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L'enfer d'Eurêka, épisode 11

CHAPITRE 1


Ainsi Alison fut la dernière des femmes d’Eureka à sombrer. Elle devint définitivement 52L3T. Cela ne voulait pas dire cependant qu'elle avait fini son cheminement. Elle devait encore subir une « formation » et en accéléré puisqu’elle avait pris beaucoup de retard sur la plupart de ses autres camarades.


Trano se chargea de ladite formation. Les entretiens personnalisés se multiplièrent. La jeune femme réalisa fellations sur fellations tout en étant prise et sodomisée plusieurs fois par jour.


Cependant, comme ses camarades avant elle, sa reddition lui accorda aussi plus de moments de répit. Elle eut droit à des nuits plus longues même si elles restaient trop courtes. Si elle continuait à œuvrer à toutes les tâches de bas étage auxquelles on la contraignait depuis son arrivée, elle ne subissait plus d’assauts impromptus de la part des différents employés de la prison.


Il y avait bien encore quelques cas particuliers qui bénéficiaient de « primes » et se ruaient bien souvent sur la A+. Des filles de cette qualité, ils n’en voyaient pas beaucoup dans leur vie même en travaillant dans un tel établissement qui ne formait que des marchandises haut de gamme.


L'ancienne directrice avait accepté son sort. Par devoir et non pas par lâcheté, elle avait accepté de devenir la chose qu’ils voulaient qu’elle fût.

Cet abandon fut total comme une digue qui se brisait. Elle ne montra plus aucune résistance, acceptant tout ce qu’on lui imposait sans jamais se plaindre ni s’opposer. L’esclave parfaite.


Son dresseur ne pouvait que s’en réjouir. Il pourrait bientôt proposer à la vente le lot le plus fantastique que l’agence n’avait jamais possédé. Les bénéfices s’annonçaient mirobolants et les primes qui allaient avec aussi.

Certains s'imaginaient déjà ce qu’ils pourraient acheter avec cet argent. Des femmes pour la plupart. Pour certains comme Trano, ça ne serait pas les premières mais pour d’autres elles constitueraient le début d'un cheptel qui ne ferait que grossir qu’avec le temps.

Dans ce monde dépravé, les femmes représentaient la richesse la plus visible et tout homme de pouvoir se devait d’en posséder toujours plus et toujours plus belles. Si en plus elles se montraient des amantes talentueuses et enfantaient en grand nombre, c’était la cerise sur le gâteau.


Mais les élèves de l’élite Agency étaient loin de tout cela. Elles se contentaient de vivre au rythme qu’on leur imposait, entre travail et activités sexuelles variées.



CHAPITRE 2


52L3T avança donc rapidement sur le chemin de l'esclavage.

Trano multipliait les séances d’entraînement mais aussi les tests afin d'être sûr que cette personnalité naguère si rétive fût bien soumise et acceptât toutes les bassesses.


52L3T entra dans la pièce du bureau 2 pour subir un autre de ces tests. Comme à son habitude, Trano était assis derrière son bureau, pianotant sur le clavier de son ordinateur et semblant se désintéresser de sa présence.


Contrairement à ses collègues, l’ancienne directrice avait déjà plusieurs fois subi les ardeurs du chef dresseur mais il n'en faisait pas une habitude. De temps en temps, il appréciait de profiter des charmes de l'esclave la plus prometteuse qu'il n'avait jamais eu entre les mains.

  • Avance, 52L3T ! Ordonna dresseur sans lui accorder le moindre regard. Enlève ta tunique et reste-la ! »


L’ancienne directrice se plia à ce diktat, se mit nue et se plaça en face du bureau les mains bien le long du corps, dévoilant ainsi totalement son anatomie. Elle marquait ainsi à nouveau soumission et son désormais manque total de pudeur.

A ce moment, celle qui se faisait appeler naguère Zoé entra dans le bureau et s'avança vers celle qui fut sa belle-mère et se plaça à quelques centimètres d’elle.

52L3T eut un petit frisson à peine discernable.


  • Ce soir ma chère, reprit Trano à l’intention de l’ancienne scientifique, tu vas me montrer tes progrès en gouinage. Notre ami Altron a bien voulu me prêter notre chère 52R9D. Je pense que tu t’es déjà rendu compte qu’elle était très vorace et qu'elle avait des goûts tout particuliers. Je compte sur toi pour lui donner le maximum de plaisir. »


52R9D se tourna vers son ancienne belle-mère mais ne fit aucun geste. Elle n’avait plus besoin de test depuis longtemps, elle avait totalement sombré et plus aucun dresseur ne doutait de sa soumission. Le test était pour l'ancienne directrice.


Cette dernière sembla hésiter quelques secondes. Trano abandonna son activité pour suivre l'évolution des événements.

Il n’avait pas choisi la jeune fille pour rien. Les liens presque familiaux qui liaient les deux jeunes femmes avant leur kidnapping faisait de cette relation un quasi-inceste et un tabou important que, si elle le transgressait, montrerai que 52L3T avait finalement bien abandonné.

Cette dernière hésitait toujours. Les restes de la personnalité d’Alison remontaient-ils à la surface ? L’instant était décisif et si l'attente se prolongeait encore un peu trop, ils en seraient repartis pour une bonne période de formation.


Puis, soudain, 52L3T réagit. Elle bondit littéralement sur 52R9D commençant à la caresser et à l'embrasser à pleine bouche.


Celle qui se faisait appeler Zoé réagit à peine tant l'énergie déployée par son ancienne belle-mère faisait qu’elle était tel un fétu de paille emporté dans le vent.


L’ancienne directrice se déchaînait comme Trano ne l’aurait pas cru possible. Elle suça les petits seins de la jeune femme, glissa sa main entre ses cuisses et commença à jouer avec son clitoris.


Ce n’étaient pas les premiers ébats lesbiens que vivait 52L3T. Elle avait déjà eu de tels échanges avec 52G1Q et 52S2Y mais le test était beaucoup plus important maintenant et il sembla avoir déclenché quelque chose chez elle.

En acceptant cette étreinte tabou, elle prouvait que la femme qu’elle avait été avait fini par disparaître pour ne plus laisser que l’esclave.


52R9D eut enfin de l'activité. Elle répondit aux caresses et les deux jeunes femmes entamèrent alors dans une étreinte ardente. Les mains de la jeune fille commencèrent, elles aussi, à se balader sur celle de l'ancienne directrice. Les caresses se firent plus nombreuses et plus intimes. Les mains pénétrèrent les entrecuisses et les langues se mélangèrent.


Trano n’avait même pas besoin de donner des consignes tant les deux jeunes femmes étaient désormais habituées et répondaient aux désirs de leur maître sans même que celui-ci eut besoin de les énoncer.

À un moment donné, la plus jeune fit basculer l'autre sur le canapé situé au milieu de la pièce. Elle se plaça ensuite à califourchon sur elle présentant ton intimité au niveau de la bouche de sa partenaire. Cette dernière n’attendit pas une seconde pour plonger sa langue entre les petites lèvres ainsi offertes.

52R9D se mit à haleter alors que les caresses labiales commençaient déjà à faire leur effet et plongea sa tête entre les cuisses de son ancienne belle-mère.


Les deux jeunes femmes partirent donc en un 69 torride où elles se masturbèrent mutuellement à coup de langue et de doigtage. Les cris se firent de plus en plus intenses.

Les deux jeunes femmes avaient totalement oublié leurs anciens liens familiaux et se jetaient totalement dans l'océan de perversité de cet univers.


Alors que 52R9D se contractait sous l’effet d’un premier orgasme, Trano se leva et s’approcha des deux esclaves.

  • Tiens ! Fit le chef dresseur en tendant un nervo-fouet à 52L3T. Notre jeune ami adore quand c’est « viril » alors donnons-lui ce qu’elle désire ! »


Le regard rougi par la folie de l’instant, l’ancienne directrice prit immédiatement l’arme et la fit s’abattre sur la jeune fille toujours allongée. 52R9D fut prise d’un spasme de douleur, l’arme avait été réglée à sa puissance maximale afin de donner le maximum de douleur.

La surprise passée, la jeune fille se mit alors à pousser des cris de plaisir et à en demander encore plus. 52L3T ne se fit pas prier et frappa encore et encore.


Trano dut intervenir et stopper la séance de peur de ne laisser des séquelles trop importantes sur 52R9D. Il ne fallait pas endommager une marchandise aussi précieuse sur le point d’être vendue.

Plus que satisfait, il retourna à son ordinateur et cocha plusieurs cases pour les deux jeunes femmes. Le test était plus que réussi et 52L3T était prête pour passer à l’étape suivante.


La formation touchait à sa fin, les anciennes femmes d’Eureka étaient vraiment devenues des esclaves. Il ne restait plus qu'une petite formalité avant qu’elles fussent dignes d’être vendues.


CHAPITRE 3


L’ambiance de la soirée se voulait formelle.

Les six jeunes femmes, anciennement scientifiques d’Eurêka, étaient réunies dans une grande salle richement décorée.

Des dizaines de sofa et autre canapé étaient disposés un peu partout dans la pièce, indiquant que ce lieu était destiné accueillir de nombreux ébats.


Les jeunes femmes avaient été averties qu’il s’agissait là d’une soirée dite d’intronisation. Leur formation touchait à sa fin et elles allaient, à cette occasion, recevoir leur tunique dorée.

Cela signifiait aussi qu’elles seraient vendues avant la fin du cycle. Il était fort probable que c'était la dernière fois qu’elles se voyaient mais cette donnée n'avait guère plus d'importance pour ces esprits totalement sous contrôle et qui ne pensaient plus qu’à obéir à ceux qui les avaient brisés.


Trano entra dans la pièce, suivi par Altron. Les deux dresseurs responsables de la prison se placèrent devant les six jeunes femmes bien alignées. Trano fit un simple geste et elles retirèrent toutes prestement leur tunique.


  • Ce soir, mes chères, déclara le dresseur. Vous allez entrer dans une nouvelle vie. Vous n’êtes plus des apprenties et allez devenir des accomplies. Il ne restera alors plus qu’une seule étape avant que vous ne trouviez votre place dans le monde : celle d'un objet sexuel totalement dévoué à son maître. Vous avez été d’excellentes élèves et avez su combler nos désirs au-delà de toutes nos espérances. Cette soirée sera donc la dernière et nous comptons bien que vous en profitiez bien. Quant à nous, nous allons bien bourrer tous vos petits trous avant que vous ne soyez reconditionnées afin d’être parfaites pour vos nouveaux propriétaires. »


Plusieurs des jeunes femmes affichaient des sourires ravis comme si elles appréciaient d'être ainsi considérées comme de simples choses. Avec leurs esprits conditionnés, elles considéraient qu’atteindre le dernier stade de la formation était une récompense. Il était difficile d’imaginer qu’elles furent un jour des scientifiques accomplies et des femmes indépendantes. Leur intelligence et leur potentiel génétique qu'elles transféreraient à leur future descendance étaient conservés mais leurs personnalités libres avaient été totalement écrasées.


Une bonne vingtaine d’hommes entrèrent alors dans la salle. Il y avait tous les dresseurs qui avaient participé à la formation des jeunes femmes ainsi que plusieurs gardes et même quelques stagiaires.

Cette soirée était le point d'orgue de la période de formation et les plus méritants venaient toucher une belle prime en nature.


Trano alla s'installer dans un fauteuil situé dans un coin de la grande salle.

Le dresseur tapa des mains. Et immédiatement les six jeunes femmes firent volte-face. Elles se retrouvèrent en face d’une sorte de promontoire sur lequel elles s’installèrent en se pliant en avant.

Ainsi positionnées, elles exposaient leurs croupes et dévoilaient ainsi leurs orifices les rendant parfaitement accessibles à la pénétration. Les hommes s’avancèrent.


Juste avant la cérémonie, ils avaient récupéré chacun un numéro qui correspondait à un emplacement sur l'étrange meuble. Ainsi chacun savait quelle esclave il avait le droit de prendre. C'était une sorte de loterie et,bien entendu, tous espéraient gagner la A+.


Les premiers hommes s’installèrent et placèrent leur sexe au contact de l'orifice qu'il voulait prendre. Aucune des jeunes femmes n’était attachée mais aucune ne montra un signe de tentative de fuite.


Elles furent donc toutes prises soit dans le vagin soit dans l'anus. Elles se mirent toutes à gémir et à crier au rythme des saillies qu'elles subissaient. En esclaves parfaites, elles montraient leur plaisir et encourageaient les hommes qui les prenaient.

L’effet aphrodisiaque était indéniable et les hommes concernés ne mirent guère longtemps avant de jouir. Ils furent rapidement remplacés par six autres.


Le ballet continua ainsi pendant un temps indéfini. Les hommes se succédèrent dans les orifices des jeunes femmes. Celles-ci ne cessèrent d’encourager les hommes à les prendre toujours plus fort et ouvraient leurs bouches pour accueillir les sexes de ceux qui les avaient déjà prises afin de les faire revenir en érection pour qu’ils pussent recommencer.


L’orgie se poursuivit donc à un rythme démentiel. Si elles avaient voulu compter, aucune d’entre elles n’aurait eu la force d’arriver jusqu’au compte des hommes qui les prirent cette soirée-là.

Mais elles ne comptaient plus depuis longtemps, se contentant simplement d'obéir aux ordres qu'on leur donnait et de donner le maximum de plaisir aux hommes qui les violaient.


La soirée continua pendant très longtemps. Quand les moins résistants se retirèrent, épuisés, on autorisa les restants à saisir les femmes qu’ils voulaient et à en user comme il leur plaisait. Les hommes étaient encore très nombreux et cela conduisit à des prises multiples.


La plupart des jeunes femmes furent donc prises par plusieurs hommes en même temps, que ce fût un sandwich ou en duo avec fellation. Elles étaient en nage et épuisées mais continuaient à répondre aux exigences des hommes encore présents. Même la fatigue n'avait pas d'importance pour ces femmes totalement conditionnées.


52L3T n’était pas en reste. Prise en sandwich, elle suçait aussi le pénis d'un troisième homme qui lui pistonnait la bouche comme si cela avait été un vagin. Cela devint encore plus incroyable quand deux autres hommes tendirent leur membre afin qu’elle les masturbât. Elle se retrouva donc toute seule avec cinq hommes. Et ce ne fut pas la fin car tous les hommes restants voulaient profiter une dernière fois de cette femme d'exception.


Cela ne voulait pas dire que les autres femmes étaient délaissées. Il restait suffisamment de sexes en érection pour toutes les posséder et, compte tenu de leur état d'esprit, elles s'avéraient insatiables.


Nu et en sueur, Altron rejoignit Trano qui n'avait pas quitté sa position de départ. Il s’assit aux côtés de son supérieur et reprit difficilement son souffle. Il avait été de ceux qui avaient violé 52L3T mais s’était surtout concentré sur la petite 52R9D qu’il avait lui-même formée et pour laquelle il avait une certaine passion notamment compte tenu de ses penchants « particuliers ». Son sadisme ne pouvait qu’être comblé en présence de cette authentique masochiste.


  • Une bien belle soirée, estima le dresseur en second. C’est incontestablement notre meilleur lot, elles sont belles, intelligentes et salopes comme les pires des putes. »


Trano se contenta de sourire. Il ne s’était pas mêlé à cette orgie car ce n’était pas son rôle. Il était le supérieur de tous ces hommes et ne pouvait pas leur donner l’impression qu’il était à leur niveau. Il avait cependant profité une dernière fois de 52L3T juste avant la cérémonie.


Il ne pouvait que confirmer les dires de son second, ils avaient transformé ces femmes en d’authentiques objets de plaisir et les enchères qui s'annonçaient promettaient d’être fantastiques.



CHAPITRE 4


52L3T avait passé une nuit complète de repos. Plus de dix heures à dormir sans être dérangée, cela faisait plusieurs cycles qu'elle n'avait plus connu un tel répit.


Dans son esprit désormais totalement sous contrôle, elle ne comprenait pas totalement les raisons de cette paix mais cela signifiait tout simplement que le jour des enchères était proche. Elle devait donc être fraîche pour ce moment-là.

Elle ne fut donc pas convoquée pour ses tâches quotidiennes et demeura dans sa cellule, assise à attendre sagement la décision de ses maîtres.


Un garde vint la chercher en milieu de matinée et lui annonça qu’elle allait être reconditionnée.

Elle suivit l’homme dans les couloirs de la prison pour atteindre une salle qu'elle ne connaissait pas beaucoup. Elle se trouvait juste à côté de l'entrée par laquelle elles étaient arrivées à la suite de leur kidnapping.

52L3T fixa cette porte qui avait définitivement marqué la fin de son ancienne vie. Son cœur éprouva un vestige de nostalgie mais elle l’évacua très rapidement et emboîta le pas du garde quand il entra dans la pièce.


Le module de reconditionnement était une sorte de sarcophage d’une hauteur d’environ deux mètres et était tout à fait capable d’accueillir des personnes au physique impressionnant comme pouvaient l'être les gardes.

Elle se souvint alors vaguement du jour où elle avait mordu le sexe d’un des hommes qui venaient la violer la nuit et se dit qu’il avait dû passer par cet endroit.


Le garde lui indiqua de rentrer dans le sarcophage et elle se plia à cet ordre sans hésitation. Elle retira sa tunique dorée avant que la porte ne se refermât et se plaça bien confortablement en attendant la suite des événements.


Elle avait déjà connu un reconditionnement partiel quand Alaster l’avait frappée mais le pilote avait alors utilisé un instrument de voyage destiné à corriger des dégâts localisés. Ce module était fait pour totalement remettre à neuf les corps épuisés des esclaves brisées.

Elle fut rapidement envahie par une sorte de vapeur qui la pénétra par tous les pores de la peau. Une sensation étrange et une sorte de picotement envahirent son corps puis elle ressentit une chaleur apaisante.


Le traitement dura environ un crack. Durant tout ce temps, 52L3T demeura immobile à demi consciente profitant l’étrange sensation que lui procurait cette réparation.


Quand enfin la porte s’ouvrit elle constata qu'elle n'avait plus aucun bleu. Elle se sentait aussi envahie par une énergie qu’elle n’avait plus connue depuis le jour de son enlèvement. Elle se doutait aussi que l’ensemble de ses orifices avaient retrouvé toute leur élasticité et que les prochaines pénétrations qu’elle subirait seraient à la fois plus pénibles mais aussi plus aphrodisiaques.


L’ancienne directrice récupéra sa tunique et reprit la suite du garde alors qu'il repartait vers la sortie.

En chemin, elle croisa 52F7Z qui se dirigeait vers la salle de reconditionnement. Les deux anciennes amies échangèrent un vague regard sans afficher la moindre émotion.


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