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Le soleil de Portelo, épisode 3

Dernière mise à jour : 25 nov. 2022

CHAPITRE 1


Ilhem et Laura furent exactes au rendez-vous. Elles avaient, bien entendu, parfaitement respecté les consignes que Paulo leur avait laissées. Elles n’emportaient avec elles qu’un seul bagage contenant les choses les plus importantes de leur jeune vie. Comme pour les autres pauvres filles que le proxénète avait récupérées, elles allaient voyager avec un visa de travail de Santa Chiara et se retrouveraient donc en pleine régularité pour effectuer ce travail si rebutant.


L’embarquement se fit sans difficulté. Paulo avait réservé trois places côte à côte dans l'avion les deux jeunes femmes le suivirent, une expression anéantie sur le visage mais sans jamais démontrer le moindre signe de résistance.


Ilhem se plaça à côté hublot et Laura côté couloir, Paulo entre elles. Ainsi placé, il pouvait parfaitement contrôler les deux jeunes femmes durant tout le voyage. Il avait déjà quelques idées pour rendre ces huit heures de vol intéressantes.


Le décollage se fit tranquillement, les hôtesses diffusèrent leurs habituels messages et proposèrent diverses collations. Grand prince, il offrit aux deux jeunes femmes un dîner digne de ce nom.


Le vol devait se faire quasiment de nuit ce qui le rendrait en apparence moins long et lui donnerait une certaine liberté compte tenu du fait que la majorité les passagers dormirait.


Les lumières baissèrent et les personnes commencèrent à s'installer pour dormir. Paulo put alors commencer à aventurer ses mains sur les corps des deux jeunes femmes. Il défit le ceinturon du pantalon de Laura et glissa sa main sous le tissu de sa petite culotte. La jeune femme se mordit les lèvres alors qu'il commençait à jouer avec son clitoris.


Il était devenu expert dans l’art de stimuler ainsi les parties charnues de ses jeunes victimes. Ilhem et Laura avaient subi bien des outrages durant leur séjour à Portelo mais il datait de plus d'un an et leur corps n'était pas aussi réactif que celui des jeunes femmes qui demeuraient prisonnières du « Soleil de vos nuits » depuis presque deux ans.


Cela ne fut pas un gros problème cependant car, en voyant le visage rougi de la jeune asiatique ainsi que les mouvements nerveux qui semblait la prendre, il se rendit compte que ses caresses portaient leurs fruits.


Il avait entrepris la même action de l'autre côté avec Ilhem mais montrait moins d’enthousiasme car la jeune maghrébine avait été le sujet préférentiel de ses attentions depuis qu’il était arrivé en France. Il s’était bien amusé avec elle et comptait désormais profiter un peu plus des charmes de l’autre Orient.


- Dans dix minutes, glissa-t-il à l'oreille de Laura tout en continuant à lui exciter l'entrejambe, tu vas quitter ton siège et te diriger vers les toilettes ! Tu te foutras alors cul nu et te penchera en avant en attendant que je te rejoigne ! J'ai toujours voulu baiser dans un avion. C’est l'occasion parfaite. »


Laura serra les dents et le gratifia d’un regard plein de rage mais elle savait déjà qu’elle exécuterait tous ses ordres sans hésitation.


Elle compta les dix minutes puis défit sa ceinture de sécurité pour se diriger vers les toilettes. Elle passa devant deux hôtesses de l’air un peu endormies qui ne remarquèrent même pas sa présence et entra dans les toilettes en prenant bien soin de fermer derrière elle. Paulo ne tarderait pas mais il y avait toujours le risque que quelqu'un d'autre arrivât avant lui.


Elle déboucla la ceinture de son pantalon, le fit descendre jusqu'à ses chevilles et fit de même avec sa petite culotte. Elle se pencha alors bien en avant sur la cuvette des toilettes en prenant bien soin d’écarter largement les cuisses.


Quelqu’un tira sur la poignée de la porte comme celle-ci résista, il tapa trois fois, code que Laura ne connaissait que trop bien. Tout en cherchant à garder sa position, elle réussit à atteindre le loquet et à débloquer la porte.


Paulo entra alors avec un sourire satisfait sur le visage. Il rebloqua la porte derrière lui et se plaça en face de la croupe offerte de la jeune femme.

L’excitation le tenait depuis le début du voyage et il n’avait pas du tout besoin d'un quelconque travail préliminaire pour avoir une érection digne de ce nom. Il plaça alors le gland de son sexe au contact de l’antre d’amour exposée de la jeune française et s’enfonça doucement mais fermement.


Il profitait pleinement de ce moment et de la gêne occasionnée par la situation. Ils avaient une sorte d’intimité mais, si un des employés réalisait ce qui se passait, ils pourraient se retrouver dans une situation très inconfortable. Les compagnies aériennes ne plaisantaient pas avec ce genre de comportements et les sanctions pouvaient aller de fortes amendes à l’interdiction de voyager sur les avions de la compagnie.


Compte tenu de ses désormais nombreux soutiens dans les milieux judiciaires, Paulo savait qu’il ne risquait pas grand-chose et, de toute manière, bientôt, il n'aurait plus besoin de compagnie aérienne pour traverser le monde.


Cependant, il savait que Laura supporterait mal une telle honte. Être ainsi découverte, la culotte sur les chevilles en train de se faire prendre en levrette dans les toilettes d'un avion et d'avoir en plus l'opprobre d'être arrêté par la police. Ce serait autant d'humiliation qui détruirait encore un peu plus son ego.


Paulo aimait beaucoup jouer avec cette jeune étudiante. A l'opposé de nombreuses jeunes femmes de Portelo et, même des lycéennes que, de temps en temps il réduisait aussi à sa merci, ces jeunes femmes éduquées réfléchissaient beaucoup et encaissaient beaucoup plus mal la honte. Le sadisme du proxénète trouvait là un terrain de jeu plus que propice.


Il s’enfonça totalement entre les cuisses de la jeune femme et commença à la besogner doucement. La jeune femme tentait de résister aux coups de rein de celui qui la possédait et cherchait surtout à réduire le bruit qui pourrait attirer l’attention des employés.

Il accéléra doucement la vitesse de ses coups de boutoir et elle sentit monter en elle une chaleur qui la répugnait mais qu'elle n'arrivait plus à contrôler. Ce salopard était terriblement doué pour exciter ses partenaires contraintes. Elle se mordit les lèvres pour ne pas pousser de petits soupirs et se dandina du mieux qu'elle pouvait pour encaisser les coups.


Le coït ne dura que cinq minutes mais pour la jeune femme cela parut des heures. Paulo accéléra les choses car il préférait quand même ne pas se faire surprendre. Il commençait à être connu à Portelo et un tel scandale pouvait quand même s'ébruiter et nuire à ses affaires.


Il finit par jouir entre les cuisses de la jeune femme. S’il imposait les capotes à ses clients, il se passait de cet instrument dont il détestait le contact. Pour éviter les mauvaises surprises qui auraient gâté la qualité de ses prostituées, il multipliait les méthodes de contraception. Toutes ses filles prenaient la pilule et s’étaient vu aussi un stérilet moderne qui empêchait l’accès total à leurs utérus. Deux précautions valaient mieux qu'une.


Laura se contracta en sentant le liquide s’écouler en elle et dégouliner doucement entre ses cuisses. Sans attendre, il remonta son pantalon et sa culotte et elle comprit qu'elle allait devoir passer le reste du voyage avec du sperme collé à la peau de ses jambes.


- Je vais sortir, murmura-t-il simplement à son oreille. Attends encore deux minutes puis retourne à ta place ! »


Alors qu’il quittait les toilettes, il tomba sur une jeune hôtesse qui le dévisagea avec étonnement. Avait-elle vu qu’une jeune femme était rentrée avant lui sans en ressortir ? Il lut à son expression qu’elle n’était sûre de rien et décida d'en profiter pour dissiper tout danger.


- Vos services sont excellents, lança-t-il sur un ton détaché. Vous faites un travail fantastique.

- Nous essayons de combler nos clients, répondit la jeune femme toujours un peu circonspecte.

- Vous y arrivez tout à fait, relança-t-il pince sans rire. »


Il considéra la jeune femme pendant quelques secondes Il s’agissait d'une hispanique certainement au milieu de la vingtaine. Elle avait de jolis yeux bruns et un visage sans défaut.

Il repensa alors aux informations qu’il avait lu dans différents médias sur la situation précaire de la société nationale de Santa Chiara, la « tropical Airlines ». La corruption et le népotisme y étaient récurrents et il savait que les employés secondaires en payaient le prix. Les hôtesses de l’air n’étaient pas en reste.


- Dites-moi, reprit-il alors. Sans vouloir être indiscret, votre salaire est de combien ? »


Son expression se ferma. Il vit qu'elle se demandait pour quelle raison il lui posait cette question. Il la gratifia alors de ce sourire qui avait tellement endormi les vigilances de nombreuses couchsurfeuses et continua.


- A ce que je sais, une hôtesse de l'air débutante même qualifiée, touche au maximum trois mille pesetas par mois.

- Peut-être, répondit-elle et il vit à son expression qu’elle touchait moins que ça.

- Je compte ouvrir une petite compagnie, pour des vols privés. Surtout pour des touristes notamment en provenance des Etats Unis, expliqua-t-il en tendant une carte de visite. Je recherche des jeunes femmes qualifiées parlant plusieurs langues dont l'anglais pour travailler sur ces vols. Le salaire sera au minimum de dix mille pesetas par mois. Si vous êtes intéressée, n’hésitez pas m’appeler à ce numéro. »


Elle garda son expression fermée, montrant qu’elle était toujours en proie au doute mais elle prit la carte de visite et la glissa dans sa poche.

La jeune femme avait totalement oublié la présence potentielle d'une femme dans les toilettes et elle repartit à son poste de travail. Laura, qui avait eu l’intelligence de ne pas sortir tant qu’elle entendait des voix, mit encore quelques minutes avant d’enfin ouvrir la porte des toilettes. L’endroit était désert et elle put tranquillement rejoindre sa place à côté de Paulo.


Ce dernier la regarda, le visage rougi par la honte et s’en réjouit encore plus. Elle ne savait pas qu'il l'avait programmée pour être la perdante de son petit jeu sadique. Il avait déjà décidé que ce seraient Ilhem et Laura qui repartiraient avec lui à Portelo. Il recherchait de la diversité et n’avait encore ni maghrébine ni asiatique dans son petit lot de filles de joie.

Lisa et Amanda étaient de type eurasien et il en avait déjà beaucoup. Quant à Camille dont le métissage aurait été une belle cerise sur le gâteau, elle avait encore un entourage trop présent dont une famille un peu trop aimante qu'elle avait du mal à détacher. Il faudrait encore au moins un an pour qu'elle fût totalement isolée et que personne ne posât trop de questions en cas de départ. Mais ce n’était qu'une question de temps avant de voir les cinq petites françaises toutes réunies dans les chambres du « Soleil de vos nuits ».



CHAPITRE 2


Castel avait reçu Felicia dans sa chambre d’hôtel. Cette dernière avait accepté cette rencontre peu adaptée car elle savait qu'elle jouait là son va-tout. Il était sa dernière chance de pouvoir renverser la table et Pablo avec elle.


- Jouons cartes sur table, lança-t-elle en reprenant sa déclaration précédente. Ne soyons pas hypocrites. Je sais que vous avez acheté de grandes quantités d’actions des laboratoires Santos. D'après ce que j'ai pu calculer vous avez environ seize pourcents de l’entreprise. C’est à la fois beaucoup et pas grand-chose pour quelqu’un qui veut prendre le contrôle.

- Admettons que votre calcul est exact, ça me donne un pouvoir de nuisance intéressant. Surtout maintenant que l’on sait que votre famille n’a plus la majorité absolue.

- Pablo a fait une recapitalisation voici quelques temps et désormais notre famille n’a plus que quarante-cinq pourcents des parts. J’en possède quinze par héritage et j’ai pu en racheter trois supplémentaire soit un total de dix-huit. Faites les comptes. Si nous nous associons, nous avons trente-quatre pourcents contre seulement trente à la famille.

- Cela veut dire que nous sommes loin de la majorité absolue et, d'après vos calculs, il y a trente-six qui sont en dehors de tout ça.

- Pablo en possède trois à son titre personnel. Ainsi, tous les autres petits actionnaires même réunis, et on sait que c'est quasiment impossible, ne pourront pas nous dépasser. Majorité relative mais majorité quand même surtout que je connais ma famille. Si elle perd le contrôle des laboratoires, le contrat familial est rompu et chacun peut alors disposer de ses actions comme il l'entend. Je me fais fort de racheter l’immense majorité des parts. Nous prenons le contrôle même avec une majorité relative et, dans six mois, nous sommes majoritaires sans aucune contestation possible.

- C’est quand même étonnant de voir la propre descendante du fondateur des laboratoires Santos préparer la chute de sa famille.

- Oh je n’en ai rien à faire de cette bande de profiteurs ! Tous ces fils d’insectes qui ont profité de leur naissance pour s'assurer une vie dorée sur le dos du travail des autres. Ils se laissent manipuler par cette ordure de Pablo du moment qu'il leur fournit l'argent pour payer leur ridicule rythme de vie. J’ai travaillé pour permettre de remonter cette entreprise et je mérite de la diriger.

- Nous y voilà donc. Vous voudriez être la nouvelle présidente des laboratoires Santos. Et si moi je ne suis pas d’accord ?

- Jamais le gouvernement de Santa Chiara n’acceptera de voir un fleuron de son économie comme les laboratoires Santos tomber officiellement entre les mains d'entreprises étrangères. Il possède des moyens de rétorsion qui vous empêcheront de devenir président. Vous avez besoin d’un visage local et de quelqu'un qui puisse représenter l'entreprise sans choquer la société de Santa Chiara. Sans compter que, quoi que nous fassions, je garde toujours plus d’action que vous.

- Pour l’instant, vous l’avez dit vous-même si nous réussissons notre putsch alors il y aura un paquet d’actions à acheter et je doute que vous ayez la surface financière pour aller plus loin que moi.

- Nous en parlerons à ce moment-là mais je vous rappelle que nous avons besoin d’une vraie solidarité. Vous avez des investisseurs qui rêvent de faire des bénéfices et je sais ce qu’il y a de plus intérêt, l’URAM.

- De quoi parlez-vous ?

- Je croyais que nous étions passés outre ces histoires hypocrisie. L'Unité de Rétablissement de l'Activité Motrice, la grande découverte des laboratoires Santos. Cette magnifique machine qui, en théorie, est capable de redonner la mobilité à toute personne paraplégique et qui, en plus, pourrait avoir de fabuleuses applications militaires. L’URAM a eu bien des problèmes ces dernières années et c'est en partie à cause d'elle que les laboratoires Santos ont failli péricliter mais nos recherches ont vraiment progressé et, bientôt, nous pourrons fournir à des millions de personne en chaise roulante le moyen de recommencer à marcher et à toutes les armées du monde le moyen d'avoir des soldats qui n'hésiteront jamais au moment d'agir. Ça vaut des milliards et même avec quinze pourcents, ça fait beaucoup d’argent. »


Castel ne répondit pas de suite. Il termina le verre de whisky qu’il avait en main tout en dévisageant cette jeune femme. Il la connaissait bien et il savait que c’était une femme aussi intelligente que redoutable mais il ne s’était pas attendu à la retrouver comme une alliée potentielle et ne savait pas s'il devait s'en réjouir ou le regretter. Si jamais elle prenait le contrôle même partiellement des laboratoires, il aurait du mal à renverser la vapeur. D'un autre côté, cette alliance était inespérée et pouvait faire avancer ses plans de plusieurs mois voire années. Racheter suffisamment de parts des laboratoires Santos pour devenir incontournable était son objectif originel. Il espérait ensuite forcer la famille à lui verser d'énormes indemnités contre le rachat de ses actions. La prise de contrôle du laboratoire lui paressait illusoire mais désormais, elle devenait possible même si cela se faisait de manière indirecte.


- Très bien, accepta-t-il, je pense que nous allons faire de bonnes affaires. »



CHAPITRE 3


- Alors qu’en pensez-vous ? Demanda simplement Paulo au médecin. »


Le docteur Chavez, un homme de soixante-cinq ans à la silhouette émaciée et au visage ridé hésita encore un peu et enfonça encore son doigt dans l’anus de Jana. Cette dernière restait allongée sur le ventre, totalement nue, exposant ainsi son fondement à l'exploration de ce médecin. Il s’agissait du chirurgien esthétique le plus réputé de toute l’île de Santa Chiara. Certains patients venaient directement des États-Unis pour profiter de ses talents.


- C'est tout à fait vrai que son anus est épuisé, estima le médecin sur un ton badin. Elle a dû être enculée un nombre incalculable de fois. La dernière fois que j’ai vu un anus dans cet état, c’était avec une star du porno, de celles qui multipliaient les séances de fist fucking et autres bêtises de ce genre. »


Paulo n’arrivait pas à estimer si ce médecin était un vrai pervers ou une sorte de professionnel totalement froid tant il prononçait des paroles salaces avec un calme olympien. L’homme continuait à tâter l’anus de la jeune femme. Le petit anneau s’étendait dans tous les sens sans aucune résistance.


- Et vous pensez qu’il y a un moyen de corriger cela ? Rajouta le proxénète. Le rendement de cette fille s’est écroulé. La sodomie est sa spécialité et les clients n'aiment pas trop visiter des trous du cul aussi large que des vagins.

- Je n’ai que très rarement ce genre de situation. Les stars du porno ne restent jamais très longtemps dans ce métier et n'ont pas besoin de se faire retendre l'anus. Quant aux prostituées classiques, elles ont rarement les moyens de se payer un tel service. Cependant, je l’ai fait une fois ou deux et je pourrais tout à fait lui rendre son élasticité d'origine voire même mieux que ça. Et cela sans qu’il y ait de trace de suture. »


Jana eut un petit sursaut et Paulo ne sut pas exactement comment l’interpréter. Il semblait que la jeune femme était soulagée de cette nouvelle et il savait qu’elle n’était aucunement à cause du plaisir qu’elle ressentait durant les passes qu’elle effectuait et que le fait de se faire sodomiser aussi fréquemment ne lui apportait que honte et douleur.

Il comprenait aussi la peur qu'elle devait ressentir à l’idée de de se faire « recycler », suivant le terme qu’il avait lui-même utilisé quand Avrora lui avait parlé de la situation. La jeune femme n'avait que vingt-cinq ans et était encore des plus agréables. Il savait qu'elle pouvait durer encore au moins dix ans sans aucune difficulté et ne voulait pas la perdre. Il avait de nombreuses réserves de couchsurfeuses mais si les filles s’épuisaient en quelques années, autant se contenter de prendre des prostituées classiques qui lui causeraient beaucoup moins de problèmes.


- Il s'agit d'un simple anneau en chair de cochon, expliqua alors le chirurgien. Je vais l'installer sous la peau de cette jeune femme et il prendra la place de son anus. La chair est résistante et les premières fois seront comme si c'était la première. L’avantage de la méthode est que toutes les zones sensibles seront conservées. »


De nouveau, Jana sursauta mais, cette fois-ci, Paulo sut interpréter sa réaction. Les zones sensibles conservées et un anus comme vierge, cela voulait dire le retour de douleurs affreusement intenses qu’elle avait connu à ses débuts et qui s’étaient un peu atténuées au fil des sodomies.


- Et cela restera esthétique et solide ? Demanda le proxénète.

- Tout à fait, je travaille au laser ce qui ne laisse aucune cicatrice et cette anneau artificiel est des plus solides. Je vous garantis sa résistance au moins dix ans. Bien entendu, il s'agit d'un travail de précision et le prix est à l’échelle de celui-ci.

- Combien ?

- Cinq cent mille dollars. »


Polo souffla devant ce montant qui était une authentique fortune pour un pays comme Santa Chiara. Cependant, l’investissement valait le coup. Avec son anus totalement regénéré, Jana pouvait assumer jusqu'à huit clients par jour avec des hommes qui payaient très cher. Il pouvait espérer amortir le prix de l'opération en moins d'un an, sans compter qu’il avait eu la bonne idée d’assurer toutes ses filles. Certaines assurances peu regardantes avaient même créé des contrats spécifiques aux prostitués qui couvraient notamment la déperdition de leur outil de travail, leur corps, avec l'âge et la perte de revenus conséquente. Une partie de l’opération serait donc payée par une assurance de ce genre.


- Cinq cent mille dollars, répéta-t-il. Ça me convient. Quand pouvez-vous faire cette opération ?

- Il faut que je consulte mon agenda mais je pense que nous pourrons la programmer pour la fin du mois. Il faudra cependant qu'elle se repose avant l'opération et surtout ensuite elle suive une période de rééducation de convalescence de deux mois. Il faut que tout cicatrise bien. »


Deux mois, c’était un terriblement long dans ce métier. Le « Soleil de vos nuits » n'avait que peu de concurrence à son niveau. Cet établissement de luxe fournissait à ses clients fortunés, locaux ou étrangers, des filles uniques comme on n’en trouvait jamais ailleurs mais si, par malheur, ces derniers n'obtenaient pas ce qu'ils voulaient, ils pouvaient très rapidement se détourner d'eux. Les gens riches exigeaient toujours d'être servi en temps et en heure.

Jana avait son lot de clients habituels et nombre de personnes de passage aimaient passer par le petit cul bien serré d’une petite blonde au type slave. Il ne pouvait se permettre de la perdre et devait donc lui faire faire cette opération mais il fallait aussi lui trouver une remplaçante afin de satisfaire tous ses clients. Heureusement pour lui, il avait déjà la candidate idéale.


 

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CHAPITRE 4


La fête était impressionnante. Il s'agissait d'un mariage au sein de la haute bourgeoisie de Portelo. Les membres des deux familles était réuni, représentant plus de deux cents convives.


Au milieu de cette petite foule, un petit couple profitait de la fête sans se soucier de certains regards désobligeants. Il fallait dire qu’il s'agissait de deux femmes. Rhonda Gomes avait l’habitude de sentir les regards un peu gênés et souvent réprobateurs des gens qui la croisaient avec Paloma et avait appris à en ricaner.

Elle savait qu'aucune des deux familles ne voulait de sa présence mais elle était la cousine de la mariée et avait, surtout, grandement financé ce mariage somptueux. Elle bénéficiait donc d’une réelle impunité au milieu de ces parvenus aux airs bien plus pompeux qu’aux bourses pleines.


Comme à son habitude, Paloma était la parfaite petite esclave. Elle obéissait à chacun de ses ordres et suivait les mouvements de sa maîtresse sans jamais hésiter. Cela faisait maintenant deux ans que les deux jeunes femmes étaient officiellement en couple et personne ne s’était jamais douté de la réalité de leur relation et du fait que Paloma était totalement assujettie à celle qui avait payé une vraie fortune pour l’acquérir. Rhonda n'avait jamais eu à regretter cette opération financière car elle s’était offert une partenaire sexuelle qui avait su rapidement apprendre les ficelles de l’homosexualité et lui procurer énormément de plaisir. Une compagne qui n'osait jamais remettre en doute la moindre de ses décisions et même une assistante compétente.


Une fois sa plainte pour harcèlement retiré, la jeune femme avait retrouvé la place qu’elle méritait au sein de l'entreprise juste à ses côtés. Elle faisait désormais preuve de compétences et ne cherchait plus à tirer des profits illégaux de son activité. Avec la honte et la réprobation que la révélation de ces fausses accusations à son encontre avaient induites, Rhonda avait enfin obtenu ce qu’elle voulait. Elle faisait désormais partie du conseil d’administration de sa société et elle était une femme qu’on ne pouvait qu’envier. Tous ces petits bourgeois étaient en fait de petites fourmis en face de son pouvoir


Rhonda demanda à Paloma d’aller lui chercher à boire et cette dernière s’exécuta. La femme d’affaire porta alors son attention sur la piste de danse où les deux mariés continuaient leur démonstration. Elle admirait la belle robe blanche de l’épouse. Sa nièce par alliance était relativement mignonne mais sans être vraiment fantastique. Il y avait d’ailleurs bien des jeunes femmes sur la piste et certaines étaient bien appétissantes. L’avantage de sa relation à sens unique avec Paloma était qu’elle pouvait se permettre tous les écarts qu’elle voulait sans aucun risque.


Un bruit de verre cassé retentit alors et le cri d’une jeune femme se répercuta dans toute la salle de bal. Rhonda se retourna et vit alors que Paloma avait visiblement percuté une jeune femme qui devait avoir tout au plus vingt ans et il lui fallut quelques instants pour reconnaître.


- Espèce de cruche de goudou ! Cria alors la jeune femme. »


Paloma changea d'expression. Le teint rougi par la colère, elle expédia une claque sonore à la jeune femme qui la regarda l’air indécis. Elle n'avait visiblement pas l'habitude de se faire ainsi rabattre le clapet. La jeune assistante était une esclave obéissante avec Rhonda mais elle gardait un vrai amour propre et ne laissait personne d’autre lui marcher sur les pieds.


Sentant que les choses allaient dégénérer, Rhonda quitta sa table pour aller s’interposer et percuta presque avec une femme qui avait à peu près son âge et qu’elle reconnut immédiatement puisque ce n’était ni plus ni moins que sa propre sœur.

Les deux femmes, qui n'avaient que deux ans d'écart, se firent face et Rhonda fut choquée par le regard noir que lui lançait sa cadette. Elles n’avaient jamais été vraiment proches, Karina se mariant rapidement et quittant finalement la maison familiale plus tôt qu'elle. Depuis, elle menait une vie de petite bourgeoise avec un mari banquier avec lequel elle n'avait eu qu'une fille la dénommée Victoria.

Les deux sœurs se croisaient lors des fêtes de famille et échangeaient des banalités sans jamais évoquer le moindre sujet sensible comme la sexualité particulière de l’aînée.


- Qu’est-ce qui s’est passé ? Lança Rhonda à l’intention de Paloma.

- Cette petite conne à volontairement renversé son verre sur moi, répondit sans ambages l'assistante.

- Et alors ? Répondit Victoria, insolente. Elle n’a rien à faire ici !»


Prise de court par la virulence de sa nièce, Rhonda se tourna vers sa sœur mais elle ne rencontra qu’une expression agressive. Victoria était la petite chérie de ses parents, une gamine mal éduquée qui se croyait le centre du monde. Elle venait de rater lamentablement son bac et ne semblait pas décidée à se reprendre en mains. Mais Karina avait toujours pris la défense de sa fille, quelques furent les circonstances mais ce n’était pas le pire.


Cet incident offrait aussi à cette bourgeoise coincée et pompeuse l’occasion d’épancher sa rancœur et son dégoût.


- Ma fille n’a rien fait ! Mentit éhontément la cadette. J’ai tout vu. Ta connasse l’a bousculée sans raison ! De toute manière, vous n’avez rien à faire ici ! C'est une fête pour des gens normaux, pas pour des pervers ! »


Les mots étaient durs et insultants et ils sortaient de la bouche de sa plus proche parente sous le regard des autres convives qui ne les réprouvaient aucunement. Les gens de cette petite société prenaient bien volontiers son argent mais elle n’était toujours pas acceptée. Ils ne se donnaient même pas la peine de cacher leur rejet.


Rhonda serra les poings de rage mais ne voulut par offrir à tous ces idiots un spectacle dont il se serviraient ensuite contre elle.


- Paloma ! grogna-t-elle. Nous rentrons ! »


Les deux femmes partirent alors laissant Karina et Victoria profiter de leur victoire mais la femme d’affaire leur jeta un dernier regard plein de colère qui exprimait bien les sentiments qui la tenaient en cet instant.



CHAPITRE 5


Paulo n’était donc resté à Portelo que le temps de préparer l'opération de Jana avant de repartir immédiatement en direction de l’Europe. Il regrettait de ne pas avoir été averti plus tôt afin de s’éviter tant d’aller-retour.


Enfin, désormais, il aurait beaucoup moins de difficultés pour voyager. Plus de voyage en avion entourés de touristes à moitié obèses pour lui. Il voyageait désormais en jet privé.


Il avait acheté cet avion quelques semaines auparavant et avait dû régler toutes sortes de formalités et surtout recruter un équipage.


Il lui fallait surtout un pilote chevronné mais aussi quelqu'un qui saurait garder sa langue. Pour l'instant, il avait embauché un ancien pilote de ligne proche de la retraite qui ferait l'affaire mais ensuite il comptait bien trouver une femme pilote à implanter car il ne travaillait plus désormais qu'avec des employées sous contrôle total.


La destination de leur voyage était Vienne en Autriche et deux jeunes petites chattes qui avaient passé un petit séjour d'une semaine chez lui peu de temps après les petites françaises. Denise est Franziska.


Denise était une jeune femme de vingt ans, aux cheveux châtains foncés qu'elle gardait très courts mais qui ne diminuaient aucunement sa féminité. Avec un physique un peu filiforme, elle affichait quand même des attraits très féminins qui avaient de suite excité le pervers qu'il était.

Francisca était une petite blonde au teint un peu plus foncé que son amie, âgée de vingt-et-un ans avec des formes un peu plus généreuses sans être ostentatoires.


Elles avaient suivi le classique cheminement des coachsurfeuses qui avaient le malheur de le visiter. Petite soirée, sédatif et implantation dans la foulée. Elles étaient ensuite restées une semaine au « Soleil de vos nuits » et avaient bénéficié d'un traitement de faveur.


Paulo se souvenait avec nostalgie de leur première soirée de ces deux jeunes filles en tant qu'employées de son établissement. Il fallait dire qu’elle avait été mémorable.


Il avait invité le commissaire Gustavo Paredes. C'était un client des plus assidus de son établissement. Un homme qui adorait les très jeunes femmes et Paulo savait que deux étudiantes comme ces deux autrichiennes ne pouvaient que combler sa perversité.


Paredes était un soutien essentiel dans son activité car il lui assurait non seulement la sécurité vis-à-vis d'éventuelles pressions mafieuses mais aussi l'impunité judiciaire. Aucune de ses filles n’aurait jamais témoigné contre lui ni même prononcé la moindre parole pouvant révéler la vérité de leur situation mais les activités de proxénétisme même autorisées désormais ne pouvaient qu'attirer l'attention de certains policiers un peu trop zélés qui voulaient s'assurer que les filles n'étaient pas contraintes et, à chaque fois, qu'il était sur le point de se faire contrôler, un simple coup de fil suffisait pour mettre fin à l'affaire.


Pour cela, Paredes avait droit à un traitement de faveur au « Soleil de vos nuits ». Il pouvait notamment goûter en avant-première aux petites chattes toute chaudes des dernières arrivées.


Averti de ce qu’il y avait au menu de cette soirée salace, il avait répondu avec empressement à l’invitation de Paulo. Ce dernier l'attendait en personne devant l'ascenseur du parking souterrain. Il fallait traiter un client de ce standing avec tous les égards.


- Heureux de vous revoir mon ami, fit le proxénète très aimablement.

- Le plaisir est partagé, répondit Paredes. C’est toujours une joie immense de venir dans votre établissement. Vous m’avez dit que vous aviez deux nouvelles petites qui valaient le détour.

- Tout à fait. Vous allez voir, elles sont parfaites.

- Toutes vos filles sont toujours parfaites. Vous êtes un vrai magicien. »


Le temps où Paredes faisait peser une vraie menace sur « le soleil de vos nuits » pour, soi-disant, tenter de libérer sa filleule était désormais un passé révolu. Loin de sauver la petite Stella des griffes de l'homme qu'il l’avait poussée dans la fange, il avait profité de la situation. Stella, Emilia et d'autres filles parmi les plus jeunes de l'établissement devaient subir régulièrement les assauts de cet homme qui s'étaient avérés être un authentique cochon.


L’ascenseur s’arrêta à l’avant-dernier étage, celui des appartements de Paulo et ce dernier conduisit son invité jusqu'à son salon. Le policier eut un sourire ravi quand il vit le spectacle qui s'ouvrait devant lui.


Les deux jeunes autrichiennes étaient debout au milieu du salon avec une tenue de soubrette pour seul vêtement. Sous le tissu léger de leurs costumes, leurs formes et leurs parties sensibles transparaissaient facilement. Elles s’inclinèrent humblement devant les deux hommes quand ils entrèrent.


Les yeux de Paredes s’illuminèrent en voyant ces deux jeunes femmes aux physiques si différents. Paulo n’avait aucun mal à imaginer ce que son esprit pervers pouvait déjà fantasmer.


Les deux hommes s’installèrent sur la grande terrasse du bureau. L’endroit avait été arrangé afin d’être totalement invisible à la vue tous les autres appartements qui, bientôt, ne seraient plus que des chambres du « Soleil de vos nuits ». Quelques propriétaires résistaient encore mais ce n'était qu'une question de temps.


Les deux jeunes femmes servirent les deux hommes avec déférence. En employées serviles, elles apportèrent les repas préparés par la cuisinière du bordel qui venait à peine de s’installer au rez-de-chaussée. Il s’agissait d’une cheffe étoilée dont les talents allaient permettre non seulement d’alimenter les résidentes de l’établissement avec des aliments de qualités et diététiques mais aussi les clients dans un petit restaurant gastronomique qu’il était sur le point d’ouvrir.


Durant tout le repas, les deux pervers s’amusèrent à les caresser, glissant leurs mains entre leurs cuisses ou sous le tissu de leur tablier pour jouer avec leurs jeunes poitrines. Les deux jeunes femmes serrèrent les dents sans jamais montrer le moindre signe de mécontentent. Le beettle fonctionnait toujours aussi parfaitement et conditionnait chacune de leurs actions.


Le repas était délicieux et, si Paulo en apprécia chaque bouchée. Le policier semblait se dépêcher de manger car il était pressé de passer au dessert.


- Tout cela est très bon n’est-ce pas ? Demanda le proxénète.

- Excellent, reconnut le policier sans quitter les yeux la petite Franziska qui venait de lui servir son dessert favori.

- Et si nous passions à quelque chose de plus copieux ? Relança Paulo en attrapant le poignet de Denise. »


Le visage de Paredes s’illumina et il agrippa Franziska par les hanches. Les deux jeunes femmes n’opposèrent aucune résistance alors qu’ils commençaient à les déshabiller.


Paulo allongea Denise sur le dos et lui fit qu’à bien écarter les cuisses. Elle offrait totalement son intimité à sa vue et, s'il l'avait déjà visitée, il n'était pas encore très habitué à cette jeunette.

Elle n’était nullement vierge quand il l'avait prise pour la première fois mais il savait aussi qu'elle n'avait pas eu beaucoup d'amants. Elle était encore très fraîche.


Il présenta alors son gland à l'entremise des petites lèvres de la jeune femme et s'enfonça d'un coup sec. Elle était totalement sèche et la pénétration fut très douloureuse pour elle en dépit du contrôle qui exerçait la machine sur elle. Elle poussa un cri qui indiqua la souffrance qu’elle ressentait.

Il sourit en voyant son expression décomposée puis commença à aller et venir en elle, faisant doucement bouger ses petits seins au rythme de la saillie.


Paredes n’était pas en reste, il avait plié Franziska en deux sur la table, face contre le bois et s'apprêtait à la prendre en levrette après lui avoir bien écarté les cuisses. La jeune femme n'était pas plus humide que sa compagne et la pénétration fut toute aussi douloureuse. Elle ne montra cependant aucun signe de dégoût ou de douleur. Si Paulo aimait sentir le dégoût de ses victimes, Paredes préférait vivre dans l'illusion que ces prostituées se donnaient volontairement à lui. En élève bien docile, Franziska se mit même à pousser des petits soupirs et il ne remarqua pas les petites larmes qui coulaient au coin des yeux de la jeune femme, seule chose que le beettle n’arrivait pas à contrôler.


Les deux hommes se mirent donc à besogner les deux jeunes femmes dans ses positions différentes l’un en face de l’autre.

Denise, qui n’avait pas de consigne de se retenir en face de Paulo, pleurait et suppliait alors que Franziska se montrait tonique et faisait tout pour encourager son violeur.


Le coït dura de longues minutes. Les deux hommes s’en donnèrent à cœur joie dans ces corps jeunes et encore robustes. Les cris de plaisirs et les supplications se mêlaient sans qu’on ne put plus faire la différence entre les deux.


À un moment donné, Paulo cessa ses mouvements dans le ventre de la jeune femme dont le visage était rougi et baigné de larmes.


- Tu es fatiguée, ma petite chérie? Questionna-t-il faussement compatissant. C’est trop pour toi ?

- Yes ! Répondit Denise qui avait oublié son espagnol au milieu de son cauchemar.

- Tu as envie que j’arrête ? Si tu veux que j’arrête, tu n’as qu’à le dire et j’arrête de te baiser.

- Oh yes, merci ! Répondit la jeune femme qui ne connaissait pas encore tous les jeux pervers de son tortionnaire. »


Il se retira alors de l'intimité de la jeune femme dont le visage retrouva un semblant de sérénité devant cette apparente forme de compassion mais rapidement elle déchanta. Il fit descendre son membre de quelques centimètres et commença à faire presser son gland sur son petit anus. La jeune femme se remit à pleurer et à supplier mais elle était toujours sous l'emprise de la machine et incapable de bouger ou de s'opposer d'une quelconque manière à la sodomie qui s'annonçait.


Elle était encore vierge de cet orifice et n'avait jamais imaginé dans sa vie connaître un tel outrage. Le membre de chair força la résistance de cet anneau rigide et pénétra dans cette cavité qui n’avait jamais été visitée. Les cris et les pleurs de la jeune femme s’accentuèrent encore alors qu’il l’envahissait sans pitié.


Inflexible, il continua son mouvement avec calme et force, tirant du plaisir autant de la pénétration elle-même que de l'horreur que la jeune femme exprimait de multiples façons. Il s’empara alors de ses petits seins qu’il tordit avec force pour accentuer encore le malaise de la jeune femme.


Il mit de longues minutes à totalement s’enfoncer dans ses entrailles qui n'avaient jamais connu de visiteurs. Pour le plus grand malheur de la jeune femme, il finit quand même par y arriver.


- Tu vois, commença-t-il. Il suffit d’un peu de temps et d’énergie pour faire de toi une belle enculée. »


La jeune femme se remit à pleurer de plus belle alors qu’il commençait à aller venir en elle. Elle avait l'impression qu’on lui laminait le côlon avec de la laine de verre mais était désormais incapable de crier ou de pleurer. Le beettle le lui interdisait.


Paredes était tellement concentré sur la jeune femme qu’il était en train de prendre qu'il ne se rendait pas toutes les preuves que Denise n'était aucunement consentante mais, si elle avait encore augmenté l'intensité de ses pleurs, il aurait pu le réaliser. Cette découverte aurait été peut-être réveillé en lui les vestiges de sa conscience professionnelle.


La scène dura ainsi pendant de longues minutes, Paulo qui sodomisait Denise pendant que Paredes besognait Franziska à grand coups de reins. La jeune victime de Paulo n’avait désormais plus le droit de pleurer et devait juste se contenter de grimacer en silence. Son anus était en feu et il saignait tant son violeur se montrait sans aucune attention à son bien-être. Puis il se figea d’un coup et elle crut qu'il allait jouir mais il redressa la tête en direction de son complice.


- Dites-moi, mon cher, lança le proxénète à l’intention de son meilleur client, ça vous dirait si nous échangions ? »


Le policier grogna alors avec un sourire synonyme d'acceptation. Il se retira de l'antre d'amour de Franziska alors que Paulo libérait l’anus meurtri de Denise. Ils échangèrent leurs positions.

Paredes aimait bien des choses mais il n’était pas un amateur de la sodomie et Denise accueillit son sexe dans son intimité avec un sentiment de libération mais cela voulait dire que l'enfer s'était transféré à Franziska car Paulo présenta son gland à l'entrée de ses fesses.


La jeune blonde est tout aussi vierge de l'anus que sa compagne et redressa la tête avec des yeux exorbités quand elle sentit le membre de celui qui l’avait asservie s’insinuer en elle. Paulo lui intima le silence et elle referma la bouche et se mordit les lèvres jusqu’à s’en faire saigner. Il se montra de nouveau sans pitié et envahit totalement les entrailles de la jeune autrichienne. Il se pencha en avant et glissa ses mains sous ses aisselles pour s’emparer de sa poitrine en même temps qu'il commençait à aller et venir dans ses entrailles.


Franziska adopta alors la même le même comportement que Denise, serrant les dents et refusant de pousser le moindre cri. Paulo la sodomisa pendant de longues minutes, meurtrissant son anus de la même façon que celui de son amie.


Dans le même temps, Paredes continuait à prendre Denise et cette dernière s’était un peu redressée, enroulant ses mains autour de son cou pour adopter un rythme qui satisferait le désir de cet homme. Elle tremblait à l'idée qu’il décida de faire comme Paulo et de la sodomiser. Elle tentait donc de le faire venir au plus vite mais il était un homme qui savait se contrôler et qui pouvait faire durer l'acte jusqu’à une heure. En cela il était réputé parmi les filles du « Soleil de vos nuits » comme l'un des pires clients car il faisait durer les passes aussi longtemps qu'il était possible.


Les deux porteliens possédèrent ainsi les deux jeunes autrichiennes pendant de longues minutes Puis, de nouveau, Paulo proposa un changement. Ils n'échangèrent pas leurs victimes mais se concentrèrent sur une seule. Le proxénète libéra alors l'anus de Franziska qui demeura allongée sur la table en nage.


- Reste bien sage, ma petite caille ! Ordonna-t-il à la jeune femme en lui envoyant une claque sonore sur la fesse. Reprends bien des forces car nous n’en avons pas encore fini ! »


Dans le même temps, Paredes avait basculé sur le dos, obligeant Denise à suivre le mouvement et la jeune femme s'était retrouvée à califourchon sur lui, contrainte de se plier pour aller coller son ventre contre le sien.


Paulo se glissa alors dans son dos et, de nouveau, elle sentit la pression de son sexe sur son petit anneau. Elle retint un cri strident qui cherchait à sortir de sa gorge alors que le membre de chair s'enfonçait à nouveau en elle. Elle, qui n’avait connu que quelques relations tout à fait classiques, vivait un véritable enfer de dépravation et de douleur alors qu'elle se retrouvait prise en sandwich par ces deux hommes déchaînés.


Ils la violèrent ainsi par les deux orifices pendant de longues minutes, jouant avec sa poitrine et l’obligeant à les embrasser tout en lui interdisant même le droit de hurler sa douleur et sa peine.


Quand elle n'eut plus aucune force, ils la laissèrent totalement éreintée, en sang et en larmes sur le sol en position fœtale. Ils se tournèrent alors vers Franziska qui avait retrouvé un semblant de force.


À son tour, la jeune blonde fut prise en sandwich. Paulo la sodomisa à nouveau se plaçant sous elle pendant que Paredes la prenait par-dessus. Le proxénète était désormais un habitué des sodomies et arrivait donc, même dans cette position un peu scabreuse, à aller et venir dans les entrailles de la jeune femme qui se retrouvait dans la même situation que sa pauvre amie et connut les mêmes horreurs. Ils la laissèrent tout aussi épuisée et traumatisée que sa compagne.


La soirée se termina en plein cœur de la nuit et les deux hommes, repus, s’installèrent alors dans le grand canapé à l'intérieur, laissant les deux jeunes femmes, épuisée, reprendre leur souffle sur la terrasse.


- Mon cher Esteves, commença Paredes, vous êtes un véritable génie. Vous êtes capable de dénicher des petites princesses toutes aussi exceptionnelles les unes que les autres. Je ne sais vraiment pas comment vous faites.

- Vous savez, toutes les femmes sont des salopes en puissance. Il suffit juste de leur montrer comment faire. Je suis heureux que vous soyez satisfait.

- Ces deux jeunes femmes vont rester longtemps ? À demeure peut-être ?

- Pas pour l’instant. Elles vont faire un petit tour d’une semaine puis rentreront chez elles et nous verrons ensuite quand elles reviendront.

- Alors, elle va avoir bien du travail durant cette semaine car, avec de telles qualités, elles vont attirer nombre de personnes. »


Paulo ne pouvait le nier car il avait déjà quasiment rempli le planning des deux jeunes femmes. Dix passes par jour pendant sept jours pour chacune. Les clients du « Soleil de vos nuits » se massaient toujours quand on leur proposait des jeunes femmes sur une durée limitée et il devait rapidement refuser du monde.


- Allez, petites feignasses ! Lança le proxénète en claquant fortement dans les mains. Vous n'êtes pas là pour vous reposer ! Vous devez encore tout nettoyer et on vous baisera une dernière fois avant que vous alliez vous coucher ! Au boulot ! »


En dépit de leur épuisement et telles des automates, les deux jeunes femmes se redressèrent et commencèrent à ramasser les plats que le coït brutal qu'elles avaient subi avait disséminés partout sur la terrasse.



CHAPITRE 6


Paulo se tassa tranquillement dans le fauteuil de son jet. Les souvenirs de cette soirée mémorables avec les deux petites autrichiennes lui avaient donné une érection qui lui faisait presque mal.


Il tapa alors dans les mains et Stella apparut. La jeune femme portait une tenue d’hôtesse de l’air bleu clair clairement trop petite pour elle. Ainsi vêtue, son opulente poitrine lui donnait un décolleté des plus obscènes.


L’avantage de voyager dans son propre avion était qu’on pouvait emmener des petits « encas » pour le voyage et les consommer quand on en avait envie. Il indiqua à la jeune fille son entrejambe et cette dernière ne dis pas un mot, se mit à quatre pattes et entama de libérer le sexe déjà bien tendu pour le prendre en bouche.


Cela faisait plus d'un an que la jeune fille de dix-neuf ans travaillait au « Soleil de vos nuits » et elle était devenue experte en fellation ce qui ravissait celui qui avait fait d’elle l’esclave qu’elle était.



 

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