CHAPITRE 1
52G1Q entra dans le bureau du dresseur. Elle maintenait cette démarche martiale qui était devenue habituelle chez elle. La jeune femme se comportait comme un soldat en opération.
Trano ne pouvait que s’en réjouir, c’était exactement ce qu’il avait voulu obtenir.
« Soldat Lupo au rapport, fit la jeune fille comme elle en avait pris l'habitude depuis plusieurs jours. J’attends les ordres. »
Trano sourit en l'observant. Elle semblait droite et fière mais en réalité son intérieur était totalement ravagé. Le dresseur avait réussi à jouer sur son passé et sur sa formation pour faire sauter le crépi de rébellion quelle affichait à son arrivée au centre.
Son esprit avait été d’antan conditionné à obéir en toutes circonstances, chose obligatoire pour un soldat en opération. Il avait fallu un peu de temps et beaucoup de manipulations mais Trano avait réussi à faire en sorte que le passé et le présent se mélangeassent et que la jeune femme ne fît plus la différence entre la réalité de son passé et les mensonges de son présent.
« A poils ! Ordonna le dresseur, impérieux. »
La première fois, Jo avait hésité pendant quelques secondes mais avait fini par obéir à cet ordre. Cette fois il n'y avait plus de place pour les hésitations. Elle releva sa tunique en quelques secondes et se révéla totalement nue à la vue de celui qui l’avait brisée.
En position de garde-à-vous, bras bien le long du corps, elle s’affichait donc devant lui telle l'objet sexuel qu'elle était devenue.
Trano n'était pas du genre à user de la marchandise. Il préférait laisser ce genre d’action impropre à des hommes moins raffinés.
En l’occurrence il s’agissait là d’'un garde qui avait fait preuve de particulièrement et d’efficacité. Jo était donc une sorte de récompense.
L’homme était grand, massif et possédait lui aussi un passé militaire. Il pouvait donc encore leurrer l’esprit pas tout à fait terminé de Jo.
Cette dernière tourna la tête vers l’homme qui s’approchait d’elle. Elle conserva sa position de garde à vous et ne montra aucun signe de fébrilité, autant de signes encourageants pour Trano.
L’homme ne s’occupait pas de ce genre de détails. La seule chose qui l'intéressait était ce corps si jeune et si bien formé qui n’attendait que lui. Il tendit les mains vers la poitrine, petite mais fière, de l'ancienne responsable de sécurité. Celle-ci lui adressa un regard sans animosité mais sans sentiments non plus. Elle ne s’opposa aucunement quand il commença à la caresser.
Jouant doucement avec ses petits tétons, il réussit à les faire se dresser. Jo se montrait bien plus réactive que quiconque l’eut cru auparavant.
La jeune femme se mordit doucement les lèvres alors que les caresses devenaient plus précises. En dépit de son apparence rustre, l’homme fit preuve de beaucoup de douceur mais aussi de détermination. Il voulait cette femme, il voulait la faire jouir.
Se désintéressant un petit peu de sa poitrine, il fit descendre sa main jusqu’à son entrejambe. Il glissa alors deux doigts entre ses cuisses à moitié ouvertes. De nouveau, la jeune femme n’opposa aucune résistance et se laissa ainsi pénétrée par ces doigts étrangers.
L’homme commença alors un lent aller-retour entre les lèvres intimes de la jeune femme. Celle-ci se mordit les lèvres encore plus fort.
Trano remarqua qu’elle était prise de légers tremblements. Les caresses faisaient effet. Petit à petit, l’homme accéléra le rythme de ses doigts puis ajouta un troisième. Il sentit que sa main s’humidifiait, nouvelle preuve des sensations qu'il créait chez « l’élève ».
Tout en allant et venant à l’intérieur de son intimité, il continuait à jouer avec les petits tétons de sa poitrine. La jeune femme semblait se perdre dans cet univers à demi fantasmé qu’ils avaient créé dans son esprit. Comme dans ses rêves profonds, elle commençait à prendre plaisir à cette relation qui était pourtant forcée.
L’homme se colla alors à elle et approcha ses lèvres des siennes. Sans attendre, elle entrouvrit la bouche est sorti légèrement sa langue. N’hésitant pas devant cette invitation, l’homme colla ses lèvres contre les siennes et commença à jouer langue contre langue.
Toujours assis derrière son bureau, Trano pianotait sur son clavier, prenant note et tirant des conclusions de ce qu'il voyait. Des conclusions plus que positives.
L’homme continua à caresser Jo pendant presque 10 min. Les légers tremblements de la jeune femme devinrent des spasmes et elle finit même par pousser d’authentiques gémissements de plaisir.
Il n’en fallait pas plus pour l’homme. Libérant son sexe déjà bien tendu, il retira ses doigts du vagin de la jeune femme et, soulevant sa jambe droite, la pénétra d’un coup sec. Le vagin hautement lubrifié ne posa aucune résistance et il put la prendre en deux coups de reins.
Jo enroula alors ses bras autour du cou de l’homme incitant ce dernier à la prendre comme il le voulait. Ce qu’il fit immédiatement.
Il donna de grands coups de reins aussi brutaux qu’efficaces. À chaque fois la jeune femme quittait quasiment le sol et ne devait de rester debout que par le fait qu'elle était bien accrochée à son amant.
L’homme continuait à la caresser et à l’embrasser alors qu’il allait et venait en elle.
De son côté, la jeune femme commença à lui rendre ses caresses. Elle se montrait de plus en plus studieuse et de plus en plus efficace dans ces jeux sexuels.
La dernière fois, le soldat qui l'avait prise avait joui en elle. Ce ne fut pas le cas cette fois-là.
Après de longues minutes la besogner avec toute l’énergie dont il était capable, l’homme se retira, arrachant un cri de surprise et un peu de déception à « l’élève ».
Il n’en avait cependant pas fini avec elle. La prenant par les épaules, il la fit se retourner et se pencher fortement en avant. On l’avait déjà prise en levrette et pas qu’une fois. La jeune femme prit donc la position sans hésitation mais elle ne pensait pas à ce qu’il attendait.
L’homme avait bien compris depuis longtemps que l’intimité de « l'élève » avait été explorée plus d'une fois par ses compagnons et il voulait profiter d’autre chose.
Il poussa sur le dos de la jeune femme pour la contraindre à se cambrer encore plus. Soumise, elle se plia à cette directive. Savait-elle ce qui l’attendait ou se contentait-elle seulement d’obéir à tous les ordres qu’on lui donnait ?
En tout cas, elle ouvrait largement l’accès à son anus. Un accès que l’homme se pressa de prendre. Pressant doucement son gland sur la petite rondelle de son anus, il entama de la sodomiser.
Pour la première fois, Jo montra une réticence. Elle releva la tête et commença à bouger.
« Soldat Lupo ! Fit la voix autoritaire de dresseur. Vous êtes ici pour remplir une mission et je n'accepterai pas que vous faillissiez ! »
Jo jeta un regard interrogateur en direction de celui qu’elle considérait désormais comme son supérieur hiérarchique. Elle ne lut aucune compassion dans le regard de cet homme qui avait su prendre le pouvoir sur elle.
Vaincue, elle reprit sa position et ne réagit plus alors que le pénis s'enfonçait dans ses intestins.
Elle n’avait jamais été sodomisée et la pénétration s’annonçait donc des plus pénibles.
L’homme n'en eut cure et donna un premier coup de rein pour vaincre la résistance de son anus. Le petit trou finit par s’écarter pour laisser le passage au membre.
Jo serra les dents cette fois-ci alors que le pénis se frayait un passage dans ses intestins. La douleur allait crescendo surtout que l'homme ne cessait de s’enfoncer plus profondément en elle.
Il réussit à la posséder totalement au prix d'un effort lent mais continu. Jo était en nage, le visage empourpré par les efforts qu'elle déployait pour ne pas hurler.
L’homme n'en avait cependant pas fini. Il se mit alors à aller et venir dans le conduit étroit et encore inexploré.
Pour Jo, ce fut trop. La douleur fut telle qu'elle ne réussit pas à y résister. Elle se mit alors à hurler à pleins poumons, se redressant partiellement et allant jusqu'à s'appuyer contre un mur proche.
L’homme continua cependant à la prendre dans cette position. Ses coups de reins s’accélérèrent même au fur et à mesure que les cris s’intensifient.
Le coït dura ainsi de longues minutes. L’homme finit par jouir dans ses entrailles, libérant son sperme dépourvu de semence.
Il se retira alors, délivrant la jeune femme qui s'écroula sur le sol, l’anus rougi de sang par cette sodomie violente.
Satisfait, l'homme se rhabilla rapidement, salua le dresseur qui était resté assis derrière l’écran de son ordinateur et quitta pièce. Jo, quant à elle, resta prostrée encore plusieurs minutes.
Elle ne retrouva la force de se lever que quand Trano le lui ordonna.
« Ce fut une séance très intéressante, expliqua le dresseur. Cependant, il te reste encore beaucoup à apprendre. Un soldat de ta valeur ne devrait jamais avoir à pleurer et à crier comme tu l'as fait. Tu dois apprendre à accueillir des objets dans tous tes orifices. Toute ta formation militaire n'a eu que pour but à te conduire à devenir l'objet sexuel parfait. Tu as donc encore du travail ! »
Trano sortit alors un étrange objet aux formes phalliques et le lança à la jeune femme. Celle-ci l’attrapa au vol et le regarda, l’air étonné.
« C’est un gode notre monde, expliqua-t-il. Ils sont un peu plus sophistiqués que les vôtres. Je veux que tu l’insères dans ton cul, tout de suite ! »
Ressentant de la honte après les critiques de celui qu’elle considérait comme son officier, Jo prit l’objet et la plaça à tâtons au contact de son anus.
Dès le début de l'intromission de l'objet, la douleur ressentie quelques minutes auparavant revint.
La jeune femme puisa dans ses dernières forces pour ne pas y céder à nouveau. C’était d’autant plus horrible qu’elle était cette fois celle qui se faisait souffrir.
Trano observait la scène avec attention. Ce genre de godes possédait de multiples fonctions dont une télécommande. Il aurait donc parfaitement pu le guider lui-même jusque dans les entrailles de la jeune femme mais la laisser ainsi démontrer toute sa volonté à se soumettre était une partie de l’évaluation qu'il menait.
En prenant appui sur l'un des mur, Jo finit par enfoncer l’objet d'un coup sec. Trano la vit devenir rouge sang alors qu'elle réprimait à grand frais le cri qui venait de naître dans le fond de sa gorge.
Sitôt installé correctement, le gode déploya des sortes de petites griffes qui vinrent se planter dans les hanches de la jeune femme. Celle-ci poussa un petit cri de surprise.
« Le voilà bien ancré en toi, estima le dresseur. Tu vas le garder en permanence. Ainsi, tu apprendras à supporter la pénétration dans tes entrailles et tu deviendras un bien meilleur agent sexuel. Je te l’ai dit, il a de nombreuses particularités. L’une d’entre elles et qu'il peut changer de diamètre. Chaque jour, il s’agrandira un petit peu plus poussant toujours un peu plus sur les parois de tes intestins. Je veux que tu ne cries jamais. Chaque cri, chaque pleur, chaque hurlement sera considéré comme une faute. A chaque fois que tu failliras, je veux que tu te rendes vers le garde le plus proche et que tu lui expliques que tu dois être punie. Il décidera alors de la nature de la punition. Alors très bien soldat 52G1Q, vous pouvez disposer ! »
Jo reprit sa position au garde-à-vous, salua le dresseur et se retourna en direction de la porte de sortie. Sa démarche était arquée mais à aucun moment elle ne poussa le moindre petit cri.
Elle avait parfaitement intégré les ordres et comptait bien s’y conformer totalement comme la bonne esclave sexuelle qu'elle était devenue.
Et ce fut ainsi que Jo gagna sa tunique pourpre.
CHAPITRE 2
Le basculement de Jo fut un tournant dans l'histoire des femmes d’Eureka.
Le nombre des filles brisées devint alors majoritaire parmi celles-ci et le fait de voir la plus solide d’entre elles se soumettre désormais et aller jusqu’à quémander des punitions aux hommes présents autour d'elle révéla aux deux dernières femmes encore maîtresses de leur volonté que le temps était compté.
Il fallait s’échapper au plus vite ou elles finiraient elles aussi par sombrer dans cette folie.
Alison en avait parfaitement conscience. Ses plans d’évasion étaient désormais bien construits. Elle devait cependant subir en permanence les assauts de tous les hommes de cette prison. Ses nuits étaient un authentique cauchemar où elle subissait pendant des heures les assauts d’hommes en rut.
Son épuisement aurait été total si elle n’avait pas trouvé une échappatoire. Profitant du plan que lui avait dressé Jo avant de sombrer, elle avait identifié des zones noires dépourvue de caméras. Ainsi, durant la journée, elle se réfugiait dans ces endroits pour se reposer quelques instants.
Elle ne restait jamais plus d’une demi-heure au même lieu car elle savait que les gardes la cherchaient en permanence autant pour la prendre que pour l'empêcher de se reposer.
À ce jeu de cache-cache, Alison gagnait suffisamment souvent pour se ménager des périodes d’authentique repos qui lui permettait de conserver sa lucidité.
Cependant, même ces astuces ne pourraient plus la protéger bien longtemps. Le nombre d’agressions et les pressions psychologiques exercées par les dresseurs finiraient bien par avoir raison même de sa volonté.
Il lui fallait agir vite et elle savait qu’elle ne pouvait plus compter que sur la seule Tess. Et encore la scientifique semblait au bord de l'épuisement. Alison n’avait pas pu partager avec elle cette astuce et elle ne possédait pas donc le repos équivalent au sien
Il fallait aussi tenir compte des autres femmes d’Eureka. Alison avait compris qu'elle ne pourrait pas toutes les emporter. Pire, elle avait un temps imaginé emmener deux d’entre elles mais avec le temps elle avait réalisé que c’était impossible.
Les filles d’Eureka n’étaient pas seulement soumises à leurs nouveaux maîtres, elles apparaissaient parfois comme heureuses de leur sort. Le conditionnement était total. Elles allaient certainement s'opposer à une fuite.
Épuisées comme elles l’étaient, Alison et Tess n’auraient pas la force d'emporter avec elle une autre des jeunes femmes chacune. Il fallait se résoudre à l'évidence, elles ne pourraient emmener qu’une seule des autres jeunes femmes. Le choix était terriblement évident, Zoé était sa belle-fille, sa quasi-fille, elle ne pouvait l’abandonner à son sort même si elle était conditionnée.
Il restait un dernier gros problème. Après avoir identifié le portail qui permettrait leur évasion, mis au point toute une stratégie pour atteindre le lieu sans se faire repérer et conserver cette carte si précieuse qui leur offrirait l'accès protégé, il restait à déterminer les coordonnées de leur lieu de fuite.
Tess lui avait expliqué comment fonctionnait l'ordinateur mais avec le peu de temps qu'elle avait bénéficié pour l'étudier, il lui était impossible de fouiller dans les mémoires de celui-ci afin de trouver parmi des centaines de milliers de données les coordonnées précises d’Eurêka. Il fallait trouver une autre solution. De nouveau, ce fut Zoé qui s'imposa.
Depuis quelques jours, Alison avait remarqué un étrange manège. Zoé portait désormais une tunique rouge, ce qui voulait dire qu’elle était en quelque sorte protégée.
Les élèves portant les tuniques blanches étaient une sorte de buffet à volonté. Les hommes, sauf ordre contraire, pouvaient les prendre comme ils le désiraient et, dans certains cas, et Alison ne le savait que trop bien, certaines étaient même soumises à des traitements particulièrement violents de viols répétés.
Par contre, les prisonnières aux tuniques rouges étaient beaucoup plus libres. Elles continuaient à œuvrer à leurs tâches dégradantes, enchaînaient les entretiens personnalisés où, Alison n’en doutait pas, elles subissaient multiples sévices mais, par contre, ni les gardes ni les stagiaires ne les touchaient plus durant la journée autant que la nuit. Il y avait bien quelques cas rares : des sortes de récompenses offertes à des employés méritants mais c'était tout.
Le raisonnement de leurs tortionnaires était finalement bien logique. Les victimes qui se soumettaient et acceptaient leur sort bénéficiaient d’un traitement plus clément afin d’inciter les autres à suivre leur exemple.
Zoé présentait donc une exception. Alison avait remarqué un étrange manège avec un des gardes. Non, ce n’était pas exactement un garde car il ne portait pas tout à fait le même uniforme. Il fallut quelque temps à Alison pour comprendre qu’il s’agissait tout simplement d’un pilote, un homme qui avait accès au hangar où se trouvaient les vaisseaux qui les avait amenés depuis Eurêka. Un vaisseau qui devait sans doute posséder dans la mémoire de leurs ordinateurs les coordonnées de leur monde d'origine et donc l'information qui lui manquait. Cette situation incita donc Alison à revenir vers celle qu’elle appelait encore sa fille. CHAPITRE 3
Alison avait disparu dans les méandres des couloirs. Elle ne put donc pas assister à la scène qui allait se dérouler dans le réfectoire.
Les jeunes femmes d’Eurêka étaient désormais dispersées sur différentes tables. La cohésion n’avait plus de sens pour ces jeunes femmes désormais conditionnées à leur rôle d’esclaves sexuelles.
Ainsi, 52F7Z mangeait seule sur une petite table dans un coin. L’ancienne scientifique continuait ses séances de formation avec Crimson, ce néo-dresseur qui avait su éveiller en elle ce sentiment obscène qu’elle assimilait à de l’amour. Elle avait arrêté, cependant, ses gang bangs répétés avec les stagiaires.
Justement, Crimson arriva alors dans la pièce, accompagné par deux autres jeunes gens que 52F7Z ne reconnut pas. Les trois hommes, rieurs, s’approchèrent d’elle.
« Voilà la fille dont je t’ai parlé, commença Crimson. Elle possède de nombreux talents et je peux te dire qu'elle s'améliore de jour en jour. Regarde, jolie petite chose ! Ajouta-t-il à l’intention de la jeune femme qui avait tourné la tête vers lui au seul son de sa voix. Ces garçons sont de nouvelles recrues qui doivent apprendre comment dresser les filles comme toi. Pour leur premier jour, ils ont droit à un petit extra et j'ai décidé que ce serait toi ! »
Sans même attendre la fin du discours du dresseur, 52F7Z se releva puis se pencha bien en avant sur la table où elle était en train de manger. Dans le mouvement de sa courte tunique rouge remonta jusqu'au sommet de ses fesses, dévoilant ainsi toute son intimité.
Elle écarta largement les cuisses ouvrant ainsi l'accès à son entrejambe. Cela fait bien longtemps que ses orifices avaient tous été visités et elle ne craignait plus du tout d'être prise par quiconque.
Crimson sourit en voyant la docilité toujours accrue de celle qu’il avait lui-même brisée. Elle constituait sa première réussite et son accès au titre tant recherché de dresseur. Il savait que le temps était désormais compté, elle avait tellement avancé sur le chemin de la soumission qu’elle serait bientôt digne d’endosser les tuniques dorées et donc d’être vendue.
Il eut un petit pincement au cœur et se dit qu’elle lui manquerait un petit peu mais il y aurait bien d’autres filles, bien d’autres petites rouquines et d’autres petites choses qu’il pourrait briser. L’avantage de son travail était qu’il ne manquait jamais d’occasions de s’amuser.
L’un des stagiaires, un petit jeune d’une quarantaine d’années, s’approcha alors de la jeune femme totalement offerte. Dégrafant son pantalon, il tendit son sexe déjà bien tendu et le plaça à l’entremise des petites lèvres de la jeune femme. Celle-ci s’ouvrit comme une fleur.
Les multiples viols et relations qu’elle avait subi durant ces quelques jours avait rendu son intimité aussi béante que le gouffre d'un canyon.
Dans l’inconscience de son conditionnement, elle ne savait pas qu’elle subirait à terme ce qu’on appelait un reconditionnement.
C'était un traitement qui redonnerait à son corps toute la vitalité et la virginité qu'il possédait avant qu'elle ne tombât entre les mains des membres de l’élite Agency. Ainsi son futur propriétaire profiterait d'une beauté aussi blanche qu'une fille sauvage.
En tout cas, en cet instant, il n'en était pas encore question et le jeune stagiaire put s'enfoncer dans le ventre de la jeune femme sans aucune difficulté. Il commença alors à la besogner avec l'énergie d'un jeune homme mais aussi une certaine inexpérience.
40 ans était jeune sur ce monde et posséder des femmes de qualité n’était pas à la portée de toutes les bourses. Ce jeune homme n’était pas issu d’une grande famille et n’avait encore jamais possédé d’esclave personnelle.
Il avait bien eu recours à plusieurs reprises à des filles de borstel mais elles étaient de pâles copies des femmes qu'il allait rencontrer en cet endroit. Il ne savait donc pas encore vraiment comment profiter d’un corps de qualité.
En attendant 52F7Z l'aida beaucoup et il ne lui fallut que quelques coups de reins pour que l’intimité de la jeune femme fût lubrifiée de manière plus que satisfaisante.
Le jeune homme eut donc accès à un conduit large et sans aspérité. La pénétration en devint très facile et bien différente de celle qu'il avait connue chez ces filles de borstel qui possédaient un vagin aussi rapeux que de la lame de verre.
Le plaisir qu’il ressentit fut tel qu’il en devint presque hystérique. Il accéléra brutalement le rythme de ses coups de boutoir, déchirant la tunique de la jeune femme pour libérer sa petite poitrine ronde.
Prenant les deux mamelles à pleines mains, il continuait à donner de grands coups de reins qui faisait sursauter la jeune femme.
Cette dernière ne fut pas en reste. Elle se mit à pousser des cris de plaisir dont elle se serait crue incapable avant de rencontrer tous ces hommes expérimentés et cruels.
Placé derrière les deux amants, Crimson profitait du spectacle et appréciait l'avancée de sa petite élève. Il ne doutait pas qu’elle obtiendrait sa tunique dorée avant la fin du cycle. Trano lui avait promis une prime substantielle en ce cas-là.
Il était déjà en train de se demander ce qu'il ferait de cet argent. La prime était suffisante pour qu’il puisse espérer s’acheter sa première femme. Cependant, ce ne serait pas une fille de la qualité de 52F7Z et le dresseur le regrettait. Une B- ou une C+ ne vaudrait jamais la qualité d’une fille d’Elite Agency et il se demandait s’il ne patienterait pas un petit peu plus afin de pouvoir s'acheter une A.
En attendant, le jeune stagiaire arriva au climax de son plaisir. Il jouit alors dans le vagin de la jeune femme. La semence dépourvue de spermatozoïde s’écoula en elle.
Le jeune homme se retira rapidement et réajustant ses vêtements. 52F7Z s'écroula sur la table du réfectoire en sueur et l'esprit encore embrumé par le plaisir qu'elle venait de ressentir. Elle n’en avait cependant pas fini de son travail.
Le second stagiaire avait déjà libéré son sexe en érection et s'approcha d'elle. Il la prit par les hanches afin de la soulever et la forcer à se cambrer afin d'ouvrir l'accès à ses fesses.
Comprenant ce qui l'attendait, la jeune femme posa les mains sur la table afin de prendre une position adéquate.
Elle avait déjà subi des dizaines de sodomies et son anus était quasiment aussi accueillant que son intimité. Elle ne craignait pas cette pénétration contre-nature.
Le second stagiaire la pénétra donc d’un coup sec, envahissant totalement ses intestins. 52F7Z se remit de suite à crier de plaisir.
CHAPITRE 4
Loin de tout cela, Alison déambulait apparemment sans but dans les couloirs de la prison. Ce n’était qu’une apparence, elle savait très bien où elle voulait aller.
Zoé avait été affectée depuis quelques jours au nettoyage des chambres des gardes. L’ancienne directrice retrouva donc sa belle-fille facilement.
Elle entra dans une petite chambre ouverte aux allures spartiates. 52R9D était en train de nettoyer les toilettes.
La jeune fille démontrait une ardeur étonnante pour quelqu'un qui, quelques semaines auparavant, ne touchait même pas un balai. Ce changement était une nouvelle preuve des transformations subies pas l'ancienne étudiante.
Alison s’approcha doucement d’elle et posa sa main sur son épaule. 52R9D sursauta et se retourna l'air étonné.
« 52L3T ? Questionna la jeune fille. Que fais- tu là ? »
L’esclave qui avait été Zoé ne vivait désormais plus que pour combler les désirs de ceux qu'elle appelait maîtres. Voir ainsi Alison déroger aux consignes la choquait profondément.
Cependant, elle considérait encore l’ancienne directrice comme sa belle-mère et décida de l’écouter.
« J'ai remarqué que tu menais un étrange manège avec un des gardes, expliqua Alison. Aurais-tu un amant ? »
52R9D eut une expression gênée et jeta un regard inquiet derrière sa belle-mère. La vie des prisonnières était commandée par des règles strictes et une telle relation constituait un manquement grave.
« Je ne veux pas te dénoncer, rassura l’ancienne directrice. »
Alison ne comprenait pas comment sa belle-fille pouvait ressentir quoi que ce fut pour un de ces monstres. Peut-être était-ce un syndrome de Stockholm ?
Alison voulait y voir un signe encourageant. Tant que Zoé montrerait des signes de rébellion, l’espoir de la sauver subsisterait.
« C'est un pilote, n'est-ce-pas ?
- Peut-être, répondit la jeune femme toujours sur la défensive. Que veux-tu ? »
Alison sentait que Zoé était trop réticente et elle décida de tenter l’impensable.
« Je me sens seule, mentit-elle. Je voulais savoir si …
- Je pouvais partager ? Coupa la jeune fille étonnamment réjouie. C'est magnifique. Alaster a tellement envie d'un plan à trois. Je n’osais pas le proposer aux autres filles de peur d’être dénoncée.
- Tu peux me faire confiance, ma fille.
- Alors, écoute comment nous allons faire. »
CHAPITRE 5
52G1Q retournait dans ses quartiers après une longue journée de labeur quand elle fût traversée par une vague de douleur.
Le gode enfoncé dans son anus venait d’augmenter de plusieurs centimètres d'un coup. La dilatation soudaine de son anus irradia si fort qu'elle dut prendre appui sur un paroi et, prise de court, elle poussa un cri.
Sa faiblesse ne dura que quelques secondes mais le mal était fait, elle avait échoué à contrôler sa douleur.
Elle prit une longue minute à s’habituer à ce nouvel inconfort puis se redressa fièrement en dépit de la souffrance que ça lui apportait.
Elle jeta un regard autour d'elle. Personne n’était visible et aucun témoin n’avait donc assisté à son échec. Elle imagina alors ne pas le révéler. Elle se crispa. Elle était un soldat et devait assumer les conséquences de ses défaillances.
Avançant lentement mais sûrement, elle déboucha sur une petite pièce et y trouva trois gardes en train de discuter. Elle s’approcha d'eux et fit un salut quand ils se tournèrent vers elle.
« Que veux-tu, élève 52G1Q ? Fit l'un des gardes, un sourire ironique au coin des lèvres.
- J'ai failli à ma mission, expliqua-t-elle. J'ai abandonné devant la douleur et je mérite d’être punie. »
Le sourire de l’homme s’accentua. Il était parfaitement au courant des nouvelles dispositions concernant cette apprentie et se réjouissait d’être un de ceux qui allaient en profiter.
« C'est très regrettable, ricana-t-il alors que 52G1Q affichait un sérieux incroyable. Tu mérites en effet d’être punie. »
Il se tourna alors vers ses deux camarades qui affichaient une mine aussi réjouie que la sienne.
« Qu'elle punition pensez-vous qu’elle mérite ? Demanda-t-il.
- Sa faute est gravissime, répondit l'un d'eux. Il faut que ce soit exemplaire.
- Tu as tout à fait raison. Et elle le sera. »
Il se tourna alors vers 52G1Q.
« A genoux ! Ordonna-t-il. Ouvre la bouche ! »
La jeune femme s’exécuta immédiatement. Le mouvement fit bouger le gode qui se trouvait dans son anus et elle grimaça en supportant cette nouvelle douleur.
Le garde libéra son entrejambe et tendit un sexe mou devant la bouche de la jeune femme.
« Tu vas maintenant me sucer ! Précisa-t-il inutilement. Je veux que tu sois efficace, que tu me fasses jouir et que tu avales tout le sperme que je déverserais dans ta bouche. Ne laisse couler aucune goutte ! »
La jeune femme ouvrit grand les yeux. Avant d’être kidnappée, elle détestait pratiquer la fellation et surtout refusait totalement d’avoir du sperme dans sa bouche. Cependant, elle ouvrit immédiatement la bouche pour avaler le sexe qu’on lui tendait.
Elle commença à aller et venir sur le membre encore un peu flasque. Elle n’avait donc pas beaucoup d’expérience dans cette pratique mais elle mit de l’énergie afin de remplir la mission qu’on venait de lui confier.
L’homme souffla de dépit devant le manque d’efficacité de sa fellatrice.
« Putain ! Tonna-t-il. Comment peux-tu être aussi cruche ? »
Il emprisonna alors la tête de la jeune femme entre ses mains puissantes et lui imposa une accélération du rythme de ses allers et retour.
« Ferme bien la bouche ! Dirigea-t-il. Emprisonne bien ma bite entre tes lèvres ! Aaaah ! C’est beaucoup mieux ! »
La jeune femme suivait toutes les consignes qu’il lui donnait et la qualité de sa fellation s’améliora fortement. L’homme poussait des cris de plus en plus sonores alors que son sexe devenait bien raide.
A un moment, elle sentit que le membre de chair qui envahissait sa bouche était pris de certains spasmes et elle eut le réflexe de tenter de le sortir avant qu’il ne giclât mais les deux mains qui emprisonnaient sa tête ne l’autorisèrent pas cette fuite.
Il éjacula alors en plusieurs saccades abondantes. Le liquide visqueux coula dans la gorge de la jeune femme.
Elle hésita longuement alors que l’homme conservait son sexe dans sa bouche. Tout son être voulait qu’elle recrachât ce liquide immonde mais son conditionnement prit alors le dessus et elle déglutit bruyamment en avalant ce liquide qui lui brula l’œsophage.
Elle fut prise d’un réflexe nauséeux et, en dépit de toute sa volonté, elle finit par cracher quelques gouttes dans un cri rauque.
Le garde afficha une mine faussement énervée. Il s’agenouilla pour amener son visage au niveau de celui de 52G1Q qu’il tenait toujours emprisonné entre ses mains.
« Je t’avais dit de ne rien laisser tomber, gronda-t-il. Comment peux-tu être aussi conne et incapable ? Maintenant, tu vas me lécher tout ça et ne laisse rien trainer ! »
Il pressa alors sur sa nuque pour conduire son visage jusqu’à toucher le sol. Docile et se sentant coupable pour sa nouvelle faiblesse, l’ancienne responsable de la sécurité ouvrit la bouche alors que sa joue touchait le sol et les petites gouttes de spermes qui y étaient tombées.
Elle lécha donc ce liquide sale jusqu’à la dernière goutte. Le garde relâcha enfin sa pression. Elle se redressa un peu, tout en restant à quatre pattes.
« Enfin tu te montres un minimum efficace, félicita-t-il. Maintenant, tu vas prendre le sexe de mon ami en bouche et le sucer plus efficacement ! Et ne laisse…
- … couler aucune goutte, termina la jeune femme. »
Le garde sourit ouvertement pendant que 52G1Q avalait le sexe de son voisin. Pendant le même temps, le troisième garde avait déjà libéré son sexe et attendait son tour avec impatience.
CHAPITRE 6
Alison avait suivi scrupuleusement les consignes de Zoé et se retrouvait dans un recoin sombre à quelques mètres de la porte d’une petite porte qui donnait sur le hangar.
Il s’agissait d’un point noir ce qui témoignait que celle qui répondait désormais au nom de 52R9D avait conservé le souvenir des renseignements que sa belle-mère lui avait donné avant qu’elle ne sombrât dans l’esclavage.
La jeune fille arriva au bout d’une dizaine de minutes, rapidement suivi par le dénommé Alaster. Il s’agissait d’un homme assez âgé même selon les critères de ce monde futuriste. Avec son crâne dégarni entouré de cheveux plus de grisonnants et son petit embonpoint, il n’avait rien d’un apollon. Alison se demanda alors comment un tel homme avait pu ne serait-ce qu’attirer l’attention d’une fille comme Zoé dont la beauté et la jeunesse avait toujours séduit les hommes qu’elle rencontrait.
Dans ce monde de perversion et de manipulation, l’improbable devenait la norme, malheureusement.
52R9D s’approcha du pilote et ce dernier la prit dans ses bras et l’embrassa. L’étreinte n’avait rien de romantique mais apparut même étrangement violente aux yeux d’Alison.
Au bout d’une minute, l’homme repoussa la jeune fille pour se tourner en direction de sa belle-mère.
« Alors, c’est elle, fit-il. La A+. Très belle ! Presque aussi belle que toi, ma petite chienne. »
52R9D gloussa devant cette insulte qu’elle interpréta comme un compliment.
« Je sens que nous allons bien nous amuser, reprit-il. Venez ! »
Il se dirigea vers la porte et tapa un code rapidement. Quoi qu’il comptait qu’ils fissent tous les trois, ils devaient le faire dans le hangar. La chance souriait enfin à Alison.
Le hangar était finalement assez petit quand on pensait à la taille des vaisseaux concernés. Il y en avait seulement un de ces engins et Alison se dit s’il ne devait s’agir plutôt d’un lieu de stockage et non pas le vrai spatiosport par lequel elles étaient arrivées en ce monde.
Zoé lui avait expliqué qu’elle retrouvait son amant en un lieu dépourvu de caméras où ils pouvaient donc s’ébattre sans risquer d’être découverts. Alison n’avait pas imaginé que ce fût le hangar lui-même.
« Allons dans celui-ci, décida Alaster. Les cabines y sont bien plus confortables. C’est drôle, ajouta-t-il. C’est celui que j’ai conduit quand on vous a récoltées. »
De nouveau, Zoé gloussa et Alison mima une mine béate afin de leurrer cet homme. Ce dernier ne semblait guère méfiant, à l’image des autres employés de ce lieu qui semblaient se reposer totalement sur la technologie pour assurer la sécurité. En fait, les gardes semblaient bien plus concernés par le fait de violer les prisonnières que par leur rôle de surveillance.
Ils empruntèrent donc une rampe pour pénétrer dans la soute de ce transporteur de forme ovoïde. De nouveau, Alison eut du mal à réaliser qu’il fut si petit. Quand elle était arrivée, il lui avait semblé tout bonnement immense.
Alaster joua les guides touristiques avec entrain jusqu’à les conduire dans une cabine qui ressemblait aux cellules du complexe. La couche y était cependant un peu plus grande.
Zoé vint se coller immédiatement sur Alaster qui tendit la main en direction d’Alison mais cette dernière se déroba.
« Je dois aller aux toilettes, mentit-elle.
- Ah, fit Alaster visiblement déçu. N’utilise pas celle des cabines de l’équipage, il y a des caméras. Prend celle de l’étage, à côté de la cabine de pilotage. Dépêche-toi moi ma cochonne ! Je suis pressé de te baiser. »
Alison sourit et ce sourire n’était pas totalement feint. La chance continuait à l’aider.
Elle trouva la cabine de pilotage sans problème, le lieu étant très bien balisé. Elle eut craint que la pièce fût sécurisée.
Mais ce ne fut pas le cas. Décidément, la sécurité laissait beaucoup à désirer. Alison comptait bien en profiter.
Elle entra donc dans la cabine de pilotage et s’approcha de la console de commande. Trouver le clavier de l’ordinateur fut aisé et elle commença à fouiller dans la mémoire.
Alison n’était pas une experte mais finalement l'interface de l'ordinateur ressemblait beaucoup à ceux de son monde. La langue utilisée étant proche de l’anglais, elle se dit que finalement certaines des technologies d’Eurêka n'étaient pas si en retard par rapport à ce monde.
Elle trouva donc l'historique des voyages. Elle avait réussi à comprendre le calendrier de cet univers et identifier la date de son kidnapping.
Le vaisseau ne faisait pas beaucoup de voyage et elle trouva la référence rapidement. Les coordonnées s'affichèrent devant elle. Elle marqua un instant d'hésitation le cœur battant.
C’était la dernière pièce manquante et elle allait pouvoir enfin mettre pas en œuvre ces projets d'évasion. Elle allait quitter ce monde d’enfer.
Alors que Alison notait mentalement ces informations vitales, des cris montèrent depuis l'arrière du vaisseau. Il s’agissait de Zoé qui hurlait littéralement.
L’ancienne directrice comprit qu’Alaster et la jeune fille avaient commencé les festivités et qu’elle n’était pas agréable à son ancienne belle-fille.
Elle sortit en courant de la cabine et se rua vers son lieu d'origine. Elle s’attendait à assister à une scène d'horreur mais elle n'avait pas du tout idée à quel point.
Quand elle arriva dans la petite cabine, elle trouva les deux protagonistes totalement nus.
Zoé s’était mise en position agenouillée tournant le dos à Alaster. Ce dernier avait sorti un nervo-fouet et frappait la jeune femme dans le dos. Alison ne savait que trop bien la douleur que procurait cet objet mais elle réalisa autre chose.
La jeune fille ne poussait aucunement des cris de douleur. En réalité, la jeune fille prenait du plaisir au traitement que le pilote lui infligeait.
Alaster s’en donnait à cœur joie. Il la frappait et la frappait encore tout en l'insultant avec des mots très crus. De son côté, Zoé ne cessait de l’encourager à frapper toujours plus fort à lui faire toujours plus mal.
Alison se décomposa. Elle comprit alors que Zoé n’existait plus. Elle était réellement devenue 52R9D. La transformation était devenue trop profonde et avait révélé une nature inconnue de la jeune fille et celle-ci semblait comblée par ce fait.
Elle n’avait plus sa place ni à Eurêka ni ailleurs que dans ce monde. Elle était devenue une esclave, une esclave presque consentante.
Alison perdit une partie de ses illusions. 52R9D allait rester ici pendant qu’elle s’enfuirait.
CHAPITRE 7
La suite de la rencontre fut du même tonneau.
Alison ne pouvait montrer qu'elle avait menti sur toute la ligne et elle dû participer aux ébats. Pire, elle dû se montrer réceptive à tous les petits jeux que voulait jouer Alaster. Et celui-ci avait pas mal d’envie.
Il viola ainsi les deux jeunes femmes par tous les orifices à de multiples reprises. Celles-ci durent se montrer dociles et même devancer des besoins.
Alison réussit juste à conserver la bouche fermée, refusant toute fellation. Alaster s’en énerva d’ailleurs.
Il la frappa même, laissant une trace qui créa un certain malaise. Les employés de l’Elite Agency n'utilisaient que très rarement la violence sur les élèves. Ils avaient certes le moyen de réparer tous les dégâts causés mais ce n'était pas quelque chose d'acceptable pour eux et surtout coûteux.
Laisser un tel bleu à Alison allait conduire à de nombreuses questions et le pilote eut peur d’en payer les conséquences.
D'une certaine façon cela mit fin au calvaire de la jeune femme. Le pilote préféra mettre fin à tout cela et la conduire dans un centre de reconditionnement.
Il se contenta de réparer son visage. La sensation était étrange quelques picotements et un certain bien-être mais réparer le corps ne suffisait pas à restaurer l'esprit traumatisé.
Ils quittèrent ensuite le hangar pour retourner dans les parties communes. Alaster les quitta rapidement et 52R9D se dépêcha de retourner à ses tâches.
Alison regarda celle qu’elle considérait encore comme sa belle-fille s'éloigner, le cœur serré.
Zoé Parker avait définitivement disparu laissant place à 52R9D. C’était en quelque sorte un adieu, un adieu des plus désagréables.
Alison repartit vers le réfectoire. Elle savait qu’ainsi elle se mettait en danger. Les gardes qui la traquaient en permanence n’attendaient qu’une occasion pour s'emparer d'elle.
Elle risquait d’être violée sur les tables de cet endroit comme l’avait été Pilar, plusieurs fois avant elle.
Cependant elle n'avait pas le choix. Il fallait qu’elle mangeât surtout en pensant à ce qu'elle comptait faire dans peu de temps.
S’évader nécessitait de l'énergie et elle allait devoir en puiser beaucoup.
CHAPITRE 8
Elle arriva dans le réfectoire à l'heure du repas. La plupart des élèves étaient présentes. Il y avait les tuniques rouges des anciennes d’Eurêka mais aussi plusieurs tuniques blanches indiquant que de nouvelles chasses avaient été fructueuses pour les traqueurs de l’Elite Agency.
Alison espéra que la présence de cette chair fraîche et disponible allait lui offrir un minimum de répit point elle se trompait lourdement.
A peine fut elle arrivée dans le réfectoire qu'une montagne noire s’encadra devant elle.
Il fallut quelques instants à l'ancienne directrice pour reconnaître Hermonn Tork, le traqueur qui l’avait violée la première fois.
Le souvenir de ce premier traumatisme remonta en elle et il se montra aussi brutal que tous les viols qu'elle avait subis entre-temps. Elle recula de plusieurs pas devant cet homme.
« Mais qui voilà ? Fit Hermonn. Ça faisait longtemps que j’avais plus vu ton petit cul. J’ai bien envie de remettre le couvert. »
Alison voulut s’enfuir. Mais elle n’en eut pas le temps, Hermonn fut beaucoup plus rapide qu’elle.
Il la saisit par les poignets et la projeta sur une table. Elle s’y effondra le ventre en avant. Hermonn l’attacha, plaquée contre le bois du meuble de la même façon qu'elle l'avait été lors de leur première rencontre.
Elle se retrouvait donc à nouveau totalement sans défense devant les assauts qui ne manqueraient pas d’arriver.
Le traqueur n’attendit pas longtemps. D'un coup sec, il la pénétra et donna un coup de rein puissant qui fit qu’il s’enfonça en elle jusqu’à la garde.
Alison pousse un cri autant de douleur que de rage. Hermonn commença à la besogner avec vitesse et rudesse. Il débordait d’énergie et d'envie. Sa dernière chasse n’avait pas été fructueuse et il n'avait ramené aucune nouvelle proie et n'avait donc pas pu profiter du droit du chasseur. Il allait passer sa frustration sur elle.
Ce fut un coït des plus désagréables, une vraie torture. Le pénis allait en elle à une vitesse incroyable et elle se demanda même s'il n'utilisait pas une quelconque technologie pour rendre cela encore plus pénible pour elle et plaisant pour lui.
Au bout d’un temps qui parut des heures à la jeune femme, il finit par jouir en elle. Tout aussi stérile que les gardes, il ne risquait bien sûr pas de la féconder. Il se retira alors la laissant toujours attachée sur la table.
Altron s'approcha alors de la jeune femme dont les parties charnues étaient totalement exposée.
« Messieurs, lança-t-il à l’intention de tous les hommes présents. Cette pouliche est restée plusieurs heures sans se faire violer. Elle doit être en grand manque car c'est un vrai gouffre à bites. Alors maintenant, vous allez tous la prendre aussi longtemps que vous le voudrez et autant de fois que vous le pourrez. Profitez-en ! Le temps n’a pas d’importance. C’est la fête ! »
Le premier homme s’approcha alors d’Alison. D’un coup brusque, il tenta d’enfoncer son sexe dans sa bouche alors qu’elle hurlait. Elle réussit à la refermer à temps et dut ensuite conserver la bouche close pour ne pas risquer de la voir envahie par ces hommes sans pitié. Cela rendit son calvaire encore plus pénible.
Un homme, deux, trois , quatre et ainsi de suite. Le nombre des sexes qui la violèrent dépassa sa capacité à compter.
Elle perdit tout le sens des réalités du temps, ne réussissant juste qu'à garder sa bouche fermée en dépit de ce qui lui faisait subir.
CHAPITRE 9
Trano se promenait entre les tables du réfectoire. Il observait toutes les jeunes femmes présentes qui assistaient tantôt abasourdies tantôt blasées à ce spectacle lamentable mais en réalité il n'avait qu'un seul intérêt. 52S2Y.
Celle qui répondait encore au nom de Tess était assise à quelques mètres de la pauvre Alison. Elle était blême et tremblait de tout son corps. Le dresseur vint s'asseoir juste à côté d'elle la faisant sursauter.
« C'est pas beau tout ça ? Questionna-t-il, un sourire sadique au coin des lèvres. Je suis sûr que tu as envie de la rejoindre. Il y a encore beaucoup d’hommes qui attendent et de la place sur la table à côté d'elle. Viens !
- Non ! ! Hurla la jeune femme. Pas ça ! Pitié, pas ça !
- Si tu veux y échapper, expliqua le dresseur, tu sais ce qu'il te reste à faire. »
Il indiquait son entrejambe et elle vit qu'il avait libéré son sexe. Toutes les conversations qu’ils avaient déjà eu lors de ces entretiens personnalisés revinrent à son esprit. Elles étaient prisonnières et ces hommes contrôlaient tout. L’espoir n’était pas permis. Elle céda.
Elle se pencha en avant jusqu’à se courber en deux et enfourna le pénis dans sa bouche. Elle avait une bonne expérience des fellations et réussit rapidement à le mettre en érection.
Trano ne voulait pas se contenter de ça. Tout ce spectacle avec 52L3T n'avait eu pour seul but que de briser cette jolie rouquine. Il voulait maintenant la conduire jusqu'au bout du chemin.
Il la fit se relever et lui indiqua de se placer en califourchon sur lui. Après une seconde d’hésitation, elle s'exécuta.
Prenant son pénis en main, elle le dirigea à l'entrée de son intimité avant de de l'enfoncer en elle. Dans cette position du cow-girl, elle commença à monter et descendre sur le membre tendu. Son antre d’amour était devenu bien lubrifié, preuve de sa réactivité après les multiples viols qu'elle avait subi ces derniers temps.
Le dresseur lui prit les hanches afin de lui dicter le rythme de la saillie. Si elle était en position d’apparence dominante, il devait bien lui indiquer qu'elle restait à ses ordres et que c'est lui qui déciderait du moment de la fin du coït.
Ainsi, ils continuèrent cet acte pendant que les hommes se succédaient dans les différents orifices de la pauvre Alison.
À un moment, Trano approcha son visage de celui de Tess. Celle-ci comprenant ce qu'il voulait, se baissa légèrement et ouvrit la bouche pour accepter son baiser.
Au bout de longues minutes, le dresseur se décida enfin à jouir. Il fit basculer la jeune femme sur le dos et se mit à peser de tout son poids sur elle. Il ne voulait pas se salir quand sa semence se déverserait en elle.
Ainsi, le liquide infertile s’écoula dans l'intimité de la jeune femme. Celle-ci l’accueillit avec une expression d'abandon.
Et ce fut ainsi que Tess gagna sa tunique pourpre.
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