seconde de la nuit, ce qui pour une jeune femme encore vierge de l’anus la veille était d’une horreur sans nom. Jamais elle n’aurait imaginé tomber aussi bas en si peu de temps. Pourtant, elle continuait à s’enfoncer et à se rouler dans la fange.


Son client actuel donna un coup de rein violent qui fit avancer la jeune femme de quelques centimètres. Parfaitement soumise, elle reprit immédiatement sa position d’origine afin de continuer à subir ces coups de butoir qui lui meurtrissaient les entrailles.

Soudain, elle sentit qu’il se raidissait puis sentit la chaleur de l’écoulement de sperme en elle. Comme la sodomie ne risquait pas de la faire tomber enceinte, les clients étaient autorisés à jouir en elle par cette voie.

Le client poussa un dernier râle de plaisir et s’écroula sur le dos de la jeune femme qui poussa sur les bras pour ne pas s’effondrer. Il en profita pour jouer une nouvelle fois avec les mamelons de ses petits seins ronds.

Au bout de quelques secondes, les bras de la jeune anglaise cédèrent et les deux corps s’écroulèrent sur le satin du lit. Le client ne semblait pas pressé de partir mais la jeune femme avait des consignes et elle devait s’y soumettre.

Elle congédia son client sans ménagement et se dirigea vers la douche ; elle avait encore bien du labeur.



CHAPITRE 2


Paulo était assis sur le fauteuil de sa chambre et profitait du spectacle.

Victoire et Andrea étaient installées à genoux sur le lit, nues, jambes écartés et mains en croix derrière la tête de telle façon à ce que l’ancien ingénieur pusse totalement profiter de la vue de leur plastique. Et il appréciait vraiment ce qu’il voyait.

Victoire avec son teint hâlé était bien gironde avec des seins d’une belle rondeur avec un bon 90B, un ventre bien plat qui n’empêchait pas une chute de rein exquise et un antre d’amour totalement épilé qui ressemblait à une petite fleur qui ne demandait qu’à être cueillie. Un fabuleux objet de tentation.

Andréa n’était pas en reste. Avec son teint clair, sa poitrine un peu plus petite que son amie parsemée de petits grains de beauté et sa petite touffe blonde au niveau de son antre d’amour, elle apportait un contraste réel et ravissant.

Nu lui aussi, Paulo se leva et s’approcha des 2 jeunes femmes. Il les vit trembler.

Il ne leur avait rien expliqué, contrairement à Kate ce qui accentuait encore leur terreur. Elles avaient perdu le contrôle de leur corps et se retrouvaient totalement impuissantes alors qu’un inconnu s’apprêtait à abuser d’elles.


L’ancien ingénieur s’approcha d’Andréa et se mit à la caresser. Elle frissonna d’appréhension alors que la main se baladait sur sa peau nue, remontant le long de son bras jusqu’à son cou.

Paulo adorait faire durer le plaisir et sentir la peur qu’il instillait en elles. Une peur totalement justifiée.

« Embrasse-moi ! Ordonna-t-il à la belle blonde. »


Cette dernière tourna la tête et entrouvrit les lettres. Ses traits étaient déformés, témoignant de la lutte qu’elle livrait pour tenter de retrouver sa volonté. Tout cela était vain et l’exemple de Kate montrait que ces stigmates de volonté finiraient par s’effacer après que le Beettle eut définitivement étendu ses tentacules jusqu’aux tréfonds de leurs cerveaux faisant disparaître toute trace extérieure du caractère contraint de leur soumission.

Paulo l’embrassa à pleine bouche et captura sa langue, sans résistance, pour un baiser bien baveux comme il les aimait.

Dans le même temps, il se mit à peloter sa belle poitrine juvénile, titillant doucement ses tétons pour les faire se dresser.

Par-dessus l’épaule d’Andréa, il pouvait voir la mine terrorisée de Victoire qui observait toute la scène du coin de l’œil.

Il s’écarta de sa jeune victime et se recula pour commencer un décompte.

« Un, deux, trois, faisait-il alors qu’il baladait son doigt tendu d’une fille à l’autre en rythme. Ce sera toi que je baiserai en premier. »


Son doigt s’arrêta sur Victoire dont les yeux devinrent des soucoupes pleines de larmes.

Il grimpa sur le lit et fit tomber Andréa sur le sol.

« Au coin, petite chienne. Reprends ta position ! »


La jeune femme s’exécuta et reprit sa position totalement exposée, regard fixée sur le lit où Paulo commençait à caresser une victoire au désespoir.

« Profite bien du spectacle, fit-il à l’intention de la jeune blonde. Et dis-toi bien que je te ferai tout ce que je vais lui faire ! »


Les yeux pleins de terreur, la jeune femme tenta de tourner la tête mais son cou s’y refusa et elle garda le regard bien fixé sur l’horreur que vivait sa meilleure amie et qui présageait de ce qu’elle allait elle-même subir par la suite.

Paulo prit la belle poitrine de la jeune canadienne et se mit à la pétrir avec gourmandise puis se pencha pour les téter. La jeune femme pleurait mais restait immobile.

Trouvant cela bien plaisant, Paulo lui mordit alors le téton gauche la faisant crier. Pourtant, elle ne bougea pas ce qui confirma l’emprise du Beettle bien qu’il n’ait été implanté que depuis quelques heures.

Satisfait, Paulo décida de passer aux choses sérieuses.

« Allez ma belle, commença-t-il, tu vas me montrer comment tu te sers de ta bouche. »


Comprenant l’ordre implicite, Victoire se pencha alors en ouvrant la bouche pour engouffrer le sexe déjà bien tendu de son agresseur qui s’accroupit sur le lit. Dans cette position, elle put alors le prendre complètement en bouche et commencer ses va et vient.


Tout en profitant de l’expression terrassée d’Andréa, Paulo sentait monter en lui le plaisir. Décidemment, cette génération avait plus une grande habitude des jeux de bouche que la sienne et il n’y voyait que des avantages.

« Aahhh !!! Fit-il. Tu es douée ma belle mais c’est bien trop tôt. On va passer à quelque chose de plus consistant. Mets-toi en position de levrette. »


Toujours sous contrôle, la jeune femme s’exécuta en pleurnichant. Elle se mit à quatre pattes sur le lit, soulevant un peu le bassin pour s’offrir de la meilleure des façons.

Paulo se plaça alors derrière elle et s’approcha de son entrejambe offert. Le sexe lubrifié par la salive de sa victime la pénétra d’un coup sec qui la fit avancer de presque un mètre et il s’en fallut de peu qu’ils ne tombassent tous les deux mais la jeune fille eut la force suffisante pour éviter cela… pour son plus grand malheur.

Car à partir de là, Paulo se déchaîna en donnant de grands coups de rein. Victoire qui n’avait bien entendu jamais été prise d’une façon aussi brutale, poussait de grands cris à chaque fois que le sexe s’enfonçait en elle mais son corps restait soumis à celui qui la violait et elle conservait cette position qui lui permettait de pleinement profiter d’elle.


Ce coït dura de longues minutes, Paulo prenant bien le temps de régler son rythme afin de ne pas venir trop vite en dépit de l’excitation qu’il ressentait. Il ralentissait parfois jusqu’à quasiment s’arrêter pendant quelques secondes avant de se relancer encore plus violemment. L’esprit embrumé et le corps enfiévré, Victoire était au bord de la syncope.

Puis, Paulo se crispa et sortit rapidement du corps de sa victime avant de la prendre par la queue de cheval pour amener son visage au niveau de son pénis. Un flot de sperme abondant inonda le visage et la poitrine de la jeune femme qui accueillit cette douche infame sans bouger.

Paulo la repoussa alors et s’allongea alors sur le dos pour reprendre son souffle. Il jeta un regard sur Andréa qui paraissait se décomposer en regardant son amie ainsi épuisée.

« A ton tour, ma chérie, décréta-t-il en se relevant. »


Il reprit Victoire par la queue de cheval pour quasiment la traîner jusqu’à un coin de la chambre.

« En position, ma belle. C’est à ton tour de profiter du spectacle. »


Le souffle toujours court, la jeune canadienne retrouva sa position à genoux et bras croisés derrière la tête alors que Paulo attrapait Andréa pour la projeter sur le lit.



CHAPITRE 3


Allongée sur le dos, Kate supportait le poids d’un homme bedonnant de cinquante ans qui la besognait en grognant.

La jeune femme avait la tête tournée pour croiser au minimum le regard de ce client qui visiblement ne la considérait guère plus que comme une poupée gonflable vivante.

La nuit avait été horrible jusqu’au bout et c’était pas moins de 9 clients au total qu’elle avait dû satisfaire en moins de 8H, une pure folie.

Elle était épuisée, courbaturée et tous ses orifices la faisaient souffrir le martyr notamment à cause des multiples sodomies subies en peu de temps.

Elle ne comprenait pas comment elle avait pu rencontrer ainsi autant d’hommes durant cette nuit alors que les allées de ce train de nuit étaient vides.

L’homme se crispa soudainement et elle comprit qu’il venait de jouir. Il utilisait un préservatif et elle ne sentit donc rien en elle d’autre que le sexe qui, déjà, mollissait.

Après quelques secondes, il se releva et commença à se rhabiller. Quand il sortit du compartiment, il fit une petite déclaration.

Comme il était allemand, elle ne comprit pas grand-chose à ce qu’il dit mais sut que l’ensemble était une sorte de compliment salace sur ses « qualités ».

Alors qu’il fermait la porte, Kate tourna la tête vers la fenêtre. Elle poussa alors un énorme soupir de soulagement. Le soleil venait de se lever, la nuit était finie et son calvaire aussi. Elle avait oublié qu’elle avait encore une obligation à remplir.


Le contrôleur se présenta à la porte du compartiment moins d’un quart d’heure après le départ de son dernier client. Sans hésiter, elle lui ouvrit et le laissa entrer. Paulo avait fixé les règles et elle devait le payer. Son « activité » n’avait été possible que grâce à sa complicité et elle n’était pas gratuite.

« Tu as bien travaillé, fit-il sans montrer la moindre politesse à son encontre. Je vois que tu as comblé tous les clients que je t’ai envoyé. »


Voilà donc un mystère élucidé. Si elle avait trouvé des clients même à des heures avancées de la nuit, c’était tout simplement parce que cet homme avait fait sa « publicité » auprès des passagers.

Elle serra les dents de rage. Elle ne comprenait pas tous les plans de cette pourriture de Paulo mais avait déjà déduit que le succès énorme de sa nuit de prostitution ne pouvait que la desservir pour l’avenir.


Elle prit une petite liasse de billet qu’elle avait préparé à l’intention de son « rabatteur ». Il prit l’argent et le compta avant de relever son regard carnassier vers elle.

« C’est tout ?

- C’était la somme prévue, fit-elle. Il n’y aura pas plus.

- Pas plus, répéta-t-il songeur. J’ai bien droit à un petit bonus. »


Il l’attrapa alors par les hanches pour l’attirer à lui. Les consignes de Paulo remontèrent alors, elle devait lui céder tout ce qu’il voulait en dehors d’argent supplémentaire.

Il écarta les pans de son pyjama ; sa nuit étant terminée, elle avait jeté ses vêtements de prostituée souillés de sperme et de sueur dans une poubelle pour reprendre une tenue plus simple.


Le contrôleur commença à la peloter avec une main alors qu’avec l’autre il dénoua la ficelle de son pantalon qui glissa le long de ses jambes. Il faufila alors sa main sous le tissu de sa petite culotte et commença à jouer avec son intimité. Ses caresses étaient rudes presque douloureuses surtout pour son corps déjà tellement malmené depuis deux jours.

Il lui fit relever la jambe droite et la pénétra dans cette position debout. Elle enroula ses mains autour de ses épaules pour se stabiliser alors qu’il commençait à ramoner son vagin.

La jeune femme ferma les yeux alors que son corps acceptait un nouveau viol avec cette docilité qui lui donnait la nausée.


L’homme la besogna donc ainsi debout pendant quelques minutes mais il ne semblait pas bien endurant et le calvaire de la jeune anglaise ne se prolongea pas plus de quelques minutes et il se retira pour l’obliger à s’agenouiller pour terminer par une fellation.

Elle prit le sexe en bouche et commença son œuvre. Alors que sa langue allait et venait sur le pénis, elle sentit les spasmes indicateurs d’une éjaculation et voulut se reculer mais elle sentit les mains du contrôleur se poser sur ses tempes afin de lui interdire toute fuite.

Elle comprit alors avec horreur qu’il comptait jouir dans sa bouche. Son corps se fixa car elle devait se plier à toutes les volontés de cette pourriture et elle ne put qu’attendre, le cœur au bord des lèvres, que le flot de liquide séminal ne se déversât sur sa langue.

Quand cela arriva, elle contracta sa gorge pour ne pas avaler en espérant qu’il ne montre aucune volonté qu’elle n’avalât car elle savait qu’alors elle s’exécuterait et boirait ce liquide infame.

Heureusement pour elle, il ne dit rien, se contentant d’essuyer son pénis avec le pantalon de pyjama laissé sur le sol puis se dirigea vers la sortie.

« Dis à ton mac que j’ai adoré notre collaboration, ricana-t-il. Qu’il me recontacte s’il veut que nous recommencions. »


Elle ne dit rien et le laissa partir. Quand la porte se referma, elle vomit le sperme contenu dans sa bouche sur le sol.

Après quelques secondes, afin de reprendre son souffle, elle se rua vers la salle de bain pour une nouvelle douche qu’elle espérait cependant être la dernière de ce voyage vers l’enfer.




CHAPITRE 4


Allongé dans son lit, Paulo se réveillait doucement après une bonne nuit réparatrice. Il ouvrit les yeux et fut ravi, Andréa et Victoire étaient toujours à leurs places.

Les deux jeunes femmes étaient agenouillées de chaque côté du lit, toujours nues et le regard baissé. Leurs corps nus étaient luisants de sperme, témoignant de l’intensité de la nuit précédente.


L’ancien ingénieur s’étira bruyamment avant de se relever. Ses deux victimes eurent un geste de recul ; signe de leur peur.

Il sourit en les considérant ainsi soumises et se dit que le beettle était vraiment la plus grande de ses inventions.

« Allez prendre une douche, ordonna-t-il. Vous puez comme des rats. »


Sans hésiter, elles se levèrent pour se ruer vers la salle de bain. Cependant quand elles arrivèrent, elles marquèrent un temps d’arrêt. Elles étaient deux et il n’y avait qu’une douche.

« Il y a de la place pour deux, estima Paulo qui leur avait emboîté le pas. Allez-y ensemble ! »


Elles obéirent de nouveau et se retrouvèrent donc ensemble dans la petite baignoire blanche. L’eau commença à couler depuis le pommeau de douche et Andréa prit un gant pour se savonner.

« Non ! Contredit Paulo. Tu vas laver ta copine ! »


De nouveau, la jeune femme afficha une mine atterrée mais son corps se plia à ce diktat et elle commença à frotter le dos de Victoire qui voulut s’écarter.

« Ne bouge pas, connasse ! Laisse-la faire ! »


La jeune canadienne se fixa alors que son ami commençait à lui frotter le dos. La jeune blonde continua à nettoyer son amie, frottant les gouttes de spermes qui maculaient sa peau et collaient à ses cheveux.

« Elle est sale aussi en bas, estima un Paulo qui savait exactement où il voulait en venir. Nettoie-lui la chatte ! »


Andréa s’agenouilla et fit tourner son amie pour commencer à frotter son entrejambe. Toujours contrainte à l’immobilité, Victoire se mordit les lèvres alors que le gant blanc massait ses parties intimes.


Paulo continuait à donner ses consignes et Andrea dût enfoncer sa main gantée dans l’antre d’amour de son amie qui se mit à pousser de petits cris mêlant dégout mais aussi un certain plaisir. Les caresses d’Andréa portaient leurs fruits, les rendant toutes les deux mortes de honte.

« Parfait, fit-il. Elle est bien propre, non ? On pourrait y manger, tu crois ? Si tu essayais ? »


Les mines des 2 jeunes femmes se décomposèrent alors que la langue d’Andréa sortait de sa bouche pour se diriger vers les petites lèvres de Victoire et s’y glisser aussi profondément que possible.

Andréa se balada alors dans l’intimité de sa meilleure amie, stimulant autant qu’elle le pouvait ses parties sensibles. Victoire poussa de nouveaux petits cris et finit même par se contracter légèrement.

« Pas mal pour un début, estima Paulo. Maintenant, inversons les rôles, Andrea a elle-aussi besoin d’être nettoyée. »




CHAPITRE 5


Le lever du soleil avait marqué une libération pour Kate qui avait enfin pu arrêter sa recherche de clients. Elle put même profiter des quelques heures qui restaient encore avant l’arrivée pour se reposer.

Son corps était perclus de douleur et elle se sentait parfois au bord de la folie. Son sommeil fut court et agité. Les traumatismes qu’elle avait subi durant ces quelques jours hanteraient ses cauchemars pour le restant de sa vie.


Une sonnerie annonçant l’arrivée imminente la tira de son sommeil et elle se leva comme une automate. Elle se rhabilla, jeta un petit regard amer en direction de son pyjama qui avait rejoint sa robe de prostituée dans la poubelle et quitta ce lieu qui avait connu sa perdition.


Alors qu’elle descendait du train, elle sortit de sa poche l’enveloppe cachetée à l’adresse de Paulo. Elle la soupesa l’air songeur. Elle contenait presque 3000 dollars soit plus que ce qu’elle gagnait en 2 mois de travail, une vraie folie.


Toujours conditionnée par les ordres de Paulo, elle se mit à la recherche d’une boîte aux lettres dès qu’elle posa les pieds sur le quai. Elle mit moins de 5 minutes à la trouver et y glissa l’enveloppe.


A ce moment, son esprit fut comme envahi par une lumière blanche et ce fut comme s’il était rebooté. Tous les souvenirs des trois jours d’horreur furent comme ensevelis sous un tapis et son état d’esprit changea totalement.

Le sourire niais d’une touriste en goguette qui venait de passer trois jours fabuleux chez un hôte ultra-accueillant apparut sur son visage et même les douleurs conséquentes aux multiples viols qu’elle avait subi s’estompèrent. Elle était redevenue la Kate insouciante qui avait quitté Londres.


Elle posa son sac sur ses épaules et sortit de la gare en sifflotant. Elle envoya un texto à Marius qui lui donna rendez-vous à une sortie précise et elle le rejoignit.


Il était là l’homme de sa vie, ce grand brun souriant qui comme à son habitude en vacances portait un tee-shirt humoristique digne d’un enfant de 10 ans. Etrangement, elle eut une mine de dégoût devant cette preuve d’immaturité alors que naguère elle la faisait rire. Elle se demanda alors s’il ne se déciderait jamais à grandir.

Elle fut elle-même étonnée par cette idée. Sa relation avec Marius était pourtant tout à fait satisfaisante et elle ne s’était jamais offusquée de son comportement parfois inadapté auparavant.

Toute à la joie de le revoir et de passer une belle semaine de vacances, elle chassa rapidement cette pensée négative sans avoir conscience qu’elle n’était que la première d’une très longue série.




CHAPITRE 6


Les jeux saphiques contraints de Victoire et Andréa continuèrent pendant presque une demi-heure sous le regard et les consignes de Paulo. Les deux jeunes filles finirent épuisées et aux bords des larmes après tous les attouchements qu’il leur avait imposés.

Finalement l’ancien ingénieur sembla se lasser et les laissa terminer leur douche avec consigne de le rejoindre dans le salon au plus vite.


Elles ne mirent que 5 minutes pour quitter la salle de bain, nues et le corps encore mouillé car il ne leur avait même pas laissé une serviette pour se sécher.

« Asseyez-vous ! Ordonna-t-il en leur indiquant deux places en face de lui dans la grande table de son salon. »


Sans un mot, elles s’installèrent à l’endroit indiqué. Elles virent alors qu’il avait disposé plusieurs documents qui s’avéraient être des passeports de Santa Chiara.

Victoire eut un hoquet de surprise en voyant sa photo sur l’un des documents. Comment cet homme avait-il pu avoir sa photo ? Puis la réponse vint comme une évidence. Il avait tout simplement puisé dans les photos de son profil de couchsurfing et elles étaient nombreuses.

« Voici vos nouvelles identités, expliqua-t-il. Prenez ces passeports et gardez les bien cachés pour l’instant. Vous allez partir ce soir comme c’était prévu et rejoindre Belize sans retard. Vous deviez passer une semaine dans ce pays, n’est-ce pas ? »


Elles opinèrent du chef et Paulo reprit.

« Combien d’hôte de couchsurfing ?

- 3, répondit Victoire.

- Parfait c’est largement suffisant. Vous allez donc continuer votre voyage normalement jusqu’au dernier jour à Belize, sans jamais parler à quiconque de ce que vous avez vécu ici. A ce moment, vous allez abandonner votre voiture dans un quartier populaire puis bruler vos passeports canadiens et toutes vos pièces d’identité. Victoire et Andréa vont disparaître. Ana-Lucia et Angela vont-elles rentrer chez elles à Portelo en bateau.

J’ai déjà réservé les billets, ils sont sur la table. J’ai aussi réservé des places d’hôtel pour la fin de votre voyage pour que vous passiez le plus inaperçues possible. Respectez mes ordres sans détour sinon vous serez perdues car il n’y a pas de retour en arrière possible. »


Il s’arrêta une seconde pour leur laisser le temps d’assimiler tout cela même si le plus important était que leur beettle ait bien reçu les informations nécessaires.


Toutes ces manœuvres devaient paraître bien complexes alors qu’il les tenait déjà en son pouvoir mais Victoire et Andréa n’étaient pas deux vagabonds en tournée. Elles avaient des familles et des amis qui n’allaient pas manquer de poser des questions après leur disparation. Le gouvernement canadien risquait d’intervenir et les polices locales seraient mises à contribution.

Ainsi, elles allaient continuer leur voyage et leur petit roman photo sur les réseaux sociaux qui témoigneraient qu’elles avaient quitté Portelo sans encombre et qu’il fallait les rechercher à Belize.

Toutes ces manipulations devraient assurer sa sécurité tout en permettant un retour assez rapide de ces deux petites à Portelo où il allait avoir rapidement besoin d’elles.

Cependant tout ce retard n’était pas problématique puisqu’avant tout, il avait une autre affaire à régler.

Il allait donc devoir se passer de ses deux petites canadiennes pendant une semaine mais il ne comptait pas leur offrir de répit pour autant.

« Dernière consigne. A partir de maintenant, vous allez devenir des lesbiennes accomplies. Je veux qu’à chaque fois que vous vous retrouviez seule dans un endroit public vous ne puissiez résister à l’envie de vous enlacer et de vous embrasser goulument. Et le meilleur sera quand vous vous retrouverez dans l’intimité. Faîtes-vous plaisir, mes salopes ! A chaque fois que vous serez seules dans une chambre, je veux des ébats passionnés que vous n’arrêterez que quand vous aurez atteint l’extase.

Renseignez-vous sur internet afin de peaufiner vos techniques ! Je vous veux les plus expertes possibles ! J’ai ajouté des téléphones dans votre paquetage. Vous ne les utiliserez qu’à partir du moment où vous aurez « disparu » afin que je guide votre retour au mieux mais aussi pour que vous m’envoyiez les vidéos les plus nettes possibles de vos relations. Je veux du baveux, du profond et du bien jouissif ! Ne me décevez pas ! »


Elles avaient écouté tout ce discours, anéanties par ce qu’il voulait leur faire faire. Le pire était qu’elles commençaient à comprendre qu’elles allaient se plier à tous ces ordres et revenir vers lui en rampant alors qu’elles ne désiraient qu’une chose, le fuir et lui faire payer les horreurs qu’il leur avait fait vivre.

« Très bien, mes petites chiennes. Il reste encore quelques heures avant votre départ. Nous allons les utiliser au mieux. Installez-vous sur la table, jambes bien écartées. »


Elles obéirent à nouveau et prirent position alors qu’il se levait et s’approchait d’elles tout en sortant de son pantalon un pénis déjà bien tendu.



 

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1 Comment


arlibelle
Sep 26, 2021

Bonjour Une histoire qui sort de notre ordinaire mais bien ficelée et surtout futuriste, ou pas. Je me régale de lire cette histoire, merci de la partager.

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