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Portelo, épisode 10

Dernière mise à jour : 28 mai 2022

CHAPITRE 1


L’école de la Santa Maria était l’un des établissements les plus selects de la ville de Portelo. Accueillant exclusivement des jeunes filles, il fallait être capable de payer les énormes frais de scolarité qui se chiffraient en dizaines de milliers de pesetas. A ce tarif-là, il fallait appartenir à la haute société de Santa Chiara pour y étudier.

Emilia Ramos faisait partie de ces privilégiées et sa situation lui semblait tout à faire normale. Depuis sa plus tendre enfance, elle suivait en effet la voie tracée par sa mère et son avenir semblait tout tracé, surtout en considérant la nouvelle fortune de son père. Elle ignorait le sombre destin qui l’attendait.


Il était 17h et la journée se terminait tranquillement. Des grappes plus ou moins denses de jeunes filles portant l’uniforme pourpre et noir de l’école s’éparpillaient doucement dans les petites rues adjacentes.


Emilia et deux de ses camarades faisaient partie de ces étudiantes et avançaient en discutant. Ce fut à ce moment-là qu’elles rencontrèrent Stella Ramirez.

Les trois jeunes femmes se figèrent. Elles connaissaient toutes Stella qui avait suivi la même scolarité qu’elles. A peine plus âgée, elle avait passé son bac l’année précédente et était parti étudier à l’étranger dans une grande école ; le rêve de beaucoup d’entre elles.

Pourtant, elle avait totalement dévié en peu de temps, abandonnant ses études mais surtout reniant sa propre famille et cela pour ces jeunes filles qui se définissaient toutes en fonction de leur rang social hérité de la richesse de leurs parents relevait du sacrilège.

Stella était donc devenue une paria pour ses anciennes amies et la rencontrer même par hasard ne pouvait que créer un malaise.


Le problème était que ce n’était pas une rencontre hasardeuse, Stella avait volontairement provoqué cette rencontre.

« Bonjour Emilia, fit-elle en ignorant ostensiblement les deux autres. Comment vas-tu ? »


Emilia hésita longuement. Son père avait clairement exprimé sa position vis-à-vis de la jeune femme. Elle avait trahi son père qui était en plus un supérieur hiérarchique à l’origine de leur abondance récente. Elle n’avait plus sa place dans leurs vies.


Pourtant Stella n’était pas qu’une simple connaissance. Les deux jeunes filles avaient grandi ensemble, amies depuis la maternelle au sein de deux familles proches depuis plusieurs générations. Stella était sa plus ancienne amie, celle sur laquelle elle avait toujours pu compter et qu’elle considérait presque comme une sœur. L’ostraciser lui était impossible.

« Bonjour, répondit-elle donc sans rien ajouter.

- Je vois que tu as reçu les consignes, reprit Stella visiblement tendue. Je ne sais pas ce que l’on t’a dit mais on t’a menti. »


Emilia considéra son amie. Elle la dépassait d’une dizaine de centimètres mais en cet instant elle paraissait encore plus petite, comme ramassée sous un poids qu’elle peinait à supporter. Emilia se sentit coupable.

« Et tu voudrais me donner ta version, compléta-t-elle.

- Exactement. Mais pas ici, ajouta-t-elle en jetant un petit regard en direction des deux autres filles qui regardaient la scène avec mépris. Laisse-moi une chance. Je te propose de venir chez moi samedi prochain. »


Elle lui tendit un petit papier sur lequel elle avait marqué son adresse. Emilia hésita une seconde puis le prit, sans le lire.

« Très bien ! Je viendrai, assura-t-elle sèchement. A 18h ! »


Stella hochement simplement la tête, elle avait obtenu la chance qu’elle voulait.

La conscience un peu tranquille mais toujours inquiète, Emilia revint vers ses camarades et partit avec elles sans se retourner. Si elle l’avait fait, elle aurait vu son amie d’enfance qui serrait les poings à s’en faire saigner.




CHAPITRE 2


Kate termina ses courses et vint s’intégrer dans la petite file d’attente qui s’étendait devant la caisse de la petite superette.

Cela faisait quelques mois qu’elle était devenue une cliente assidue de ce petit marché bio à la suite d’un changement drastique de régime alimentaire.


Comme pour compenser sa rupture avec Marius qu’elle avait pourtant provoquer sans regret, elle avait abandonné tous les régimes hautement calorifiques pour une alimentation plus saine qui faisait qu’elle se sentait dans une forme olympique.

Cette nouvelle énergie ne lui avait cependant pas permis de reconstruire sa vie au contraire.


Elle s’était petit à petit coupée de tous ses amis proches ou non et avait même commencer à se créer des inimitiés à son travail. Comme elle restait efficace, elle avait conservé son emploi mais évoluait dans une ambiance délétère. L’environnement était devenu si défavorable pour elle qu’elle envisageait sérieusement une démission de ce travail qui naguère lui procurait tant de plaisir.

Perdue dans ses pensées, elle lâcha une de ses boîtes qui partit rouler quelques mètres plus loin. Elle se baissa pour la ramasser et manqua cogner sur une personne qui n’avait rien fait pour l’éviter.

En redressant la tête, elle eut la surprise de voir le visage de Paulo Esteves, son hôte si charmant de Portelo.

Paulo sourit étrangement puis fit un geste du doigt devant sa bouche pour lui intimer de se taire.

« Maintenant ma belle, glissa-t-il à son oreille alors qu’elle se relevait, je veux que tu te rappelles de tout. »


Ce fut comme si elle était emportée par un torrent de souvenirs, un torrent d’ordures en réalité. Tout remonta alors à sa mémoire. Les multiples viols qu’elle avait subis durant son court séjour chez cette pourriture ; cette horrible nuit passée à se prostituer dans ce train de nuit et même les véritables raisons de sa rupture avec son premier grand amour.

Elle aurait voulu hurler pour évacuer ce flot de douleur qui montait en elle mais elle se retrouvait de nouveau prisonnière de son propre corps et resta totalement silencieuse.


Paulo apprécia son comportement qui prouvait que le Beettle avait totalement pris le contrôle. Elle était sa plus ancienne victime et donc son premier cobaye. Les résultats étaient fabuleux puisque la machine contrôlait son corps mais aussi des pans complets de son esprit comme sa mémoire.


En bonne petite marionnette, elle avait appliqué tous ses ordres avec minutie et était donc prête maintenant à rentrer à Portelo où une jolie petite chambre l’attendait dans le nouveau bordel.


Avant cela, Paulo voulait s’amuser encore un peu avec elle.

« A quatre pattes, ordonna-t-il. Tu vas me lécher les bottes ! »


Elle eut une expression horrifiée et jeta un regard affolé autour d’elle. En dépit de tout cela, elle ne mit que quelques secondes à se mettre à quatre pattes puis à baisser le visage en direction des chaussures de l’ancien ingénieur.

Elle sortit la langue et commença à la balader sur le cuir avec minutie. Elle lécha les deux chaussures sous toutes les coutures pendant trois interminables minutes.

Autour d’eux, les autres clients avaient tourné la tête en direction de cette scène ubuesque. Beaucoup affichaient des expressions indignées voire horrifiées.


Quand Paulo l’autorisa enfin à se relever, elle croisa plusieurs regards sans équivoque et la honte l’envahit. Les joues empourprées, elle posa les yeux vers le sol.

« Ne t’inquiète pas de ce qu’ils pensent, fit Paulo dans son oreille. C’est la dernière fois de ta vie que tu les voies. »


Elle se mordit les lèvres en comprenant toutes les implications de cette information.



CHAPITRE 3

Après l’humiliation de la superette, Paulo avait contraint Kate à le conduire jusqu’à son appartement. Elle occupait un petit studio au cœur de Kensington.


Dans le petit escalier en colimaçon, Paulo vint se coller dans son dos et elle sentit la force de son érection. Le petit spectacle avait eu son effet et elle savait pertinemment comment tout cela allait finir maintenant qu’elle avait retrouvé ses sinistres souvenirs de Portelo.


Ils arrivèrent devant la petite porte et elle sortit sa clé pour la glisser dans la serrure. Dans le même temps, il glissa ses mains sous le tissu de sa chemise et commença à la sortir de son pantalon avant de faire sauter tous les boutons.


Elle ne portait pas de soutien-gorge et il commença à jouer avec ses petits seins alors qu’elle se pressait d’ouvrir la porte pour abréger au plus vite cette situation.


La suite ne fut malheureusement pas plus sereine pour elle. Dès qu’ils arrivèrent dans le petit studio, il déboucla sa ceinture et l’obligea à baisser pantalon et culotte avant de se pencher en avant.

Il la pénétra sans attendre, la faisant s’effondrer sur son lit au milieu de la pièce. Il la pistonna brutalement, s’abreuvant de ses cris et ses pleurs.


Il finit par se retirer et elle craignit qu’il ne décidât de la sodomiser. Son anus s’était remis du traitement de choc qu’il avait subi durant son début de séjour infernal à Santa Chiara mais elle gardait le traumatisme de ces souffrance insupportables couplées au sentiment d’humiliation qu’elle avait ressenti.


Elle échappa, pour cette fois, à ce nouvel outrage. Il avait été bien trop excité par les événements précédents et jouit immédiatement sur le dos et le fesses de sa jeune victime. Repu, il s’affala sur le lit.

« Vas prendre une douche ! ordonna-t-il. Ne perd pas de temps, nous sommes attendus ! »


De nouveau, elle s’exécuta et accourut vers sa salle de bain pour laver les traces de toutes les souillures qu’il lui avait infligées.


Quand elle sortit, il était en train de fouiller dans ses affaires et vit qu’il avait trouvé son passeport.

« Il est en règle, c’est très bien, nota-t-il. Nous partons dès ce soir. Un petit passage par la République Tchèque puis retour à Portelo. J’ai besoin que tu signes ici, maintenant ! »


Un nouvel ordre qui ne souffrait d’aucune contestation et elle n’en fit aucune. Elle prit le stylo qu’il lui tendait et signa les documents.

L’un d’entre eux était une demande de visa de travail et le métier indiqué était « prostituée ». Son cœur s’arrêta de battre et elle se mit à pleurer.


Il la laissa ainsi se vider de ses peines pendant une minute puis lui ordonna de cesser. Elle obéit encore une fois.

« Tu as une heure pour te préparer ! décréta-t-il. Un seul bagage pour toi. Tu peux emporter tout ce que tu veux à condition que ça rentre dans ta petite valise. Le reste appartiendra au prochain locataire des lieux. »


Elle n’en pouvait plus de cette situation. Il l’obligeait à quitter tout ce qui avait fait sa vie depuis qu’elle était née pour rejoindre un endroit où elle s’avilirait en vendant son corps à des hommes tous plus répugnants les uns que les autres et il ne l’autorisait même pas à emporter toutes les choses qui importaient pour elle.


Elle aurait voulu mourir mais se contenta de prendre sa valise et de commencer à faire le tri dans ses affaires.




CHAPITRE 4


Paulo laissa une Kate en sanglots, choisir les quelques affaires qu’elle ne voulait surtout pas perdre pour aller prendre une douche.


La première partie de son séjour européen se passait idéalement. Kate était toujours totalement soumise et son physique d’anglaise un peu chic allait faire un malheur dans son établissement.

Il fit couler l’eau de la douche et acheva de se déshabiller puis se mit sous le jet d’eau chaude.


Kate n’était que le premier « paquet » à récupérer. Leur retour sur Portelo devait connaître un petit détour par Prague afin de ramener Jana qui l’attendait bien sagement elle aussi.

Ensuite, « le soleil de vos nuits », son bordel, pourrait prendre toute son envergure.


Il avait privatisé le dernier étage de son immeuble et des travaux conséquents y avaient été réalisés. L’établissement comptait donc 8 chambres et 7 étaient déjà réservées pour les filles qu’il possédait déjà. Il n’en restait plus qu’une et la collection serait complète.




CHAPITRE 5

Le samedi arriva étrangement vite et Emilia tint promesse même si ce ne fut pas simple.


Son père refusant totalement qu’elle rencontrât Stella, elle dut ruser. Jorge Ramos et Sandro Ramirez étaient peut-être amis mais ils n’avaient que peu de choses en commun.


Quand Sandro était un père veuf attentif aux désirs de sa fille unique, Jorge était un rustre parvenu qui régnait en dictateur sur une famille de quatre enfants auxquels il ne laissait que peu de libertés.


Bien que majeure, Emilia avait donc dû ruser pour tromper la vigilance de son père. Une de ses amies, d’une famille trop prestigieuse pour que Jorge Ramos ne s’opposât à elle, avait accepté de la couvrir.

Ainsi, Emilia, censée dormir chez cette amie qu’elle rejoindrait en deuxième partie de soirée, se trouvait aux pieds d’un petit immeuble de cinq étages dans lequel Stella habitait désormais.


Elle prit l’ascenseur, remarqua à peine que le dernier étage n’était pas accessible, et monta au quatrième.


Stella vivait dans un grand appartement richement décoré. La jeune lycéenne se dit alors qu’il était impossible que son amie ait eu seule les moyens de s’offrir un tel endroit.

Elle repensa aux rumeurs qui circulaient à l’école dont celle qui affirmait que Stella était devenue la maîtresse d’un riche vieillard qui l’entretenait généreusement.


En tout cas, Stella était bien seule ce soir. Les retrouvailles furent plus chaleureuses qu’en début de semaine. Emilia n’avait pas à composer avec le regard de ses amies ni avec le risque que son père ne les découvrît.

Le repas se passa agréablement. Les deux amies parlèrent de leur année respective. Stella avait adoré Rio et ses extravagances mais avait aussi souffert du travail qu’on lui avait imposé.

En face, Emilia se sentait un peu idiote avec sa petite vie bien rangée entre disputes et jalousies de lycéennes et quelques regards échangés avec certains garçons en ville.

Durant toutes ces conversations, elles évitèrent au maximum d’aborder les vrais sujets pourtant inévitables.


Alors qu’elles passaient au dessert, Emilia osa enfin attaquer le cœur du sujet, pour son plus grand malheur.

« Tu as un bel appartement, complimenta-t-elle.

- Il n’est pas à moi, répondit sobrement Stella.

- A qui appartient-il ? Ton… petit ami ?

- Si seulement. Non, il appartient à mon mac. C’est l’endroit où il attire les jeunes voyageuses pour en faire ses choses. »


Le discours de Stella semblait totalement incroyable et Emilia peinait à le suivre.

« Tu délires ?

- Non, je suis devenue une esclave, Emilia. Et bientôt, tu seras comme moi. »


A ce moment, la porte d’une des trois chambres s’ouvrit et un inconnu au regard sadique rejoignit les deux jeunes filles.

CHAPITRE 6


Paulo avait passé la soirée à patienter dans sa chambre à épier les discussions de ces deux petites pies tout en pensant à son petit plan et à tout ce qu’il avait déjà accompli.


Sa situation avait beaucoup évolué alors que « Le soleil de vos nuits » commençait à tourner à plein régime.

Il avait privatisé le dernier étage et négocié avec les autres propriétaires que l’accès à son bordel ne fût accessible que depuis sa zone de parking afin d’éviter que ces personnes « biens » ne croisèrent ses filles ou leurs clients dégénérés.


Dans le même temps, il avait racheté, à leur insu, l’appartement situé en dessous de celui qu’il avait « acheté » à Pamela afin de se créer un pied à terre où il recevait les couchsurfeuses qui continuaient à affluer à la faveur des avis fabuleusement positifs que toutes ses visiteuses laissaient ironiquement sur le site. Et elle lui servait aussi de piège à fifille.


Finalement Emilia avait posé les question fatidique et obtenu une réponse qui ne lui avait pas plu. Paulo pouvait entrer en scène.


Emilia était comme sous le choc de ces révélations. Elle ne comprenait vraiment ni ce qui se passait ni qui était l’inconnu qui s’avançait vers elle. Cependant, elle finit par réaliser qu’il ne voulait que du mal et se leva brutalement pour s’échapper.


Elle était vive et sportive et réussit à l’éviter alors qu’il bondissait sur elle mais l’appartement était un espace restreint. Elle cibla la porte d’entrée et ce fut sa perte.

Elle était bien entendu fermée à clé et, en tentant de l’ouvrir, elle s’immobilisa suffisamment longtemps pour qu’il l’attrapât.


Elle se débattait avec rage, hurlant et appelant au secours sans savoir que l’endroit était tout autant insonorisé que les autres lieux appartenant à Paulo. Personne ne pouvait venir l’aider.


La jeune fille ne s’abandonna pas pour autant, bien qu’elle fut plus petite et plus mince que son agresseur, elle mettait toute son énergie à lutter.


Paulo la souleva du sol et réussit à la porter jusqu’à une des chambres.

Emilia comprenait trop bien où il voulait en venir et cela décuplait son énergie alors qu’il la projetait sur le lit.

Elle se redressa immédiatement et fut accueillie d’une claque magistrale qui la fit retomber en arrière. Elle ne renonça pas et fut récompensée de deux autres claques qui lui laissèrent les joues rouge sang.


La bataille était ardue. Paulo qui n’avait pas l’habitude d’une telle lutte puisqu’il droguait ses victimes avant de les implanter et de les violer, peinait à prendre la mesure de sa jeunesse et de sa motivation. Il avait besoin d’aide.

« STELLA !!! Hurla-t-il à l’intention de sa petite esclave qui était restait assise à la table du salon. VIENS ICI, TOUT DE SUITE !!! »


Comme un automate, la désormais ancienne étudiante quitta sa chaise et accourut vers la chambre. Elle se figea dans l’embrasure de la porte, attendant les ordres.

« MAIS VIENS LA TENIR, PETITE CONNE !!! Tonna un Paulo qui perdait patience. AIDE-MOI !! »


Dans sa lutte acharnée, Emilia réussit quand même à jeter un regard désespéré en direction de son amie d’enfance mais celle-ci ne montra aucune hésitation et grimpa sur le lit pour lui attraper les bras et tirer dessus.


Emilia devait lutter contre deux personnes maintenant et surtout Stella démontra une force que sa frêle constitution ne semblait augurer. Elle prit les poignets de son amie dans un véritable étau, lui imposant l’immobilité.


Profitant de cette aide providentielle, Paulo pouvait enfin agir à son aise. Il enleva les chaussures de sa victime puis tira violemment sur son pantalon. Le vêtement sortit en se déchirant et emportant avec lui le string se trouvant en dessous.


Même emprisonnée et à moitié dénudée, Emilia n’abandonnait pas et continuait à battre des jambes tout en tentant de frapper son agresseur.


Paulo évita ces coups et réussit à se placer entre les cuisses de la jeune lycéenne et à s’orienter vers son intimité désormais offerte.

Emilia était prise au piège entre le corps imposant de Paulo qui bloquait le mouvement de ses jambes et Stella qui la maintenait fermement.

Il positionna son sexe à l’entrée de l’intimité de sa jeune victime qui continuait à tenter de se débattre, à hurler et à insulter sans que cela n’eut le moindre effet.


Il fit presser son gland contre l’entrée de l’antre d’amour de la jeune fille et donna un coup sec pour transpercer son hymen. Ainsi, il prit une nouvelle virginité quelques mois après l’avoir fait avec Stella.


La sensation d’envahir ainsi un vagin jamais visité l’enivra totalement et il commença à la besogner, pesant sur elle de tout son poids et achevant de l’immobiliser.


Emilia s’effondra un peu à cet instant, vaincue. Elle se mit à sangloter alors que le sexe allait et venait dans son ventre.

Profitant de sa victoire, l’ancien ingénieur souleva le gilet de la jeune fille, faisant apparaître son 85C prisonnier d’un petit soutien-gorge bleu sans chichis. Il arracha cette dernière protection et se mit à lécher la jeune et fière poitrine.

Les pleurs d’Emilia s’intensifièrent ainsi que les coups de boutoir qui la ravageaient.


Finalement, l’ancien ingénieur se figea et jouit. Bien qu’elle ne s’en rendit pas compte, aucun liquide ne s’écoula dans le vagin de la jeune fille, son violeur ayant mis un préservatif.


Paulo tourna sur lui-même pour s’allonger sur le dos afin de reprendre son souffle. Cette bagarre avec une jeune fille aussi énergique ainsi que l’extase de sa victoire totale l’avaient presque épuisé et il avait besoin de se remettre.


Un besoin moins impérieux que celui d’Emilia qui bougeait juste faiblement les jambes presque par réflexe alors qu’au-dessus d’elle, Stella la maintenait toujours aussi fermement.

Emilia trouva la force de maudire son ancienne amie et de lui promettre mille souffrances. Dans sa rage et sa peine, elle ne voyait même pas que celle qu’elle insultait pleurait au moins autant qu’elle.

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