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agentchelateur2021

Portelo, épisode 14

Dernière mise à jour : 10 août 2022

CHAPITRE 1


Le coït quasiment incestueux entre Stella et son parrain durait depuis plusieurs minutes. En dépit de son excitation extrême, Paredes ne semblait pas vouloir jouir comme s’il comptait rattraper des décennies de frustration avec cette seule relation.


Stella faisait tout ce qu’elle pouvait pour l’encourager alors qu’elle n’avait qu’un désir, s’enfuir loin de cet homme qu’elle avait considéré comme un second père et qui, désormais, la dégoûtait de tout son être. Elle était toujours comme une marionnette dont Paulo tirait les fils et elle appliqua les consignes de celui qui l’avait totalement avilie jusqu’au bout.


Alors que Paredes ralentissait le rythme de ses coups de boutoir comme s’il s’épuisait dans cet acte dément, elle se retira doucement et se tourna vers sa table de chevet. Elle en sortit alors plusieurs instruments de torture dont un fouet qui utilisait le même système que le bâton neuronal qui avait tant fait souffrir Emilia moins d’une heure auparavant.

Elle le tendit à son parrain.


« Tiens ! Fit-elle. Frappe-moi ! Fais-moi mal ! Tu vas voir, tu vas adorer ! »


Complètement possédé, il prit le fouet alors qu’elle se tournait pour se mettre à quatre pattes et lui présenter sa croupe en sacrifice.

Paredes leva le fouet vers le plafond et, quand il l’abattit, une vague de douleur traversa le corps de sa jeune filleule qui se plia en deux. Cependant, elle reprit immédiatement sa position et se mit à pousser des cris.


« OOOOHHH OUI !!!! Mentit-elle. CONTINUE !!!! FAIS-MOI MAL !!!! J’ADORE CA !!!! »


Paredes frappa, frappa et frappa encore. Chaque coup faisait encore plus mal que le précédent et Stella avait l’impression que tout son corps n’était qu’un marasme de douleur et pourtant, elle continuait à hurler son plaisir. Le Beettle la contrôlait tellement qu’elle en arrivait à ne plus faire la différence entre ce qu’il lui imposait et ce qu’elle ressentait réellement. La folie la guettait comme l’hystérie s’était emparé de son parrain.


Paredes avait mal au bras, transpirait à grosses goutte et finit par céder. Il jouit sur les fesses de sa jeune victime avant de s’effondrer sur son dos en poussant un immense râle de plaisir.

Il avait dépassé un cap et il savait qu’il ne pourrait plus jamais revenir en arrière. Il était passé de l’autre côté du miroir… pour le plus grand malheur des Ramirez.




CHAPITRE 2


Paredes cessa d’être un danger pour Paulo, bien au contraire. Il rejoignit la liste de ces clients réguliers et influents qui faisaient la force de l’ancien ingénieur.


Il commença à venir plusieurs fois par mois, dépensant des fortunes pour profiter du corps jeune et ferme de sa filleule puis par la suite, il commença à s’intéresser aussi à Emilia. Ce pervers semblait avoir une passion pour les très jeunes femmes et semblait totalement insatiable. Il en oublia totalement son ami le plus ancien, Sandro Ramirez.


Au début, il entretint les faux-semblants, mentant à l’ingénieur puis commença à l’éviter et à ne plus répondre à ses appels fiévreux.

Petit à petit, le père de Stella sombra dans la dépression qui connut son paroxysme quand une âme mal intentionnée lui fit parvenir une vidéo de sa fille couchant avec son ami. On le retrouva pendu dans sa salle de bain le lendemain.


Ramirez mort, restait ses actions si chèrement payées. Stella était sa seule héritière et elle les récupéra donc et, comme Paulo la contrôlait totalement, il en devint donc le propriétaire. Ainsi, l’ancien ingénieur récupéra enfin cette récompense qu’on lui avait volée et qui, d’une certaine manière, était à l’origine de l’enfer que connaissait toutes les pensionnaires du « Soleil de vos nuits ».


Comblé mais pas décidé à s’arrêter en si bon chemin, Paulo se dit qu’il fallait fêter sa victoire comme il le devait.



CHAPITRE 3


Paulo organisa donc une fête digne de ce nom. Il ferma exceptionnellement le « Soleil de vos nuits » et invita toutes ses « employées » pour l’occasion.


Les sept jeunes femmes arrivèrent alors dans l’appartement qu’il occupait au quatrième étage. Il avait fait dresser une table avec des plats confectionnés par le meilleur traiteur de la ville. Chacun coûtait une fortune mais aucune des jeunes femmes n’apprécia leur valeur. Elles craignaient toutes les tortures que l’homme qui les dominaient au travers de cette machine infernale préparait pour elles.

« Venez mes chéries ! Ironisa-t-il alors qu’elles avançaient avec précaution en direction de la grande table. Installez-vous donc à vos places ! »


Andréa fut la première à prendre une chaise et elle poussa un cri de surprise en voyant sa particularité.

On avait disposé, non, implanté dans le bois, un immense gode à la largeur effrayante. La jeune canadienne recula d’un pas en constatant ce qui l’attendait si elle s’asseyait dessus.


« Vous voyez, j’ai tout préparé pour que vous preniez le maximum de plaisir, ricana Paulo. Les godes son suffisamment gros pour vous j’espère. Il faut dire qu’avec toutes les bites qui vous pourfendent chaque jour, vous avez besoin de nouveaux « challenges ». »


Elles restèrent toute indécises, tétanisées par la peur mais aussi conscientes qu’elles appliqueraient chacun de ses ordres quand il les donnerait. Il les laissa ainsi, profitant de l’angoisse palpable qui les étreignaient toutes.


« Alors ? Lâcha-t-il finalement. Installez-vous ! »


Comme des automates, elles se mirent toutes en mouvement pour s’asseoir sur ces chaises de malheur. Aucune ne portait de culotte et elles commencèrent à se placer afin d’enfoncer ces godes si larges dans leurs vagins.


« Non, fit Paulo en secouant la tête comme si elles étaient des enfants un peu lents d’esprit. Ces godes ne sont pas faits pour vos chattes. Ils sont pour vos culs ! »


De nouveau, Andrea poussa un cri d’effroi mais elle bougea quand même pour placer ses fesses nues juste au-dessus du membre de plastique tendu.


Elles firent toutes de même et les cris de douleur se multiplièrent alors qu’elles enfonçaient cet objet de torture au fond de leurs entrailles. Elles subissaient toutes quotidiennement des sodomies mais jamais avec des membres d’un tel diamètre et il leur semblait que leurs anus allaient exploser.


Paulo les regarda se tortiller pour combler ses désirs avec délectation. Alors qu’elles finissaient toutes par trouver une position dans laquelle elles arrivaient à supporter la présence de ce gode infâme en elles, il prit une télécommande et les membres de plastiques se mirent à bouger dans tous les sens.


Les cris devinrent des hurlements alors que les godes de plastiques lacéraient leurs colons. Certaines durent s’appuyer sur le rebord de la table pour supporter cette douleur nouvelle et quasiment toutes se mirent à pleurer.

« Parfait, estima-t-il. Tout est bien. Nous pouvons commencer à manger. »


Du repas, aucune ne garda un quelconque souvenir. Seule la douleur dans leurs entrailles comptait.


Leur supplice dura de longues minutes. Paulo profitait de leurs cris autant que de son repas. Puis Victoire fut la première à craquer. La jeune canadienne hurla et supplia.


« Pitié, fit-elle à l’intention de son tortionnaire. Je ferais tout ce que tu veux mais j’ai trop mal, libère-moi !

- Mais tu fais déjà tout ce que je veux, ironisa Paulo. Bon, d’accord. Tu peux te lever ! »


Victoire libéra son anus alors que les autres jeunes femmes se regardaient en se demandant si elles pouvaient elles-aussi se libérer.


« Personne ne bouge ! Ordonna l’ancien ingénieur, anéantissant tous les espoirs. Restez comme vous êtes ! »


Il accéléra le rythme des mouvements des godes et elles se mirent à crier encore plus fort.


Paulo se tourna vers Victoire qui attendait debout.


« Tu es en sueur, observa-t-il. Tu as besoin d’un bon bain ! La baignoire t’attend ! »


Il lui indiqua l’emplacement de la salle de bain et elle partit sans attendre. Prendre un bain n’était pas une mauvaise nouvelle après ce qu’elle avait vécu mais dès qu’elle entra dans la pièce, elle fut agressée par une odeur à vomir.

Elle cherchait à comprendre d’où pouvait venir cette pestilence et le comprit en voyant la baignoire. Elle était pleine d’excréments.


La jeune fille se mit à hurler en comprenant que son tortionnaire voulait qu’elle se plongeât dans ce magma de merde.


« Pitié, hurla-t-elle. Pas ça ! Je ne peux pas !

- Vas prendre ton bon bain chaud, insista Paulo en riant. Allez ma petite ! Et enlève tes vêtements ! Ils valent une fortune. »


Le corps de Victoire continuait de lui échapper et il s’approcha pas à pas de la baignoire puante tout en se déshabillant. La jeune canadienne pleurait et suppliait mais rien ne semblait pouvoir infléchir la décision de son maître.

Nue, elle s’arrêta une seconde pour vomir tripes et boyaux mais reprit immédiatement sa progression.


Elle posa un pied dans la chaleur horrible de ce bain infernal puis le second. Ce fut un long processus durant lequel elle vomit deux fois encore mais elle finit par s’immerger jusqu’au cou dans ce bain de pourriture. Elle pleurait comme elle ne l’avait jamais fait de sa vie même après les traitements les plus violents infligés par ses clients les plus pervers.

Les autres filles écoutaient les cris désespérés de leur compagne d’infortune et plusieurs se mirent à pleurer à l’unisson mais toutes se dirent que ces godes dans leurs anus n’étaient pas le pire destin qui pouvait les attendre.


Paulo laissa Victoire au désespoir pendant de longues minutes qui lui parurent des jours puis enfin il l’autorisa à quitter ce bain horrible. Elle puait tellement que Jana vomit en la sentant arriver.


« Tu pues comme une merde, souffla Paulo. Vas prendre une douche dans ta chambre et frotte bien ! »


Toujours nue, Victoire se rua vers l’étage supérieur et sa chambre. Elle fit couler une douche bien chaude, vida deux pots de savon et se frotta de toutes ses forces jusqu’à s’irriter la peau. L’odeur ne la quittait pas sans qu’elle sache si elle était encore présente ou seulement gravée dans sa mémoire. Elle se pensait incapable d’oublier un jour cette horreur infâme mais elle ignorait qu’en réalité, elles avaient toutes déjà subi des humiliations qui les avaient tellement traumatisées que le beettle avait effacé ces souvenirs de leur mémoire comme quand on faisait un reset dans un ordinateur.


Elle continuait à se laver, ouvrant un troisième pot de de savon quand son téléphone, resté dans sa chambre sonna. Son maître la sifflait et elle allait devoir revenir au plus vite.




CHAPITRE 4


Quand Victoire arriva dans le salon de l’appartement, le repas s’était transformé en orgie.


Andréa, sa partenaire habituelle dans les ébats lesbiens avait déjà été accaparée par Kate qui explorait son vagin avec l’énergie que son beettle lui imposait. Derrière la jeune anglaise, Avrora s’était ceint d’un gode ceinture d’une taille imposante et le dirigeait vers son anus déjà bien meurtri par leur supplice du repas. Kate écarquilla les yeux quand le membre de plastique envahit ses entrailles et poussa un cri strident. Il lui fallut plus d’une minute pour s’habituer à cette douleur qui n’avait rien de nouveau pour elle. Une fois fait, en esclave bien dressée, elle replongea la tête entre les cuisses d’Andréa pour reprendre son travail labial.

Non loin de là, Jana et Emilia formaient un 69 des plus intenses où chacune jouait de la langue et des mains afin d’obtenir toujours plus de cris de plaisir de l’autre. Dans ce genre de relation délirante, Victoire savait pertinemment qu’il leur était parfois difficile de faire le tri entre les sensations provoquées par le beettle et le véritable plaisir. Cette machine infernale ne faisait pas que les contrôler, elle les transformait irrémédiablement et les conduisait au bord de la démence.


Enfin, Paulo avait pris Stella en main et la jeune femme allait et venait sur son sexe en cow-boy inversé. L’ancien ingénieur s’en donnait à cœur-joie tout en jouant avec avidité avec la poitrine si volumineuse de sa victime. Il tourna alors son regard vers la jeune canadienne.

« Qu’est-ce que tu attends, connasse ? Lança-t-il sans ménagement. Amène ton cul par là que je le prenne ! »


Docile, elle s’approcha du couple alors que Paulo se retirait de Stella pour l’allonger sur le dos sur la table au milieu des restes du repas. Quand Victoire arriva à portée, il l’attrapa par le cou et la força à se plier en deux, la tête entre les cuisses de l’ancienne étudiante et la croupe bien offerte.

La seconde d’après, elle était sodomisée à son tour tout en léchant l’intimité de Stella. Elle ne comptait plus le nombre de fois où elle s’était livrée à cette pratique qui la dégoûtait tant que ce fut avec Andrea, son amie d’enfance devenue une sorte de maîtresse forcée, qu’avec les autres pensionnaires de cette prison et même avec plusieurs clientes de l’établissement qui venaient soit seules soit en accompagnement de leur mari qui fantasmait sur le fait de voir leur épouse se faire gouiner par des jeunes femmes expertes.


La décadence de ce lieu n’avait pas de limites et Victoire savait qu’elle allait continuer à s’avilir pendant des années et des années sans jamais se rebeller. Tous ses espoirs d’un jour se libérer de cette machine infernale s’étaient évaporés au fil des défaites que sa volonté avait essuyées devant ce beettle qui ne semblait connaître aucune défaillance.

La pauvre jeune femme se mit à pleurer alors que le sexe de Paulo commençait à lui lacérer les entrailles. Elle était vaincue, terrassée et résignée à son triste sort.



CHAPITRE 5


Bien campé entre les fesses de la belle Victoire, Paulo prenait tout le plaisir dont il se sentait capable. Sa victoire paraissait totale. Il avait créé un établissement rentable qui lui rapportait plusieurs millions de dollars par mois, récupéré ces actions qu’on lui avait volées et pouvait maintenant profiter de bien des plaisirs annexes qu’on lui refusait naguère.


Mais cet homme ambitieux n’allait pas se satisfaire de cette victoire finalement si réduite. Déjà, il commençait à acheter les autres appartements de son immeuble. Il en possédait notamment deux au quatrième étage. Quand il aurait les quatre, il pourrait doubler la capacité du « Soleil de vos nuits ».


Il avait déjà un réservoir phénoménal de jeunes couchsurfeuses qu’il avait implantées, violées et parfois aussi prostituées durant de courtes périodes avant de les renvoyer chez elles, les souvenirs traumatisants de leur mémoires remplacés par des fantasmes de séjours idylliques avec un hôte adorable.


Elles attendaient son bon vouloir comme le firent en leur temps Jana et Kate et cela promettait de continuer. Ces jeunes femmes ayant déposé des commentaires dithyrambiques sur son accueil, il ne comptait plus le nombre de demandes qu’il recevait quasiment quotidiennement. Des françaises, des anglaises, des polonaises ou des américaines entre autres, autant de potentielles « employées » qui allaient augmenter son pouvoir tout en satisfaisant tous ses désirs même aux dépends de leur propre santé.


Mais tout cela n’était encore qu’un moyen. Toutes les fortunes du monde et tous les culs bien chauds qu’il pouvait obtenir n’avaient pour but de lui ouvrir les portes du pouvoir. Les clients de son établissement étaient tous des hommes influents qui parlaient parfois aux filles de leurs histoires et qui profitaient même du salon d’attente aménagé à la place de l’appartement de Pamela pour négocier affaires politiques et financières comme si ce lieu où ils assouvissaient leurs penchants les plus obscènes échappaient aux règles du monde normal qui nécessitait une méfiance de tous les instants.

Paulo espionnait tout et emmagasinait des informations essentielles pour l’avenir. Un avenir qu’il voulait grandiose et qui le serait. Il comptait bien devenir l’homme le plus puissant sous le soleil de Portelo.





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