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Portelo, épisode 11

Dernière mise à jour : 28 mars 2022

CHAPITRE 1


Paulo retrouvait petit à petit ses forces après l’épreuve sportive qu’Emilia venait de lui imposer. Le goût de la victoire n’en était que plus exquis.

Allongée à côté de lui, la jeune lycéenne demeurait immobile mais il sentait que ce n’était qu’un répit. Elle était bien plus épuisée que lui et surtout toujours tenue par la prise de fer d’une Stella dont le Beettle semblait avoir démultiplié la force. Paulo trouvait cette information intéressante et devait la creuser mais pour l’instant il avait mieux à faire.

« Tu peux la libérer, ordonna-t-il à l’intention de Stella. »


Immédiatement, la jeune fille relâcha son emprise et Emilia en profita rouler sur elle-même. Dans un accès de rage, elle expédia une claque sonore en direction de son amie d’enfance en la traitant de tous les noms avant de s’éloigner du lit.

Stella ne réagit pas et Paulo, qui avait anticipé en s’éloignant un peu des deux jeunes femmes, apprécia le spectacle.


Emilia se tourna vers lui.

« Pourriture ! Hurla-t-elle. Je ne sais pas ce qui vous êtes mais je vais vous le faire payer. Vous allez pourrir en prison pour ce que vous m’avez fait ! »


Paulo demeurait impassible devant la rage de celle qu’il venait de violer. Il n’avait pas encore fini de jouer avec elle.

« Tu as fini ? Répliqua-t-il comme s’il parlait à une enfant capricieuse. J’ai obtenu ce que je voulais. Si tu veux partir et courir à la police, tu peux le faire. »


La jeune fille se figea alors, indécise. Dans sa rage, elle avait révélé une vérité simple, si elle sortait de lieu, elle était capable de détruire sa vie.

Son corps ravagé portait les traces du viol particulièrement brutal qu’il venait de lui infliger. Pensait-il s’en sortir d’une pirouette comme cela arrivait dans ces situations ? Elle était la fille d’un homme influent désormais et elle… lui avait menti pour se rendre en ce lieu. Etait-cela son idée ?

Non, elle n’allait pas se laisser ainsi manipuler, elle avait perdu toute son innocence en quelques secondes à cause de ce salopard et il allait le payer.


Elle se redressa un peu, réajusta son chemisier afin de cacher sa poitrine avant de se baisser pour ramasser son pantalon. Elle abandonnait ses sous-vêtements sans regret si cela lui permettait de partir plus vite.

Alors qu’elle se tournait pour sortir, Paulo l’interpela.

« Bien entendu, si tu t’en vas, c’est que tu te fiches du sort de Stella. »


Emilia se figea.

« Je me fiche de son sort, rétorqua-t-elle sèchement. Elle peut bien crever.

- Et c’est exactement ce qui va se passer et pas plus tard que maintenant. »


Emilia se retourna pour cracher de nouvelles insultes mais elles s’étranglèrent dans sa gorge devant le spectacle qui s’offrait à elle.


Stella s’était mise au rebord de la fenêtre de la chambre et commençait à enjamber le garde-corps qui protégeait du vide. La jeune fille pleurait alors qu’elle se mettait ainsi en danger mortel.

« Stop ! Ordonna simplement Paulo. »


L’ancienne étudiante se figea alors comme prise dans la glace. Cependant dans cette position hautement instable, il suffisait d’un simple faux mouvement ou même d’une rafale de vent trop forte pour la faire basculer dans le vide.


Le cœur d’Emilia se serra et une évidence s’imposa à elle. Stella était autant une victime qu’elle. D’une manière qu’elle était incapable de comprendre, cette pourriture la tenait en son complet pouvoir. Il allait la sacrifier juste pour le simple plaisir de la faire souffrir encore plus.

« Arrêtez ! Lança-t-elle en direction de son violeur car elle avait compris que Stella n’avait plus aucun contrôle sur ses actions. Laissez-la partir ! Que voulez-vous donc ?

- Mais je veux continuer à jouer. Je veux que tu te mettes genoux et que tu me supplies de faire de toi ma chose. Si tu ne le fais pas, tu auras la mort de ton amie sur la conscience. »


Emilia comprit qu’elle était loin d’avoir vécu le pire de ce que cet homme était capable de faire. Il lui imposait un authentique dilemme moral : elle pouvait se sauver mais au prix de la vie de sa plus ancienne amie.

Son esprit, encore sous le coup des actes infames qu’elle venait de subir, n’arrivait pas à faire la part des choses.


Paulo fit un geste et Stella bascula dans le vide.

« NON !!!! Hurla la jeune lycéenne en se mettant à genoux comme par réflexe. Je vais le faire. »

Comme préparé à l’avance, Stella se rattrapa à une petite barre située hors de la vue d’Emilia. Elle ne tomba donc pas mais demeurait dans une situation totalement instable.


« Alors ? Demanda Paulo, impatient d’une nouvelle victoire. J’attends ! »


Emilia jeta un dernier regard en direction d’une Stella au bord de la mort puis ouvrit la bouche.

« Je vous en… supplie, balbutia-t-elle en serrant les poings à s’en faire mal. Faites de moi votre … chose ! »


Paulo eut un sourire carnassier que toutes ses victimes ne connaissaient que trop bien et il attrapa la jeune fille par la queue de cheval pour la tirer comme un paquet en direction de la chambre voisine où ses instruments de torture les attendaient.

Le calvaire d’Emilia n’avait fait que commencer.




CHAPITRE 2


Stella restait suspendue au-dessus du vide, se tenant à la barre quasi-invisible qui lui évitait la mort. En réalité, il n’avait jamais été question qu’elle ne tombât et tout cela n’avait qu’une pure mise en scène pour torturer encore plus la pauvre Emilia.


Stella se maudissait de participer à ce jeu pervers qui l’avilissait encore plus que les immondes passes qu’elle avait déjà effectuées un nombre incalculable de fois. Elle aurait voulu mourir plutôt que de continuer ; juste lâcher cette maudite barre et finir sa vie le crâne fracturé sur le béton 15 mètres plus bas.

Malheureusement, même le suicide lui était impossible. Elle ne pouvait que se plier aux ordres de la pourriture qui la dominait, la violait et la martyrisait en permanence. Elle n’était plus qu’un simple objet pensant, une authentique esclave.


Dans la chambre d’à côté, Emilia se mit à hurler avec une intensité qui indiquait une douleur extrême. Stella se mordit les lèvres à s’en faire saigner en pensant aux horreurs que vivait son amie et dont elle était partiellement responsable.

Les cris perdurèrent pendant de longues minutes et Stella ne pouvait que rester dans sa position absurde à les écouter.

« STELLA !! Cria Paulo. RAMENE TON CUL !!! »


Retrouvant la capacité de bouger mais pas celle de contrôler ses mouvements, l’ancienne étudiante reposa pied dans la chambre et se dirigea vers l’endroit où Paulo torturait Emilia.


Elle y retrouva son tortionnaire qui avait attachée la jeune lycéenne sur une sorte de table qu’elle se rappela avoir vu quand elle étudiait encore avec lui. Elle comprit alors qu’elle s’était surement retrouvée elle aussi dans cette position bien qu’elle n’en eut aucun souvenir.

Quand elle arriva, Emilia redressa la tête et lui jeta un regard épuisé. Elle était en nage et ses traits étaient déformés par la douleur.

« L’implantation est terminée, expliqua Paulo sans qu’elle ne comprît tout le sens de ses paroles. Il va falloir encore plusieurs heures avant qu’elle ne soit bien sous contrôle mais nous avons bien toute la nuit, non ?

- Elle devait rejoindre des amies, expliqua Stella.

- Je sais, elle me l’a dit entre deux hurlements. Elle les a déjà appelées pour leur dire que finalement elle retournait chez elle. Comme ses parents ne l’attendent pas avant demain dans la journée, cela nous laisse toute une nuit et toute une matinée pour bien nous amuser, tous les trois. Qu’en dis-tu ?

- Que cela me donne la nausée. »


Il éclata de rire devant cette rébellion bien ridicule.

« Fous-toi à poils et mets-toi en position sur le lit ! »


Comme d’habitude, elle exécuta ses ordres pour se retrouver nue à quatre pattes sur le satin du grand lit de la chambre.

Dans le même temps, il avait libéré une Emilia tellement exténuée qu’elle n’opposa aucune résistance et peina même à rester droite sur ses bras quand il lui imposa la même position.

Il recula d’un pas pour admirer ces deux croupes si jeunes et girondes. Des 4 trous ainsi exposés, il en avait déjà visité 3 et ne tarderait pas à déflorer le dernier mais il avait le temps.

Stella écarquilla les yeux alors qu’elle sentait une pression désormais familière à l’entrée de son vagin. Paulo avait décidé de commencer par elle et elle ne put qu’écarter les cuisses pour lui faciliter l’accès et amoindrir sa propre douleur.

Quand elle était avec un client, elle prenait toujours soin de s’induire les parties génitales de lubrifiant afin d’entretenir l’illusion du plaisir qu’elle simulait. Cette fois, ce n’était pas le cas et elle était aussi sèche que le désert de Gobi ce qui rendait la pénétration très douloureuse.


Elle se laissa donc prendre, accompagnant les coups de boutoir qui faisaient balancer sa forte poitrine dans tous les sens de manière obscène.

A ses côtés, Emilia transpirait toujours mais semblait plus forte. Le Beettle commençait déjà à exercer son influence sur elle et lui apportait une énergie nouvelle. Une énergie qui ne fut pas de trop quand Paulo quitta le vagin de Stella pour envahir le sien.


La jeune lycéenne se mit à crier quand elle sentit ce nouveau viol se produire mais elle ne tenta pas de s’enfuir. Entre l’épuisement, l’incohérence de ses pensées et le Beettle qui commençait déjà à agir sur son système nerveux, sa volonté vacillait dangereusement et cela n’allait pas s’arranger.


En attendant Paulo la prenait comme il l’avait fait juste avant avec son amie d’enfance et en tirait énormément de plaisir. Encore vierge moins d’une heure auparavant, son vagin restait terriblement serré et elle peinait à supporter ces assauts qui en auguraient bien d’autres. Puis, il se retira soudainement pour placer son pénis à l’orée de l’anus de sa jeune victime.


Avant qu’Emilia ne le comprît, le membre de chair avait percé la résistance de son œillet anal et entamait sa progression dans ses entrailles. Ce fut comme un coup de fouet et elle retrouva une once de volonté pour tenter de se soustraire à cette sodomie sauvage.

« RESTE-LA ! Tonna l’ancien ingénieur. »


Les bras d’Emilia se figèrent alors que le Beettle exécutait cet ordre mais ses excroissances n’étaient pas encore très développées et Emilia se déroba. Elle réussit ainsi à faire sortir le sexe qui avait envahit son fondement mais, entre l’épuisement et les efforts de la machine pour contrer volonté, elle s’effondra sur le ventre et Paulo saisit l’occasion pour s’affaler de tout son poids dans son dos.

Sa victime ainsi prisonnière, il dirigea à nouveau son pénis entre ses fesses et souleva le bassin avant de le laisser retomber. Avec la force de la gravité, son pénis s’enfonça violement dans cet anus encore vierge, le lésant en de nombreux endroits.


Emilia se remit à hurler car si la douleur était sans commune mesure avec celle qu’elle avait ressenti lors de l’implantation, elle n’en restait pas moins horrible.


Paulo n’en eut cure et s’enfonça toujours profondément alors que les cris de sa victime d’intensifiaient. Il finit de la sodomiser totalement et commença de courts aller-retours. Le conduit était tellement étroit qu’il peinait à bouger mais cela accentuait terriblement ses sensations.


Vaincue, Emilia se laissait faire en pleurant. Au bout de 5 minutes, il se retira enfin.

« Alors ça fait quoi de devenir une enculée, ma belle ? Ricana-t-il alors qu’il laissait un anus ensanglanté. Ce n’est qu’un début, je te rassure. J’ai toute une liste « d’amis » qui brulent d’impatience de venir visiter ce joli petit gars. »


Les yeux pleins de larmes, Emilia ne répondit rien et resta allongée sur le ventre. Paulo décida de lui laisser quelques minutes de répit et entreprit de visiter l’anus, déjà plus entraîné, de Stella.

L’ancienne étudiante accueillit le sexe dans ses entrailles avec la même soumission que quand il avait envahi son vagin. Cependant, elle ne se retint pas de crier autant sa douleur que sa rage.

« Allez ma petite caille, lança-t-il en direction d’Emilia. Reprend la position, je vais revenir te voir dans quelques secondes. »


Et Emilia se remit à quatre pattes alors que Paulo libérait l’anus de Stella pour revenir vers elle.


 

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CHAPITRE 3


Paulo continua son petit jeu pendant une bonne heure, alternant sans cesse entre les différents orifices de chacune des jeunes filles. Il avait finalement joui dans la capote qu’il portait et s’était effondré sur le lit pour s’endormir quasiment immédiatement.

Ses deux victimes étaient sagement restées dans la position qu’il leur avait imposée avant de s’endormir sous l’effet de l’épuisement.


Le lendemain, Emilia fut réveillée par la sensation de mains qui parcouraient son corps et elle comprit que l’ancien ingénieur la tâtait sous toutes les coutures. Elle crut qu’il la caressait dans le but de la prendre mais il se contentait d’estimer l’étendue des dégâts que cette nuit d’horreur avait laissés sur son corps. Le résultat le combla.


Il quitta alors le lit et tapa bruyamment des mains. Stella qui dormait encore se réveilla en sursaut et ouvrit les yeux avec peine.


Paulo s’était assis sur un fauteuil en face du lit et les regardait toutes les deux reprendre la position de la veille, indiquant que le beettle avait vraiment pris le contrôle sur Emilia. La nuit avait fait son œuvre comme il l’espérait. Il était temps de passer à la suite de son plan.

« Vous pouvez vous assoir, fit-il »


Les deux jeunes filles se redressèrent pour s’assoir sur le bord du lit, la tension était visible sur leur visage. Elles se demandaient toutes deux ce qu’il leur réservait comme horrible surprise.

« La nuit aura été sportive, ironisa-t-il. Maintenant, tu es à moi, Emilia. Tu es ma chose autant que Stella.

- Plutôt crever, répondit la jeune fille déterminée.

- A genoux ! Ordonna-t-il. Tout de suite ! »


Immédiatement, elle se jeta au bas du lit pour se mettre sur ses genoux comme il venait de lui ordonner. Son visage affichait le même étonnement comique que les autres victimes du Beettle.

« Tu m’appartiens, répéta Paulo comme s’il s’adressait à un enfant têtu. Il y a désormais dans ton corps, un instrument qui te contrôle corps et âme et tu feras tout ce que je désire, même si cela va à l’encontre de ton propre bien-être. »


Elle ne dit rien mais son regard traduisait la rage qu’elle ressentait et cette vaine expression le fit éclater de rire.

Il lui fallut plusieurs minutes avant de retrouver son calme.

« Tu vas pouvoir partir d’ici, indiqua-t-il à Emilia, mais tu m’appartiens et je te réserve une place de choix dans mon bordel.

- QUOI !?!

- SILENCE !!! »


Emilia se tut immédiatement après cet ordre impérieux et Paulo se tourna vers Stella.

« Elle est salement amochée, estima-t-il. Elle a besoin de soins. Tu vas la conduire aux urgences et tu suivras le plan. Compris ?

- Oui, maître.

- Très bien. Et toi Emilia, tu suivras les consignes de Stella à la lettre sans jamais sortir du scénario qu’elle t’aura fixé. Compris. »


La jeune lycéenne se contenta de hocher la tête mais il savait qu’elle exécuterait ses ordres comme le bon petit pantin qu’elle était devenue.

« Alors ! Allez-y tout de suite ! »


Les deux jeunes filles se relevèrent, mirent plusieurs minutes à ramasser leurs différents vêtements éparpillés dans plusieurs pièces de l’appartement et partirent sans un mot pour exécuter le nouveau plan scabreux de leur tourmenteur.


Paulo sourit en les voyant partir et sortit de la chambre après avoir réajusté ses vêtements décida de faire un petit point de la situation.


Le dernier étage était désormais totalement dévoué aux activités de son bordel « le soleil de vos nuits » et une bonne partie de l’activité était automatisée de façon à ce qu’il la suivît depuis son ordinateur.


Les chambres 1 et 2 étaient annoncées comme occupées ce qui indiquait que Victoire et Andréa étaient avec des clients.

Les deux jeunes canadiennes ne chômaient pas depuis leur retour à Santa Chiara pour le meilleur bénéfice de celui qui avait détruit leur vie.


Les autres chambres étaient annoncées comme « en formation » et Paulo sourit en pensant à ce que Kate et Jana étaient en train de vivre.




CHAPITRE 4


Dans la chambre numéro 4 du « Soleil de vos nuits », celle normalement dévolue à Kate, la jeune anglaise et Jana se retrouvaient nues et enlacées dans un 69 aussi torride que forcée.

« Jana, écarte plus les cuisses ! Fit Avrora, assise à moins d’un mètre du lit où les deux jeunes femmes menaient leur activité. Kate, ouvre-lui les petites lèvres et enfonce bien ta langue à l’intérieur ! Imbibe bien sa fente afin que le client croie qu’elle mouille ! »


La jeune prostituée russe était, de loin, la fille de l’établissement à avoir le plus d’expérience et Paulo lui avait confié le rôle de « formatrice ».

Tout en travaillant- et les clients ne manquaient pas pour une prostituée présentant ses qualités- elle passait aussi plusieurs journées par semaine à enseigner aux autres pensionnaires de l’établissement toutes les pratiques et astuces qui leur permettraient de combler aux mieux les désirs des hommes qui payaient pour venir profiter de leurs jeunes corps.


Jana et Kate venaient tout juste de revenir à Portelo au terme d’un petit voyage durant lequel Paulo ne s’était pas privé de les prendre et de les humilier et devaient reprendre leur « activité » dès le lendemain.

En attendant, elles découvraient toutes les subtilités de ébats lesbiens entre hétérosexuelles.


Jana poussa des petits gémissements simulant le plaisir que Kate était censée lui prodiguer en ce moment mais cela ne satisfit pas Avrora.

« Non !! Le client voudra des cris plus sonores. Il veut vraiment avoir l’impression que vous vous éclatez dans ces actes. Vous êtes des salopes lesbiennes, pas de petites amoureuses qui se caressent sous le porche de leurs parents. Plus fort ! »


Jana appliqua les consignes et se mit à crier plus fort. Les « Oh Oui !! », « Encore !! » et autres « c’est bon » se succédaient de façon sonore et Kate mit ses cris à l’unisson de ceux de sa partenaire.


Avrora sourit doucement. Bien qu’elle fut une prostituée à l’origine, sa situation personnelle ne différait pas tant que ça de celles des autres victimes de Paulo.

Implantée comme les autres, elle devait désormais se plier à tous les désirs de son nouveau proxénète. Paranoïaque comme il était, il n’allait certainement pas faire confiance à une femme qui avait passé sa vie à mentir aux hommes.

De plus, en pur sadique, il pouvait aussi l’avilir encore plus et obtenir d’elle ce qu’aucun autre homme n’avait jamais eu. Elle était devenue une esclave au sens le plus strict du terme.


Elle mettait cependant tout son cœur à l’ouvrage en se disant qu’elle réussirait peut-être un jour à gagner sa liberté prouvant sa fidélité sans faille ou en trouvant une faille dans la terrible machine qui avait pris possession de son corps. Car contrairement aux oies blanches qui constituaient le harem personnel de Paulo Esteves, Avrora était une femme qui était capable de la pire des duplicités du moment que cela assurât sa propre survie aux dépends des autres.

Perdue dans ses pensées, Avrora ne suivait plus les ébats de ses deux « élèves » qui commençaient à se relâcher. Elle savait que des caméras avaient été dissimulées dans toutes les chambres à des fins peu avouables dont celles de s’assurer que chacune respectât parfaitement les consignes du seigneur des lieux. Elle devait donc faire preuve de son zèle.

« Allez, petites connes, tonna-t-elle comme Paulo savait si bien le faire. Activez-vous donc ! »


Elle s’approcha des deux jeunes femmes dont les cris redoublèrent et d’un coup sec enfonça deux doigts dans l’anus offert de Kate.

La jeune anglaise n’était plus vierge de l’anus depuis longtemps mais son petit trou était moins entraîné que celui de Jana.

Paulo aimait donner des spécialités à ses filles. Ainsi si Victoire et Andréa proposaient en permanence des duos lesbiens, le profil de Jana sur le site dédié au bordel affirmait qu’elle adorait se faire sodomiser et Paulo l’avait « programmée » afin qu’elle proposât cette pratique à tous ses clients et hurlât son plaisir à chaque fois qu’elle la subissait.


La spécialité de Kate serait les amours multiples et Avrora savait qu’elle avait déjà plusieurs trios prévus dans la semaine qui venaient autant avec des duos d’hommes qu’avec des couples.

Le pire étant la spécialité de la petite nouvelle, Stella. La plus jeune et, à l’origine, la plus innocente des « résidente » de ce lieu de perdition, possédait un profil qui affirmait qu’elle adorait la souffrance et qui proposait des séances de BDSM pouvant aller très loin pour peu que le client fût disposé à y mettre une somme astronomique. Ce profil n’avait pas manqué d’attirer l’attention d’un désormais habitué, un dénommé De La Fuentes dont Andréa gardait un souvenir traumatique.


Avrora enfonça un doigt de plus dans l’anus de Kate dont les cris redoublèrent sans que l’on pusse déterminer s’il s’agissait de douleur ou de plaisir. Le pire était qu’il s’agissait d’un mélange des deux tant la machine qui était en elles détruisait jusqu’à leur personnalité profonde.


« C’est bien, estima Avrora tout en continuant à agiter les doigts dans l’anus de la jeune anglaise. C’est beaucoup mieux. Vous allez rapidement devenir des putes capables de rapporter des fortunes. »


Et cette idée la remplit d’une fierté qui lui fit presque peur.


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