CHAPITRE 1
Les cinq jeunes femmes présentes dans la chambre écoutaient en silence les explications de celui qui avait fait d'elles des esclaves. Paulo prenait bien son temps afin de profiter pleinement de leurs mines catastrophées.
Deux d’entre elles allaient repartir à Portelo. Ces deux-là allaient revivre cet enfer qu’il leur avait imposé durant ces deux semaines qui auraient dû être des vacances. Prostitution, soumission et autres d'humiliations étaient au programme quotidiennement. La différence était, que cette fois-ci, il n’y aurait pas de fin et qu'elles y resteraient à demeure.
Certaines d’entre elles avaient brièvement échangé avec les « résidentes » permanentes de cet établissement de luxure et savaient donc comment leur vie était réglée dans tous ses détails par la volonté de cet homme qui les exploitait et les humiliait sans vergogne.
Ce destin était tout sauf enviable mais elles savaient aussi qu’il lui suffirait d’énoncer deux noms pour voir les deux filles en question le suivre sans un mot. Elles n’avaient aucune idée de ce qui lui donnait un tel pouvoir sur elles. Il n'avait pas jugé utile de leur expliquer le beettle et son fonctionnement.
- Alors, commença-t-il en balayant son regard sur les cinq visages défaits, qui va partir ? Toi ! Ajouta-t-il en indiquant Ilhem. Toi, tu viens ! »
La jeune femme éclata en sanglots. Il l’avait autorisée à exprimer ses sentiments. Certainement parce qu'il espérait ce genre de réaction. Il était clair qu'il adorait ça.
- J’ai besoin de variétés, expliqua-t-il comme s’il voulait se justifier. J’ai déjà pas mal d’européennes, des filles de type eurasiennes et quelques petites hispaniques mais des maghrébines, je n’en ai pas encore. Pas que ça manque sur place. Il y a des réseaux qui font venir des putes marocaines par cargos entiers mais elles sont souvent très fatiguées et n’ont pas les qualités d'une jeune étudiante de vingt ans. Tu vas avoir énormément de succès mais ça je ne te l’apprends pas. »
Non, il ne lui apprenait rien. Elle était restée trois semaines au « Soleil de vos nuits » et avait travaillé douze heures par jour durant ces vingt-et-un jours. Elle était jeune, belle et très instruite. Autant de qualités irrésistibles pour les clients de ce bordel pour milliardaires. Paulo avait poussé la perversité jusqu’à lui confectionner tout un personnage une danseuse du ventre exotique qui tenait aussi de la strip-teaseuse, une sorte de Salomé islamique.
Il la laissa pleurer encore presque une minute puis l’attrapa par le cou pour la balancer sur le lit. Elle portait toujours sa tenue de lapin et savait qu’il ne comptait pas en rester là avec elle. Mais en dépit de toutes les horreurs qu’elle ressentait, elle se contenta de s'asseoir sur le lit en pleurant en attendant son bon vouloir.
- Reste à choisir celle qui l’accompagnera, reprit-il en posant la main sur son menton comme s’il hésitait. C'est plus compliqué alors j’ai décidé d'un petit jeu qui choisira la seconde élue. Vous allez vous battre tout simplement. Enlevez vos queues ! »
Chaque fille avait, enfoncé dans son fondement, une fausse queue d'animal et toute la retirèrent comme une seule femme. Pour certaines, ce fut une authentique délivrance. Elles avaient été sodomisées un très grand nombre de fois lors de leur séjour au « Soleil de vos nuits » mais elles gardaient des anus relativement élastiques qui avaient eu presque un an pour se remettre et l'intromission de cet objet avait été une horreur.
Paulo récupéra les quatre queues et les posa sur le lit.
- La règle est simple, reprit-il. Une contre une. Chacune prendra la queue de l’autre. La gagnante est celle qui réussit à remettre la queue dans le cul de son adversaire. Les deux gagnantes seront sauvées et les deux perdantes s'affronteront dans un combat identique pour choisir celle qui partira. »
Il sortit alors de sa poche quatre petits bâtons. Deux avaient une extrémité bleue et deux autres une noire. Il les posa dans sa main de façon à ce qu'on ne vit que l'extrémité non colorée qu’il tendit en direction de Laura. La jeune fille comprit très bien ce qu’il voulait faire et tira l’un des bâtons. Il était noir. Camille tira elle aussi un bâton. Un autre noir.
- Très bien, décréta-t-il. Ce sera donc Laura contre Camille et Lisa contre Amanda. »
Il posa les queues de Laura et Camille sur le sol. Les deux filles étaient disposées de chaque côté à deux mètres des queues. Il fit reculer les deux autres avant de s’asseoir sur le lit à côté d’Ilhem.
- C’est parti ! Que la meilleure gagne ! »
Même si elles n’avaient pas voulu se battre, les deux jeunes femmes étaient obligées de se plier aux règles et aux ordres du beettle. De toute manière, dans leur esprit, il n'y avait qu'une seule idée : échapper au calvaire du « Soleil de vos nuits » et retrouver l'apparente innocence qu’elles avaient connu durant l’année précédente. Si cela devait se faire au détriment de l’une de leurs amies, cela leur parut bien accessoire. C'était une question de survie.
Chacune bondit et s’empara de la queue de l’autre et puis elles se firent face, cherchant la meilleure tactique pour désarçonner l’adversaire. Laura prit l’initiative. Elle chercha à plonger dans les jambes de Camille pour tenter de la faire tomber mais cette dernière tomba sur les fesses privant ainsi l'accès à son anus.
Le temps de se remettre, elle expédia un coup de pied à Laura qui le reçut en plein ventre et recula de plusieurs mètres. Elle se redressa rapidement et rebondit sur son amie.
Paulo observait la scène avec délectation. Un combat de catcheuses était toujours plaisant surtout quand les deux jeunes femmes en question étaient aussi mignonnes et qu’elles étaient des amies. Il saisit Ilhem par le col. La jeune fille se plia en deux et n’hésita pas une seconde pour sortir le sexe de l'homme et le prendre en bouche. Elle était une fellatrice des plus douées qu’il n'hésitait pas à utiliser jusqu'à épuisement.
Pendant ce temps, le combat continuait. Laura avait retrouvé son souffle et attrapé Camille par la queue de cheval, la repoussant brutalement. La jeune métisse poussa un cri de douleur mais ne se laissa pas prendre au dépourvu. Elle fit demi-tour pour éviter à nouveau d’offrir l’accès à ses fesses. L’opération était complexe. Il ne fallait pas seulement retourner son adversaire. Il fallait la maîtriser et la bloquer suffisamment longtemps pour pouvoir enfoncer dans son anus un objet qui, s’il était fait pour cela, gardait un diamètre assez conséquent.
Laura était athlétique mais moins que Camille qui pratiquait différents sports. L’endurance allait jouer un rôle important. Aucune des deux ne savait réellement se battre et cela ressemblait plus un crêpage de chignon qu’à un véritable duel. Elles attrapaient l’autre par les cheveux, lui sautaient dans les jambes et, de temps en temps, s’envoyaient des coups de poing mais qui avaient finalement très peu de portée.
Camille eut soudain un réflexe salvateur en envoyant une sorte de balayette à son adversaire. Le coup porta bien plus que si elle s’était seulement jetée entre ses jambes et Laura perdit totalement l'équilibre et s'effondra sur le ventre.
Camille ne rata pas l’occasion et bondit sur la jeune femme, pesant de tout son poids sur elle pour l'empêcher de se relever. Elle avait réussi à se placer à califourchon à l'opposé de sa tête presque par hasard.
Laura était piégée. Les fesses offertes et son adversaire en position totalement dominante. Elle continuait cependant à se débattre, cherchant à se libérer en tapant contre le sol mais il était trop tard. La queue de cochon tire-bouchonnée s'enfonça brutalement entre ses fesses et brisa en une seconde la résistance de son anus. La jeune asiatique poussa un hurlement de rage et de douleur mais il était trop tard. Elle avait perdu.
Camille se détacha alors de son amie et partit se coller contre un mur, les genoux collés à la poitrine. Elle pleurait autant de peine pour son amie que de soulagement de savoir qu'elle avait échappé au pire.
Pleinement satisfait par le spectacle offert par de jeunes femmes, Paulo écarta rapidement Ilhem et applaudit à grand bruit.
- C’est un spectacle magnifique que vous nous avez offert les filles, ricana-t-il. »
Il se leva alors du lit et s'approcha de Camille qui était toujours recroquevillée contre le mur à pleurer. Il attrapa la jeune fille par la queue de cheval et la fit se relever.
- C'est bien dommage, regretta-t-il. Avec ton physique et ton métissage, tu aurais travaillé bien plus que toutes autres filles réunies. Enfin, ce n’est que partie remise. On en reparlera l’année prochaine. »
Les yeux de Camille devinrent des soucoupes en réalisant qu'elle n'avait peut-être gagné qu'une année de répit et, surtout, que son départ définitif pour Portelo n’était qu’une simple question de temps.
Paulo la traîna alors jusqu'à l'autre bout de la chambre et ce fut là qu'elle vit ce qui avait été collé sur l'un des murs.
Il y avait trois espèces d’excroissances noires et arrondies qui rappelaient clairement la forme d’un pénis. Il s’agissait tout simplement de godes aux dimensions assez impressionnantes. Ils avaient été littéralement fixés au mur avec des vis très solides. Paulo conduisit Camille et la plaça à la verticale de l’un de ces godes puis il appuya doucement sur ses épaules.
Camille se mit à pleurer en comprenant qu’il comptait l’empaler avec cet objet mais elle ne s’opposa aucunement au mouvement et, doucement mais sûrement, le gode s'enfonça dans ses entrailles.
Elle pleura et hurla jusqu'à ce que l'objet fut totalement entré en elle. À ce moment-là, elle abandonna et resta immobile, les yeux baignés de larmes.
Paulo n’en avait pas fini avec elle car il sortit une petite télécommande et appuya dessus. Le gode se mit alors à vibrer et la jeune fille se mit à se secouer et à pleurer de plus belle.
Il passa de longues minutes à profiter du spectacle de la souffrance de la jeune femme qui tendait de s’adapter à l’objet qui la laminait. Il fixait avec gourmandise sa fière poitrine qui secouait dans tous les sens alors que les vibrations du gode s’accentuaient. Puis il se tourna vers les trois autres.
Laura était restée allongée sur le ventre, sa queue de cochon enfoncée dans l'anus. On entendait clairement ses pleurs.
- Laura, tu as perdu ! Lança-t-il. Sors de là pour l'instant. Lisa et Amanda. A vous ! »
CHAPITRE 2
Castel considéra cette femme avec méfiance. Il continuait à affirmer qu’il ne la connaissait pas mais il n’était pas né de la dernière pluie. Compte tenu de l'opération qu’il était en train de mener, il avait pris tous les renseignements nécessaires.
- Je sais que vous cherchez à prendre le contrôle des laboratoires Santos, relança Felicia. Vous n’y arriverez pas car, sans moi, vous ne pouvez rien faire.
- Écoutez bien Mademoiselle Santos, répondit-il, reconnaissant ainsi qu’il savait qui elle était. Je ne sais pas ce que vous pensez savoir mais vous avez totalement tort.
- S’il vous plaît, n’insultez pas mon intelligence ! Vous pouvez penser ce que vous voulez des femmes y compris des héritières dans mon genre mais vous avez tort. Je n’ai aucunement envie de vous bloquer dans vos projets, au contraire. Je suis prête à vous aider moyennant certaines conditions.
- Certaines conditions ?
- Je veux ce qui me revient de droit et ce pourquoi j'ai longuement travaillé. Ce n’est pas l’endroit et pour mener ce genre de discussion. Il y a certaines oreilles qui ne doivent pas entendre certaines choses. »
Elle tourna le regard en direction de Kate et de deux autres jeunes femmes présentes dans la salle. Elle aimait bien baiser les putes mais savait qu’on ne pouvait rien leur confier.
- Très bien, accorda Castel. Je présume que vous savez où je réside.
- Hôtel Alcatraz, chambre 345. La suite nuptiale. »
L’américain afficha un rictus indéchiffrable puis il hocha la tête en signe d’acceptation.
- Demain soir à dix-sept heures, précisa-t-il. Ne soyez pas en retard !
- Je ne suis jamais en retard. »
Une jeune femme qui ne devait pas avoir plus de vingt ans arriva et Felicia ne la reconnut pas, bien qu'elle fut la fille d’un de ses anciens employés. Castel se leva pour la rejoindre. Il l’attrapa par la hanche et l'embrassa goulument. La jeune femme lui rendit ce baiser en se serrant bien contre lui. Tous deux disparurent dans les couloirs du « Soleil de vos nuits ».
Felicia eut un sourire satisfait. Elle savait qu’elle avait marqué beaucoup de points et qu'elle avait enfin les moyens de contrer Pablo. Cela passait par un arrangement bien malaisant avec un étranger mais la fin justifiait les moyens.
Elle quitta sa chaise à son tour et fit un signe rapide à Kate qui n’attendit pas une seconde pour la rejoindre. Elle caressa la jeune poitrine, petite mais ferme de l’anglaise en se passant la langue sur les lèvres inférieures. Quand elle avait des succès en affaires, cela l'excitait énormément et elle adorait cette sensation.
CHAPITRE 3
Le second affrontement fut finalement beaucoup moins compliqué et moins disputé que le premier. Lisa était la plus jeune et la plus frêle de la bande. C'était une artiste qui avait un talent réel pour les dessins. Durant cette quinzaine passée au « Soleil de vos nuits », il lui était arrivé à plusieurs reprises de croquer certains de ses clients en pleine action.
En face, Amanda était une sportive et surtout avait pratiqué pendant des années le judo, ce qui voilait dire que le combat allait être déséquilibré.
Cependant, Lisa fit preuve de beaucoup de volonté et d'une énergie que son frêle physique n'indiquait pas. Amanda aussi fut gênée car, au judo, on prenait ses prises sur le vêtement de l’adversaire et, compte tenu de la faible superficie de tissu dont elles étaient vêtues, elle n’arrivait pas à empoigner son amie.
Elle était cependant adaptative et finit par trouver la solution. Elle appliqua une prise simple de judo et fit tomber Lisa sur le ventre. Elle se posa ensuite dans une position d'immobilisation saisit la queue avec force et la planta brutalement entre les fesses de la jeune blonde qui, comme Laura avant elle, poussa un cri strident.
Amanda se relâcha à peine eût-elle planté l’objet dans l’anus de Lisa. Elle se releva, le regard angoissé en regardant Camille qui se tortillait dans tous les sens sur l’effet du gode qu'elle avait enfoncé dans ses entrailles.
Le sourire toujours aussi sadique, Paulo la conduisit rapidement à côté de son amie et la sodomisa de la même façon. Ses cris reprirent alors ceux de Camille en écho.
Il ne restait donc plus que Laura et Lisa. Elles avaient toutes deux épuisé leur joker et le combat s’annonçait décisif. Celle qui perdrait se retrouverait condamnée à subir tous les outrages au « Soleil de vos nuits ».
Les mines totalement angoissées des deux jeunes femmes comblaient Paulo qui sentait monter en lui, une excitation comme il en avait très peu. Il posa à nouveau les deux queues perverses entre les deux filles puis retourna s’asseoir.
Il agrippa Ilhem par le cou mais, cette fois-ci, la conduisit à se mettre à califourchon sur lui. La jeune femme lui faisait face de façon à ce qu’il put jouer avec sa poitrine et l’embrasser tout en pouvant continuer à profiter du spectacle du combat des deux jeunes étudiantes.
Sur le papier, Laura avait largement l’avantage. Elle était beaucoup plus sportive et physique que Lisa mais cette dernière eut un réflexe improbable. Quand elle bondit au début du duel, elle s'empara non seulement de la queue de Laura mais aussi de la sienne, faisant en sorte que Laura se retrouvait comme désarmée.
La jeune asiatique se retrouva prise au dépourvu devant cette réaction. Elle connaissait Lisa depuis bien plus longtemps que les trois autres. Elles étaient amies d’enfance et pensait bien connaître la jeune rouquine. Elle ne s'était pas attendue à un tel réflexe de sa part.
L’expression affichée dans la jeune rouquine était elle aussi des plus étonnantes. Elle ne voulait pas sombrer dans la perversité totale et comptait bien tout faire pour y échapper. Même sans le beettle pour la motiver, elle était prête à sacrifier Laura sans aucune hésitation si cela lui permettait de s’en sortir. La détermination et ce petit plus d’énergie faisaient toute la différence entre les deux.
Alors qu’il faisait monter descendre Ilhem sur son sexe tendu, Paulo dévisagea les deux jeunes femmes et surtout une Lisa qui l’étonnait pour son plus grand plaisir.
Il aimait pousser ses victimes dans leurs derniers retranchements et les contraindre à faire les choses qui les rebutaient le plus et créer des traumatismes toujours plus profonds. Il pouvait parfois les effacer grâce au beettle afin de recommencer sans leur donner l’occasion de s’endurcir. Son excitation n’avait aucune limite et le plaisir qu'il en tirait aucun sommet.
Laura tenta de se dépatouiller de cette situation. Elle attrapa le poignet de Lisa et voulut lui faire une sorte de clé de bras mais ce geste demandait une technique qu'elle n'avait pas et elle s'épuisa à juste essayer de récupérer son arme.
Lisa était toujours aussi déterminée et incroyablement calme. Si elle avait des remords, elle n’en montrait aucune trace. Paulo se dit qu’elle était de la race des survivants, de celles qui étaient prêtes à tous les sacrifices pour assurer leur propre survie et cela était une surprise des plus agréables.
En tentant de récupérer son objet, Laura se mit involontairement en déséquilibre. Implacable, Lisa en profita. Un simple croche-pied suffit à faire basculer la jeune asiatique en avant et elle s’effondra sur le ventre piteusement.
Lisa ne pesait pas bien lourd mais elle bondit littéralement sur le dos de son adversaire lui coupant le souffle et l'assommant presque. Laura cessa de bouger et Paulo prit peur qu’elle eut des séquelles irréparables. Le beetle pouvait combler certains problèmes mais il l’avait tellement détourné de sa fonction d’origine qu’il n’était même pas sûr qu’il put aider à rétablir des lésions nerveuses brisées dans la colonne vertébrale alors que c'était sa fonction d'origine.
Lisa ne s'occupait pas de ça. Elle profita simplement de l'inertie de son amie et leva sa queue de guenon. Elle frappa et enfonça un objet avec une telle force une telle violence que Laura se redressa brutalement, rassurant du coup Paulo sur son état physique.
Lisa partit sur le côté, à moitié assommée, mais il était déjà trop tard. Laura avait l’anus totalement ouvert et elle avait perdu, définitivement.
Ce dénouement improbable acheva l’extase de Paulo. Il poussa un cri rauque et fit basculer Ilhem en arrière. Il éjacula dans le ventre de la jeune femme.
Il se retira ensuite de la jeune femme qui était en nage et attrapa Lisa par les cheveux pour la traîner jusqu'au troisième gode qui n’attendait qu’elle et la plaça brutalement dessus, lui arrachant un nouvel hurlement. Elle commença, elle aussi, à se dandiner au rythme des mouvements de l’objet qui était enfoncé dans son fondement.
Il se retourna alors vers Laura qui restait droite au milieu de la pièce, ne semblant pas comprendre ce qui lui arrivait.
- A quatre pattes ! Ordonna-t-il. »
Laura s’exécuta immédiatement et se plia sur le sol.
- Lève les fesses, salope ! Montre-moi ton cul ! »
Laura s’exécuta encore et fit monter son bassin, présentant ainsi l'obscène objet qui était enfoncé en elle. Sans pitié, Paulo posa le pied de l’extrémité de la queue et appuya fort. L’objet s’enfonça encore un peu entre les fesses de la jeune femme qui poussa un nouvel hurlement.
- Nous avons donc nos gagnantes, déclara-t-il pleinement satisfait. Ilhem et Laura vont pouvoir maintenant nous rejoindre dans notre endroit de plaisir à se faire baiser dix heures par jour ! »
Les larmes de Laura redoublèrent en entendant cette déclaration.
CHAPITRE 4
Paulo était absent depuis quatre jours mais cela ne dérangeait aucunement le fonctionnement du « Soleil de vos nuits ». Toutes les résidentes forcées de ce lieu étaient totalement soumises au fonctionnement du beettle. Il s'était tellement implanté profondément en elles qu'il en était devenu une partie d'elles-mêmes.
Elles vaquaient donc à leurs activités, respectant scrupuleusement leurs plannings et les consignes comme de bonnes petites esclaves qu’elles étaient devenues.
Le quotidien était assuré par Avrora. La jeune russe qui était aussi la plus âgée des résidentes des lieux se voyait confier la gestion de l'établissement en l'absence du maître des lieux. Cela ne voulait, bien entendu, pas dire qu'elle arrêtait de travailler. Avec son physique exceptionnel, sa beauté slave et ses références bien au-dessus de toute autre fille de l’établissement, elle ne manquait pas de rendez-vous et devait mener de front les deux activités.
Elle avait cependant un planning allégé car, comme les autres, Paulo la considérait comme une marchandise de valeur dont il fallait préserver la jeunesse et la fraîcheur. Il aimait les faire souffrir mais s’il les brisait trop, elles lui deviendraient totalement inutiles et, surtout, il perdrait des fortunes.
Avrora avait l’habitude de se soumettre aux hommes pour assurer sa survie. Elle avait été la maîtresse de nombreux mafieux qui avaient su profiter d’elle selon leurs désirs mais cette nouvelle situation était totalement différente.
La vie au « Soleil de vos nuits » était stable, plutôt rassurante même pour une fille comme elle qui avait connu les meetings étranges dans des chambres d'hôtel glauques avec des clients qui, pour certains, ressemblaient plus à des pervers à la recherche de filles à massacrer. Mais d’un autre côté, il y avait cette petite machine dans son cou qui lui interdisait tout self-control, qui lui avait arraché les derniers reliquats de sa liberté et qui ne lui donnait comme perspective d’avenir que de continuer à se soumettre à Paulo.
Elle examina les rendez-vous et se rendit compte d’un certain problème. L’une des résidentes avez beaucoup de trous dans son planning, ce qui n’était pas habituel pour des filles aux profils complètement différents des prostituées classiques. Elle appuya sur un bouton et convoqua Jana.
La jeune tchèque était dans son jour de repos mais elle accourut dès qu’elle reçut la convocation. Au « Soleil de vos nuits », on ne badinait pas avec les ordres.
- J’ai un problème avec toi, fit-elle dans sa langue natale car elle savait que la jeune femme comprenait le russe. Les clients semblent se détourner de toi et ce n'est pas bon. Tu perds de la valeur et si le maître estime que tu ne vaux plus rien, il pourrait bien se débarrasser de toi. »
Jana se crispa. Il y avait pire que d'être esclave de Paulo. Il y avait le fait de devenir non rentable pour lui. Pour l’instant, il n’avait jamais eu ce genre problème avec une de ses filles qui rapportaient toutes plus qu’assez mais il y a eu il y avait eu certaines visiteuses au physique beaucoup plus ingrat que celui des résidentes permanentes ou de celles qui étaient passés le temps de « tours » comme les jeunes françaises que Paulo était allé chercher. Le maître avait renvoyé la plupart d’entre elles chez elles, parfois sans même les implanter mais il y avait eu celles qui avaient eu encore moins de chance.
Paulo les avait revendues parfois à des particuliers et les journaux avaient notamment fait les choux gras d’un corps retrouvé totalement mutilé d'une touriste allemande qui, après un séjour censé ne durer qu’une semaine, s'était installée avec un local qui avait le triple de son âge et qui l’avait torturée pendant des mois. Le nom de Paulo n’avait jamais été cité et aucune des résidentes n’avait jamais croisé la victime mais toutes étaient persuadées que c’était lui qui avait vendu cette pauvre fille à ce psychopathe.
Jana ne voulait pas connaître le même triste sort. Le beettle la privait de toute liberté mais il y avait toujours une partie d’elle qui rêvait d’une issue au cauchemar qu’elle vivait.
- Ce n'est pas ma faute, répondit la jeune praguoise. C'est que… Mon cul n'est plus… »
Avrora soupira devant la naïveté de cette fille qui vendait son corps pourtant depuis deux ans mais elle comprit cependant d’où venait le problème.
- Enlève ta robe ! Ordonna-t-elle. Tourne-toi et lève le cul ! »
Jana s’exécuta sans un mot. Les consignes de Paulo étaient claires. En son absence, Avrora avait toute autorité.
La jeune russe se leva et s’approcha de la croupe que la jeune femme lui offrait. Elle écarta ses fesses et glissa un doigt dans son anus. L’appendice s’enfonça sans problème, pire elle put en glisser trois sans difficulté.
Jana avait pour spécialité les sodomies et elle se prenait ainsi des sexes dans le fondement au moins cinq fois par jour. À force, ce traitement avait totalement évasé son petit anneau et les clients ne devaient plus ressentir grand-chose en la sodomisant. Une fille qui perdait sa spécialité devenait un poids mort même si elle restait très désirable.
Avrora se pencha et souleva la robe de la jeune femme jusqu’à dévoiler ses petits seins. Ils étaient toujours aussi fermes et la jeune femme, qui respectait bien entendu son régime à la lettre, ne présentait aucun autre défaut. Elle avait vingt-cinq ans seulement et un physique qui devait se maintenir tel qu’il était au moins encore dix ans.
- Habille-toi ! Reprit la prostituée russe en retournant derrière son bureau. Retourne dans ta chambre !
- Tu vas lui dire ? S’inquiéta la jeune tchèque.
- Parce que tu crois peut-être que j’ai le choix ? Il décidera si tu as encore ta place ici ou non. Allez sort ! »
Jana blêmit devant la froideur de celle qui était pourtant une compagne de calvaire mais elle sortit sans rien rajouter.
Avora, quant à elle, n’avait aucun sentiment sur le destin de Jana. Une prostituée avec son bagage savait pertinemment que, dans ce métier, on ne pouvait créer d’amitié avec aucune de ses congénères et qu'il fallait surtout assurer son propre avenir. Mais elle savait aussi une réalité. Elle était la plus vieille de la bande et donc celle dont le corps se fatiguerait plus le plus tôt. Si Paulo se montrait intransigeant avec le problème de Jana, que lui arriverait-elle quand son corps commencerait à perdre de sa superbe ?
CHAPITRE 5
Paulo avait adoré le spectacle offert par ces jeunes femmes, amies depuis des années qui s’étaient écharpés pour obtenir un nouveau répit dans l’enfer qu’il leur faisait vivre. Leur amitié n'était plus qu'un souvenir désormais et, même si les trois survivantes retrouveraient bientôt l’illusion de celle-ci, cela ne durerait pas car il y aurait d'autres visites de sa part.
Il avait laissé les trois gagnantes empalées sur leur gode pendant plus d'une heure. Le temps de bien profiter du corps de la pauvre Laura et de se refaire des forces afin de continuer cette soirée qu’il voulait mémorable.
Quand enfin elles avaient été libérées, les cinq filles avaient été obligées à former un cercle lesbien des plus savoureux. Ainsi organisées, chacune avait la tête plongée entre les cuisses ouverte d’une autre et elles pouvaient ainsi mettre en pratique la formation express qu’elles avaient reçu durant leurs quinze jours de « vacances » autant par Avrora que par les deux jeunes canadiennes.
A cette occasion, Paulo inventa un nouveau jeu dont il avait le secret. C’était à celle qui jouirait en dernier. À chaque fois que l’une d’entre elles se laissait envahir par cette chaleur que la langue d’une de ses amies faisait monter dans son ventre, elle se retrouvait pliée sur le lit, gratifiée d’une dizaine de coups de bâton avant de retourner avec les autres pour continuer ce show obscène.
Lisa a eu droit à trois séances qui lui laissèrent les fesses presque en sang et seule Amanda n’en eut qu’une. Quoi qu'il en fût, à la fin de ce jeu pervers, toutes avaient les fesses rougies et des larmes plein les yeux.
Elles étaient épuisées alors que Paulo se sentait une forme olympique. Il avait adoré le comportement de Lisa et jeta son dévolu sur elle. Il la prit par tous ses orifices sous le regard dévasté des autres. La jeune femme pleurait et le suppliait d'arrêter mais, bien sûr, cela eut l’exact effet contraire, renforçant encore l’excitation de celui qui la violait.
La nuit sembla durer des jours. Paulo était comme une machine, capable de toutes les posséder au moins une fois durant ces quelques heures d’enfer.
Quand arrivèrent enfin les rayons du soleil, il était repu et ses victimes totalement éreintées. Il leur accorda enfin un moment de répit.
Elles purent dormir jusqu’à midi, toutes collées les unes contre les autres dans le grand lit de la chambre. Paulo prit de nombreuses photos de leurs jeunes corps nus imbriqués les uns dans les autres. Il les gardait autant pour sa collection personnelle que pour d’éventuelles publicités des jeunes femmes quand elles seraient toutes revenu au « Soleil de vos nuits ».
Aux alentours de midi, il les autorisa à prendre une douche pour enfin retirer les traces de sueur, de sang et de sperme qui recouvraient leurs corps. L’eau chaude de la douche ne fut un réconfort pour aucune d’entre elles et surtout pas pour les deux pauvres filles qui se savaient condamnées.
Quand elles furent toutes propres, Paulo les réunit au centre de la chambre. Lui-même s'était assis sur le lit et les observaient avec cet air ravi qui leur donnait des nausées. Il les avait séparées en deux groupes. D'un côté, celles qui devaient partir avec lui et, de l'autre, celles qui allaient rester.
- Vous allez rentrer chez vous, dit-il à Ilhem et Laura. Vous prenez quelques affaires. Vous avez le droit uniquement de remplir une valise alors choisissez bien ce que vous voulez emporter ! N’oubliez pas vos passeports, notre avion est ce soir à dix-neuf heures ! »
En réalisant qu’elles allaient tout simplement disparaître de la surface de la terre, les deux jeunes femmes comprirent alors nettement certaines choses. Depuis des mois, elles avaient eu des comportements étranges qui avaient conduit à faire le vide autour d'elles et ne gardant pour seuls amis que les quatre autres pauvres filles avec lesquelles elles avaient fait ce voyage maudit.
C’était la méthode habituelle du proxénète. Ainsi, quand il venait chercher ses filles, plus personne ne s’inquiétait d’elles et de les voir ainsi partir à l’autre bout du monde pour se livrer au plus vieux métier du monde
- Quant à vous trois, reprit-il en s'adressant à l'autre groupe, vous allez reprendre votre vie comme avant. Les ordres sont les mêmes. Continuez à vous rendre insupportables à toute personne qui aurait envie de s'intéresser à vous ! Pas de petit ami bien entendu ! Votre famille doit vous détester et vous renier ! Dans un an, je reviendrai faire le point et, si vous avez bien rempli votre mission, je vous emmènerai toutes les trois. »
Ce fut à leur tour de frissonner. Elles avaient fait tout cela, martyrisé des amies qu’elles avaient depuis de longues années, juste pour gagner une année avant elles-mêmes de plonger dans le stupre et la honte.
Paulo regarda les cinq visages décomposés et puis tapa fortement dans les mains.
- Vous trois, relança-t-il à l’attention des trois « gagnantes ». Habillez-vous et partez tout de suite ! Dès que vous aurez passé cette porte, vos souvenirs s'effaceront et vous recommencerez vos vies suivant les consignes. A dans un an mes petites chéries ! »
Amanda, Camille et Lisa ne se firent pas prier. Elles bondirent littéralement et pour récupérer leurs vêtements. Ils avaient tous été entassés dans un coin de la chambre et il leur fallut quelques minutes pour trier ce qui leur appartenait de ce qui était aux autres. Elles ne prirent même pas le temps d’enfiler leurs sous-vêtements les laissant derrière elles comme une preuve de leur déchéance.
Paulo les regarda déguerpir comme des lapins chassés par un loup puis, quand la porte se referma derrière la dernière, il revint vers les deux « perdantes ».
- Ce soir, dix-neuf heures ! Insista-t-il. Ne soyez pas en retard ou vous le regretterez ! Allez ! Dépêchez-vous d’aller vous préparer ! »
Les deux jeunes femmes imitèrent leurs amies pour se jeter sur leurs vêtements. Comme elles, elles ne s'embarrassèrent pas de leurs sous-vêtements et enfilèrent rapidement leurs pantalons avant de quitter la chambre comme si elles avaient le diable aux trousses.
Paulo resta ainsi quelques instants, se remémorant les plus grands souvenirs de la nuit passée puis il se redressa, ramassa culottes et soutien-gorge qui traînaient un peu partout dans la chambre pour les entasser dans un petit sac. Ils constitueraient autant de nouveaux souvenirs qui s’ajouteraient à sa collection de plus en plus impressionnante.
CHAPITRE 6
Vienne, Autriche. Deux heures du matin. Dans une des boîtes à la mode de la capitale autrichienne, Denise dansait au milieu de la piste.
Jeune étudiante de vingt ans, elle était devenue une habituée de ces lieux depuis quelques mois et commençait à être connue. Il fallait dire elle était drôlement mignonne. En dépit d'une silhouette plutôt filiforme, elle avait un visage magnifique et surtout un sex-appeal qui transpirait de partout. Elle portait une tenue noire seyante qui mettait parfaitement en valeur ses fesses bien fines et sa poitrine menue.
Comme elle s’était accaparée le centre de la piste, elle avait attiré bien des regards masculins et avait déjà repoussé les avances de nombreux hommes.
La nuit avançait et elle donnait l’impression de vouloir la terminer seule. L’homme qui s’approcha d’elle alors lui apparut bien pathétique. Il devait avoir plus de cinquante ans soit plus du double de l'âge de la jeune étudiante. Sa chevelure était déjà bien blanche et bien clairsemée et son visage bien ridé.
Il vint quasiment se coller à elle, se plaquant dans son dos dans une manœuvre des plus désobligeantes. La jeune femme tourna légèrement la tête et sentit une haleine chargée d'alcool. Elle réprima une petite grimace mais bizarrement ne fit rien pour s’écarter. L’homme ne dit rien non plus mais s’enhardit encore devant l'absence de rejet de sa part. Il posa alors ses mains sur ses hanches et commença à accompagner ses mouvements du bassin.
Denise, de nouveau, le laissa faire. Mieux elle vint elle-même se coller un peu plus sur ce corps ventripotent. Ses fesses fines cognèrent sur la bedaine plus que naissante de cet homme qui décidément n’avait pas grand-chose de séduisant.
Pour plusieurs hommes jeunes hommes qui se trouvaient autour d’eux le comportement de la jeune femme suscita étonnement et presque dégoût tant l’homme qui la collait semblait vulgaire et physiquement fatigué.
Denise avait fermé les yeux et continuait à danser en calant son rythme sur celui de l'homme dans son dos. Ce dernier ne s’en laissait pas conter. Il se pencha un peu et pour glisser son visage par contre le cou de la jeune femme pour commencer à l'embrasser. Elle tourna un peu la tête sur le côté pour s’offrir encore plus à la bouche aventureuse. Les mains de l’homme glissèrent doucement le long de son corps et elle continuait à danser lascivement, encourageant ainsi ses caresses.
Ce couple improbable continua sa sarabande pendant de longues minutes. Aucun des deux ne prononça la moindre parole. Au fur et à mesure que la danse avançait, Denise sentait la pression du membre de l'homme qui se gonflait dans son dos. Elle bougea un peu et plaqua ses fesses contre ce sexe en train de durcir puis entama des mouvements de hanches pour accentuer encore l'excitation de son partenaire.
L’homme continuait à lui baiser le cou. Sa langue se baladait de plus en plus vite sur la peau blanche de la jeune étudiante qui commença à pousser des soupirs plus pour encourager l'homme que pour signifier un plaisir qu’elle ne désirait pas ressentir.
L’homme s’enhardit encore. Il glissa sa main sous le tissu de son t-shirt et elle sentit ses mains ridées qui se baladaient sur la peau de son ventre. Elle se colla encore plus contre lui, accentuant le mouvement de ses hanches. Elle tourna encore un peu la tête et vit son visage bouffi et rougi par l'excitation. Ils avaient atteint un point de non-retour et la conclusion était désormais inévitable.
Ils continuèrent à danser pendant quelques minutes et, doucement mais sûrement, commencèrent à s'écarter du centre de la piste. La foule des danseurs combla immédiatement l'espace qu'ils laissaient et ils parurent disparaître dans cette masse informe. Il la serrait très fort contre lui comme s’il avait peur qu’elle put s’évaporer comme par magie.
Il poussa alors la porte d'entrée des toilettes et l’entraîna doucement vers l’une des cabines. Elle s’écarta de lui pour finir assise sur la cuvette des toilettes. De son côté, il ferma la porte derrière lui pour être sûr de ne pas être dérangé.
Dans sa position assise, Denise n’attendit pas longtemps. Elle se pencha en avant et dégrafa la ceinture du pantalon de l'homme. Elle sortit un sexe ridé et tendu qu’elle commença à le sucer.
Le teint rougi de l’homme s’accentua encore alors qu’elle engouffrait le pénis dans sa bouche et commençait sa fellation. Il posa les mains sur les deux parois de la cabine et serra les dents afin de maintenir le contrôle sur sa virilité. Elle ralentit la vitesse de ces allers-retours du coup car elle ne voulait pas qu’il vint trop vite.
Il la fit alors se lever et pris les pans de son t-shirt qu'il fit remonter quasiment jusqu'au niveau de ses épaules, libérant ta petite poitrine qu’il commença à téter. Elle commença à pousser des petits soupirs et, pour la première fois, l'encouragea de manière intelligible.
Encouragé par cela, il se baissa un petit peu et tire-bouchonna la petite jupe noire qu’elle portait. Elle ne portait aucun sous-vêtement et une petite toison couleur châtain apparut alors dans la lumière blafarde.
Il glissa sa main entre ses cuisses et commença à la masturber doucement. Elle était très humide et il lui sourit satisfait par ce fait.
Elle se mordit les lèvres pour ne pas crier trop fort. Ils étaient dans un lieu public. Les éventuels passants ne faisaient pas très attention à ce qui se passait dans les cabines mais il y avait toujours un risque que certaines personnes s’offusquèrent de leur comportement et n’avertirent la sécurité.
Il la fit alors se retourner et elle se plia en avant, posant les mains sur le réservoir des toilettes. Elle sentit alors qu’il se glissait entre ses cuisses et qu'il pressait doucement sur l’entremise de ses petites lettres. Elle ne put retenir un cri quand il la pénétra. Elle écarta bien les cuisses pour favoriser l’intromission et se mit à haleter alors qu’il commençait à aller et venir en elle.
Le coït ne dura pas très longtemps. Il était terriblement excité et arriva très vite à bout. Compte tenu des circonstances, il avait eu l’intelligence d'enfiler un préservatif et remplit le réservoir de cette protection en poussant un cri rauque.
Denise s’écroula alors sur la cuvette des toilettes en poussant un cri en écho à celui de son partenaire. En dépit de la rapidité de l’acte, elle avait quand même réussi à obtenir un orgasme.
L’homme ne mit qu’une minute pour reprendre son souffle puis, sans un mot, il réajusta ses vêtements, déverrouilla la porte des toilettes et partit, laissant la jeune étudiante toute seule et assise sur la cuvette des toilettes.
Alors que les pas de l’homme s’éloignaient, elle referma la porte des toilettes et s'enferma à l'intérieur. Elle remonta ses genoux au niveau de sa poitrine et commença à pleurer.
Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait, ne savait pas expliquer pourquoi elle acceptait ce genre d’étreintes avec des hommes qui la rebutaient tant. Moches, gros et souvent en âge d’être ses pères ou ses grands-pères. Elle n’arrivait pas à comprendre ces pulsions qu’elle ne pouvait retenir ni le plaisir qu’elle ressentait à se faire ainsi posséder par ces hommes abjects dans des lieux immondes.
Elle avait l'impression de devenir folle et enfonça son visage entre ses genoux pour étouffer ses sanglots.
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