CHAPITRE 1
Portelo était la capitale de Santa Chiara, une petite île perdue au milieu des caraïbes à la démographie étrange. Petite île paradisiaque pourtant peuplée de plusieurs millions d’habitants, sa population était bien plus chamarrée que celles des îles environnante et aussi plus bourgeoise.
Avec ses plages de rêves et son climat tropical, elle était cependant devenue une destination de choix pour les touristes en recherche d’exotisme.
C’était ce décor paradisiaque que Kate Taylor pouvait observer depuis sa place alors que son avion entamait la dernière étape de sa descente vers l’aéroport de Portelo.
La jeune britannique de 23 ans, rousse au teint clair et aux yeux verts, devait passer une semaine de vacances sur cette île tout droit sortie d’un rêve.
Marius, son petit ami, l’avait devancé d’une journée pour rejoindre la ville de Riviera, plus au nord et y récupérer le petit bungalow dans lequel ils devaient séjourner le temps de leurs vacances, les premières de ce couple pourtant vieux de 3 ans.
Il fallait dire qu’ils ne roulaient pas sur l’or et que la seule somme nécessaire pour le voyage avait constitué l’équivalent de 3 mois de leurs salaires respectifs.
Et encore Marius avait dégotté un vol direct en charter à très bon prix et un hébergement dans leurs moyens mais un problème s’était posé et Kate avait dû retarder son voyage d’un jour. Son petit ami avait dû alors partir sans elle sous peine de perdre son billet ainsi que leur hébergement.
Pour Kate le voyage s’annonçait plus long. Elle avait trouvé un autre vol pas cher mais qui se posait non pas à Riviera mais à la capitale Portelo. Elle devait ensuite prendre un train le lendemain qui traverserait la moitié de l’île pour rejoindre son lieu de villégiature et ils rentreraient ensemble par le vol d’origine une fois le séjour terminé.
Ces dépenses supplémentaires avaient achevé leurs réserves et la jeune femme n’avait donc plus rien pour payer la nuit d’hôtel sur Portelo et l’idée de dormir sur les ponts ou sur un banc de la gare de Portelo ne l’enchantait pas plus que ça. Il lui avait fallu donc trouver une solution gratuite et c’était ainsi qu’elle s’était tournée vers le couchsurfing.
Le couchsurfing était une pratique appréciée des jeunes gens qui cherchaient à voyager pour pas cher. Sur internet, les voyageurs, les surfeurs, étaient mis en contact avec des habitants locaux, les hosts, qui acceptaient de les héberger à titre gratuit, juste pour le plaisir de rencontrer des personnes étrangères.
Kate avait déjà utilisé cette pratique mais sur Portelo, le nombre d’hosts était peau de chagrin et elle avait dû se résoudre à contacter un homme alors qu’elle préférait éviter. On ne savait jamais.
Heureusement pour elle, le dénommé Paulo Esteves avait déjà accueilli un nombre impressionnant de personnes et possédait une bonne quinzaine d’avis favorables dont certains dithyrambiques ce qui était rassurant.
L’avion se posa enfin et Kate descendit au milieu des autres passagers. Elle se retrouva donc dans l’immense hall à la recherche du dénommé Paulo qui avait promis de venir la chercher.
Son vol accueillant essentiellement des touristes en goguette, peu de personnes attendaient les voyageurs quand ils passèrent les portiques. Elle put ainsi assez facilement identifier son hôte.
Paulo était grand, plus de 1M80, la fin de la trentaine et un visage finalement plus eurasien que sud-américain. Quand il la vit, il lui lança un sourire qui se voulait engageant mais qui lui donna un frisson étrange. Kate hésita une seconde mais finit par s’approcher.
« Bonjour, fit Paulo dont le ton enjoué. Je suis Paulo.
- Kate, répondit-elle. Comment ça va ?
- Très bien, merci. Allons chercher vos bagages. Ensuite, si vous la voulez, nous irons les déposer puis prendrons un bon déjeuner ; si vous n’êtes pas trop fatiguée.
- Non, c’est parfait.»
Kate lui rendit son sourire. Paulo était rayonnant et prévenant. Elle s’étonna alors de sa première et fugace impression avant de prendre sa suite
CHAPITRE 2
Paulo était un homme calme et posé qui avait une grande érudition. Tout au cours de la journée, il se révéla un hôte très plaisant.
Ils prirent un déjeuner bien copieux dans un petit restaurant dans une petite rue calme. Un de ces endroits que seuls les habitants pouvaient connaître et qui échappaient à la foule de touristes.
Il avait insisté pour payer puis lui avait fait découvrir quelques lieux historiques de la ville.
Portelo était une petite ville comparée aux grandes villes d’Europe mais abritait quand même plus de 500 000 habitants ce qui restait respectable pour cette région du monde.
Devant toutes ces attentions, Kate ressentit une petite appréhension. Elle craignait que les intentions de Paulo ne fussent pas aussi désintéressées qu’il ne le disait. Pensait-il que cette intimité qu’il tentait de créer conduise la jeune femme à céder à ses avances ?
Pourtant au cours de la journée, il n’eut jamais aucun geste malvenu ni ne fit aucune allusion quelconque. Les heures passant, la jeune femme se laissa juste porter par la gentillesse et les connaissances de son hôte jusqu’à la soirée qui s’annonçait tout aussi agréable.
Elle se déroula dans l’appartement de Paulo. Celui-ci se trouvait au dernier étage d’un petit immeuble du nord de la ville. Ce vaste T3 possédait une grande terrasse sans vis-à-vis et ils pouvaient ainsi profiter d’une vue intéressante sur la baie de Portelo.
Le repas était aussi savoureux que celui de l’après midi et déjà Kate regrettait de devoir partir le lendemain. Ce très court séjour revêtait un caractère presque paradisiaque qui présageait de vacances fabuleuses.
Alors que le soleil se couchait doucement sur l’Atlantique, Paulo déposa une petite bouteille sur la table.
« Avant de finir, un dernier petit plaisir, expliqua-t-il en agitant le petit liquide jaune contenu dans la bouteille. C’est une liqueur bien locale. Elle est un peu forte mais si on se contente d’un petit verre, c’est un avant-goût du paradis.
- Je suis désolée mais je ne bois pas d’alcool, s’excusa-t-elle un peu gênée.
- Allons bon, sourit Paulo. C’est pas de l’alcool. Juste un petit verre de l’amitié. »
Kate hésita une seconde. Elle connaissait ces liqueurs et autres eaux de vie. Souvent très puissantes en alcool, elles n’étaient cependant pas consommées en grande quantité. De nombreux pays ne les utilisant que comme digestif comme c’était le cas-là.
« Bon, abandonna-t-elle, mais juste un petit verre, histoire d’aider à digérer. »
Il fallait dire que le repas avait été copieux et savoureux. Clôturer tout cela par une petite entorse à son régime n’était pas bien grave. Elle était en vacances après tout.
Paulo sourit et versa le liquide jaune dans un petit shot avant de le lui tendre.
Elle prit le verre et respira l’odeur. Elle était forte et très fruitée. Elle porta le récipient à sa bouche et but doucement ce liquide. La chaleur de l’alcool lui brûla agréablement la gorge et elle sourit à son tour.
« C’est très bon, complimenta-t-elle. Le goût de menthe est très fort, je ne pensais pas en trouver dans une liqueur.
- A la menthe. Non, je l’ai juste rajoutée pour cacher l’odeur du sédatif. »
Elle leva alors vers lui un regard étonné, se demandant si elle avait bien entendu. Avant qu’elle n’ait pu énoncer la moindre question, sa tête se mis à tourner. Elle lâcha le verre qui alla s’écraser en mille morceaux sur le sol mais elle ne l’entendit pas car dans sa tête tout devint soudainement noir.
CHAPITRE 3
Kate se réveilla comme tirée d’un cauchemar horrible. Elle avait une migraine carabinée et se sentait un peu nauséeuse. Elle se dit alors qu’elle ne supportait vraiment pas l’alcool.
Elle se trouvait allongée dans un lit et réalisa qu’on l’avait partiellement déshabillée. Elle ne portait plus son pantalon mais gardait sa culotte et sa chemise entrouverte. Elle ne se souvenait aucunement s’être déshabillée ni même avoir rejoint sa chambre.
Elle voulut se redresser mais une douleur intense au niveau de l’arrière de son cou l’en empêcha. Par réflexe, elle porta la main droite au niveau de ses vertèbres et sentit alors une étrange cicatrice à ce niveau.
« Tu ne devrais pas trop toucher, fit la voix de Paulo. »
Kate sursauta de surprise en réalisant la présence de son hôte dans cette chambre.
Il se tenait assis sur un petit canapé dans la pénombre d’un recoin et la fixait de son regard marron malsain.
« Mais… balbutia-t-elle. Que … »
Elle voulut se redresser.
« Stop ! Ordonna Paulo. On ne bouge plus ! »
A cet instant, Kate se figea comme frappée par la foudre. Ses muscles semblaient se plier à cet ordre improbable.
« Espèce de pourriture, lâcha-t-elle, tout en tentant de bouger.
- Silence, rajouta Paulo.
- Va te faire foutre, rétorqua la jeune femme.
- Pas encore tout à fait prête. SILENCE !!! »
A ce moment, la bouche de la jeune femme se ferma dans un glock presque comique. La jeune voulut rouvrir la bouche mais en fut incapable.
« C’est mieux, estima Paulo. Tu vas t’assoir et écouter. »
La jeune femme s’assit alors sur le bord de son lit et se figea, toujours silencieuse.
« Parfait. Je vais te parler un peu de mon passé. A l’origine je suis ingénieur, diplômé de plusieurs grandes écoles, j’ai longtemps travaillé pour une des plus grandes entreprises technologiques du pays. Nous travaillions sur des projets ambitieux dont l’un d’entre eux aurait dû faire ma fortune.
Ce projet avait pour but d’aider les personnes handicapées à retrouver l’usage de leurs membres. Dans ce cadre, j’avais développé un système capable de renouer le contact entre le cerveau et le reste du corps quand la moelle épinière était lésée. Il pouvait permettre de redonner l’usage de leurs membres à des milliers de personnes et faire ma fortune.
Pourtant, je n’ai rien eu car j’ai été spolié de mes droits par mes supérieurs qui n’ont pas hésité à me renvoyer pour cacher leurs méfaits. Ils ont fait fortune et j’ai tout perdu… ou presque. »
A ce moment, il sortit de sa poche un étrange petit objet gris. De forme circulaire, il possédait des excroissances qui ressemblaient aux pattes d’un insecte.
« Voici l’un des prototypes de ma découverte. Je l’ai baptisé le Beettle. On le fixe la colonne vertébrale au niveau du cou. Il crée alors des liaisons avec le cerveau et les neurones de la moelle épinière rétablissant ainsi des liens détruits par des accidents. J’ai emporté 4 de ces prototypes en secret et beaucoup de frustration. C’est à ce moment que j’ai commencé à imaginer détourner ces prototypes de leur fonction originelle.
Que se passerait-il si on implantait un beettle à une personne saine mais que l’on transférait le contrôle à une autre personne ? Pouvait-on ainsi prendre le contrôle ? J’ai décidé de faire une expérience pour savoir et j’avais besoin d’une cobaye, toi.
Je t’ai droguée et j’ai implanté le beettle sur ta moelle épinière, c’est la cause de ta nouvelle cicatrice. Rassure-toi, elle ne devrait pas rester longtemps.
Le beettle est une véritable merveille. A peine installé, il se met à créer des excroissances dans toute la moelle épinière mais aussi jusqu’au cerveau. C’est pour lui laisser le temps de le faire que je t’ai maintenue sous sédatif durant les 12 dernières heures.
Le contrôle est cependant déplacé à là. »
Du doigt, il indiqua sa tempe.
« Je te l’ai dit, tu es ma cobaye. Je veux savoir si, effectivement, je peux contrôler une autre personne et en faire ma chose.
- Mais tu es fou, lui lança Kate qui retrouvait l’usage de la parole. »
Paulo secoua la tête.
« Pas encore bien développé. Envoie-toi une claque ! »
Etrangement, la main droite de la jeune femme se leva et vint claquer sa joue droite.
« Plus fort ! »
De nouveau, sa main la frappa si fort qu’elle lui laissa la joue rouge.
Kate avait mal autant à la joue qu’à la main et ne comprenait pas ce qui conduisait à cette situation.
« Le beettle se développe vite, rajouta Paulo. Il contrôle déjà toute la partie inférieure de ton corps. Ton cerveau et les muscles de ton visage sont encore un peu indépendants mais ce n’est qu’une question de temps. Tu dois te sentir un peu faible car il puise dans tes réserves de fer pour alimenter sa croissance. Tu risques l’anémie et c’est pour ça que je t’ai donné une alimentation riche en fer mais tu auras besoin de compléments alimentaires. »
Kate écoutait ce discours en se demandant si cet homme n’était pas totalement fou. Pourtant, elle restait totalement immobile comme il le lui avait ordonné et, même parler lui demandait un effort épuisant.
Paulo ne lui paraissait plus du tout prévenant ni agréable et elle repensait au malaise qu’elle avait ressenti la première fois qu’elle l’avait vu.
« Mais… que veux-tu… de… moi ? Réussit-elle à articuler.
- Beaucoup de choses. Je veux voir si je peux totalement te soumettre et faire de toi ma chose. J’ai de grands projets et pour les remplir, j’ai besoin de femmes comme toi. »
Il se tut une seconde, la considérant avec son regard malsain puis eut un sourire carnassier.
« Debout ! »
Elle retrouva l’usage des son corps mais juste pour se soumettre à ce nouvel ordre impérieux. Elle se leva et il put la détailler de meilleure façon.
« Enlève ta chemise ! Je veux voir tes seins. »
Le cœur de Kate se mit à battre la chamade alors qu’elle comprenait les intentions de cette pourriture mais encore une fois son corps échappa à sa volonté et ses mains se posèrent sur les pans de sa petite chemise rouge pour les écarter et dévoiler sa poitrine.
Elle avait un physique élancé et ses seins étaient relativement petits mais fier comme souvent avec les jeunes femmes de son âge. Le petit vêtement chut sur le sol. Elle se retrouvait ainsi topless devant cet homme qui ne se privait pas de profiter du spectacle.
« Tu es très belle. Tu as une classe toute britannique qui va plaire à tes futurs clients et je vais en profiter. »
Elle ne comprenait rien à ce qu’il racontait mais n’y faisait guère attention tant elle concentrait toute son énergie à retrouver le contrôle sur ses muscles. Ces efforts l’épuisaient vainement.
« Tu vas me montrer comment tu te donnes tu plaisir. Assis-toi sur le lit, écarte les jambes et masturbe-toi. Et mets-y du cœur. Je veux un spectacle digne de ce nom. »
C’en était trop, elle voulut se rebeller et resta immobile, refusant de céder. Elle se mit à transpirer, traduisant la lutte qu’elle livrait contre elle-même. Elle perdit lamentablement car après moins d’une minute, elle se plia à l’ordre donné.
Elle s’installa sur le lit et écarta les jambes pour glisser sa main sous le tissu de sa petite culotte avant de commencer à se titiller le clitoris.
Elle insinua deux de ses doigts entre ses petites lèvres et commença doucement à coulisser. Après une minute, sa fente devint humide et elle ajouta un doigt supplémentaire.
« Ta culotte se mouille, ricana Paulo depuis sa position d’observation. Tu es une habituée de ces petits jeux. »
Kate ne pouvait répondre mais elle aurait eu du mal à nier. Elle se masturbait depuis qu’elle avait 15 ans et même depuis qu’elle était en couple, il lui arrivait assez régulièrement de s’adonner à ces petits jeux solitaires quand Marius n’était pas là ou même après une relation un peu décevante.
Elle continua ses aller et venues et commençait à sentir une chaleur plaisante monter de son bas-ventre.
« Excite-toi les seins. Je veux les voir bander ! »
Sa main droite se mit en mouvement et commença à titiller son téton droit qui réagit assez rapidement indiquant que l’excitation de son corps devenait générale. Elle se mit à alterner entre ses deux seins dont les auréoles grandirent doucement. Sa petite poitrine se dressa fièrement.
Elle était anéantie, obligée de s’exhiber ainsi pour le bon plaisir de cet homme qui avait tout du pire des pervers. Pire, elle sentait son corps lui échapper totalement et commencer à prendre du plaisir de toutes ces caresses.
L’orgasme la prit au dépourvu et elle se plia quand une vague de plaisir honteux l’envahit.
Paulo afficha un sourire satisfait. La situation le comblait au plus haut point et il se sentait prêt à passer à la seconde étape.
Il se redressa et s’approcher de Kate qui demeurait allongée sur le dos en tentant de se remettre de l’orgasme qui l’avait dévastée.
« Debout ! fit-il toujours aussi impérieux. »
Immédiatement, elle se redressa pour se retrouver avec un pénis tendu à quelques centimètres de son visage.
« Suce, my lady ! »
Elle afficha une mine outrée et il sentait qu’elle se tendait. Pendant une trentaine de seconde, elle fut comme prise de spasmes témoignant de la lutte qu’elle livrait pour résister à l’autorité du Beettle. De nouveau, elle finit par perdre et elle engouffra le sexe tendu aussi profondément qu’elle en fut capable.
Elle se mit alors à alors aller et venir en une fellation bien baveuse.
De nouveau, elle démontrait une vraie connaissance de ces pratiques comme c’était assez classique pour une jeune femme de sa génération et cela ravit Paulo pour bien des raisons. Elle était si efficace qu’il craignit rapidement qu’elle réussisse à le faire venir uniquement avec sa bouche.
« Assez ! »
Il se retira et s’écarta de quelques centimètres.
« Debout ! »
De nouveau, elle fut prise de spasmes mais, de nouveau, elle finit par perdre et se redressa.
« Enlève cette culotte ! Elle est complètement souillée de ta mouille de salope ! »
Ses gestes étaient lents, un peu gauche. Elle tentait toujours de résister mais la culotte finit sur le sol dévoilant une intimité parfaitement rasée. Paulo apprécia le spectacle, il adorait les femmes imberbes dans cette zone mais il se dit aussi que cela pouvait constituer un défaut pour l’avenir. Elle était une rousse naturelle et il fallait l’exposer. Il nota qu’elle devrait par la suite garder une petite toison bien entretenue pour bien afficher cette particularité qui ne manquerait pas d’attirer.
Il lui indiqua alors le petit bureau situé juste devant le lit.
« Pose les mains là-dessus et cambre-toi au maximum ! Je veux avoir une vue panoramique sur ta chatte ! »
Son temps d’hésitation fut beaucoup plus et Paulo comprit qu’elle commençait à s’épuiser dans ces luttes vaines contre une machine qui elle ne relâchait jamais la pression et même renforçait son emprise à chaque victoire.
Elle se pencha en avant, posa les mains bien à plat sur le bureau et souleva le bassin aussi haut qu’elle en fut capable.
« Parfait. Et maintenant, interdiction de bouger jusqu’à ce que je t’y autorise ! »
Il s’approcha et se colla à son bassin. De sa main, il massa doucement son entrejambe déjà bien humide à la suite de ses jeux masturbatoires.
Il guida alors son pénis entre ses cuisses et le pressa sur l’entremise de ses petites lèvres. D’un grand coup sec, il l’emmancha totalement, ses couilles venant cogner contre son clitoris. Elle réussit à trouver la force de crier et se mit même à appeler au secours. Paulo éclata de rire.
« Crie tant que tu veux ma belle ! Cet appartement est totalement insonorisé. Tu peux toujours espérer mais aucun chevalier blanc ne viendra te sauver, ma petite princesse au cul en feu. »
Il commença alors à la besogner, la faisant se balancer au rythme de ses coups de rein. Comme ordonné, elle fit tout ce qu’elle pouvait pour maintenir la position et s’offrait ainsi totalement au pénis qui la transperçait.
Comme il l’avait autorisé à crier, elle ne s’en priva pas, hurlant à plein poumons durant toute la durée de son viol. Malheureusement, il ne lui avait pas menti et personne n’entendit le moindre de ses cris et elle ne pouvait être sauvée surtout que le véritable ennemi n’était pas tant l’homme qui était en train de la souiller que cette maudite machine insectoïde qui étirait ses tentacules au plus profond de son corps et de son esprit.
Paulo, tout en continuant à la violer, se pencha et fit reposer une bonne partie de son poids sur les frêles épaules de la jeune femme. Elle puisa dans ses dernières forces pour ne pas s’effondrer pendant qu’il prenait ses seins à pleines mains pour joueur avec eux.
Kate perdit le sens des réalités. En nage, elle n’avait même plus la force de crier et laissait son violer profiter d’elle en silence.
A un moment, elle entendit un « flop » qui indiqua qu’il venait de se retirer puis elle sentit le contact chaud d’un liquide sur ses hanches. Il venait d’éjaculer sur son dos.
Repu, Paulo s’éloigna d’elle et réajusta ses vêtements. Il l’estima une seconde et se dit que le beetlle avait déjà bien développé son réseau. Elle allait encore rester une nuit entière avec lui pour laisser le temps à la machine d’achever sa prise de contrôle. Demain matin, elle serait totalement sous emprise et il pourrait passer à la seconde étape du plan destiné à l’amener à la position qu’il avait toujours mérité.
En attendant, il sortit de la chambre, laissant la jeune femme toujours figée dans la position totalement cambrée qu’il lui avait imposée.
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